Le ministère saoudien des Affaires étrangères a annoncé le rapatriement de 25% des combattants saoudiens en Syrie, parmi lesquels figurent des suspects qui pourraient être impliqués dans des incidents de sécurité, a rapporté lundi le journal local Al Sharq Al Awsat.
On ignore pourtant le nombre exact des combattants rapatriés, a indiqué le général de division Mansoor Al Turki, porte-parole du ministère saoudien de l'Intérieur.
Le 7 mars, l'Arabie saoudite avait ordonné à ses ressortissants combattant à l'étranger, notamment ceux qui sont déployés en Syrie, de retourner au pays sous 15 jours, sous peine de sanctions juridiques.
Le roi d'Arabie Saoudite, Abdallah ben Abdelaziz al-Saoud avait émis le mois dernier un décret visant à condamner les Saoudiens combattant à l'étranger ou ceux qui font partie de "groupes terroristes" à des peines de prisons comprises entre trois et 20 ans.
Le décret vise également les membres "de groupes religieux extrêmes et de groupes terroristes" locaux, régionaux et internationaux. Ceux qui soutiennent de telles organisations ou leur offrent une assistance financière sont passibles d'emprisonnement. Les militaires reconnus coupables encourent des peines de prison allant de cinq à 30 ans.
Maghreb émergent
On ignore pourtant le nombre exact des combattants rapatriés, a indiqué le général de division Mansoor Al Turki, porte-parole du ministère saoudien de l'Intérieur.
Le 7 mars, l'Arabie saoudite avait ordonné à ses ressortissants combattant à l'étranger, notamment ceux qui sont déployés en Syrie, de retourner au pays sous 15 jours, sous peine de sanctions juridiques.
Le roi d'Arabie Saoudite, Abdallah ben Abdelaziz al-Saoud avait émis le mois dernier un décret visant à condamner les Saoudiens combattant à l'étranger ou ceux qui font partie de "groupes terroristes" à des peines de prisons comprises entre trois et 20 ans.
Le décret vise également les membres "de groupes religieux extrêmes et de groupes terroristes" locaux, régionaux et internationaux. Ceux qui soutiennent de telles organisations ou leur offrent une assistance financière sont passibles d'emprisonnement. Les militaires reconnus coupables encourent des peines de prison allant de cinq à 30 ans.
Maghreb émergent
Commentaire