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Durement touché par la crise financière qui sévit en Europe, surtout dans l’Hexagone, son premier partenaire commercial et son premier pourvoyeur de fonds en devises, le royaume du maroc a de plus en plus de mal à contenir son déficit budgétaire qui ne cesse de s’alourdir jour après jour par rapport à ses modestes moyens financiers !
D’où ses appels incessants aux pétromonarchies sœurs du golfe persique d’honorer leur engagement pris en face de leur frère le « commandeur des croyants » du pays du soleil couchant, lors de sa tournée dans leurs aimables émirats respectifs en octobre 2012.
Profitant de la présence des princes qataris en visite ces jours-ci dans la capitale du Maroc, l’argentier du royaume n’a pas hésité à rappeler à ces prestigieux hôtes d’honorer leur part fixée à 1,25 milliard de dollars d’une promesse d’un don total de 5 milliards de dollars réparti sur une période de 5 ans promis à Sa Majesté chérifienne par le Conseil de Coopération du Golfe (CCG) pour maintenir la stabilité de son royaume enchanté et ainsi faire barrage aux agitations sociales et bouleversements politiques qui secouent le « monde arabe ».
Et selon les dernières nouvelles en provenance de Rabat, le Qatar a répondu favorablement pour effectuer un premier versement de 500 millions de dollars et qui selon les mêmes sources, interviendrait inch’Allah dans les jours à venir pour soulager les caisses de l’État !
Cette visite des qataris au royaume du maroc intervient alors que l’Arabie saoudite, les Émirats et Bahreïn, principaux piliers de ce club despotique, ont rappelé la semaine dernière d’un seul coup leurs ambassadeurs accrédités à Doha, accusant le Qatar de s’ingérer dans leurs affaires intérieures et dans celles des pays frères ! Une première dans l’histoire du CCG, qui rassemble depuis 1981 les six pétromonarchies de la péninsule arabique.
En 2011, ces monarchies du golfe persique avaient invité la monarchie alaouite et la monarchie hachémite, les deux seules autres monarchies despotiques du « monde arabe », à rejoindre leur club despotique. Cette démarche, perçue comme une tactique conjoncturelle de leur part pour se prémunir d’une possible contagion du « printemps arabe », avait été accueillie très positivement par la monarchie alaouite, mais restée sans suite.
Africanews
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D’où ses appels incessants aux pétromonarchies sœurs du golfe persique d’honorer leur engagement pris en face de leur frère le « commandeur des croyants » du pays du soleil couchant, lors de sa tournée dans leurs aimables émirats respectifs en octobre 2012.
Profitant de la présence des princes qataris en visite ces jours-ci dans la capitale du Maroc, l’argentier du royaume n’a pas hésité à rappeler à ces prestigieux hôtes d’honorer leur part fixée à 1,25 milliard de dollars d’une promesse d’un don total de 5 milliards de dollars réparti sur une période de 5 ans promis à Sa Majesté chérifienne par le Conseil de Coopération du Golfe (CCG) pour maintenir la stabilité de son royaume enchanté et ainsi faire barrage aux agitations sociales et bouleversements politiques qui secouent le « monde arabe ».
Et selon les dernières nouvelles en provenance de Rabat, le Qatar a répondu favorablement pour effectuer un premier versement de 500 millions de dollars et qui selon les mêmes sources, interviendrait inch’Allah dans les jours à venir pour soulager les caisses de l’État !
Cette visite des qataris au royaume du maroc intervient alors que l’Arabie saoudite, les Émirats et Bahreïn, principaux piliers de ce club despotique, ont rappelé la semaine dernière d’un seul coup leurs ambassadeurs accrédités à Doha, accusant le Qatar de s’ingérer dans leurs affaires intérieures et dans celles des pays frères ! Une première dans l’histoire du CCG, qui rassemble depuis 1981 les six pétromonarchies de la péninsule arabique.
En 2011, ces monarchies du golfe persique avaient invité la monarchie alaouite et la monarchie hachémite, les deux seules autres monarchies despotiques du « monde arabe », à rejoindre leur club despotique. Cette démarche, perçue comme une tactique conjoncturelle de leur part pour se prémunir d’une possible contagion du « printemps arabe », avait été accueillie très positivement par la monarchie alaouite, mais restée sans suite.
Africanews
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