Publié le lundi 24 mars 2014 Écrit par Hamid Guerni
Abdelmalek Sellal, qui était ce matin à Blida, a menacé de faire tonner la poudrière à l’encontre des « Mouchaouichines » qui, a-t-il accusé, veulent ouvrir la porte à l’ingérence étrangère. « Pour quiconque s’ingérant dans nos affaires, je rappelle ce que nous avons fait à Tingantourine », a-t-il menacé, après avoir mis en garde contre ce qu’il a désigné comme des « mouchaouichines. » « Quel est leur objectif ? Ils veulent ouvrir la porte à l’ingérence étrangères », a-t-il hurlé, perdant tout sens de la mesure.
Le même Sellal avait déclaré, lors d’une rencontre préparatoire de la campagne électorale, que les contestataires du processus électoral « ne lui faisaient pas peur ». Il les a même comparés à des moustiques contre lesquels il se suffira d’utiliser le Fly tox. Sommé d’abandonner ses blagues au moins pendant la campagne électorale, des plus poussives, il s’exécute et menace de sévir contre les opposants qui dénoncent la mascarade électorale.
Ses deux sorties, dimanche, à Adrar et Tamanrasset ont été plus que modestes, en dépit de la mobilisation des clientèles locales du régime et les enveloppes qui ont été distribuées au cours de ses récentes pérégrinations de premier ministre, Sellal s’emploie à donner un gage de fidélité au cercle présidentiel qui le suspecte de complicité avec les anciens réseaux du DRS
Abdelmalek Sellal, qui était ce matin à Blida, a menacé de faire tonner la poudrière à l’encontre des « Mouchaouichines » qui, a-t-il accusé, veulent ouvrir la porte à l’ingérence étrangère. « Pour quiconque s’ingérant dans nos affaires, je rappelle ce que nous avons fait à Tingantourine », a-t-il menacé, après avoir mis en garde contre ce qu’il a désigné comme des « mouchaouichines. » « Quel est leur objectif ? Ils veulent ouvrir la porte à l’ingérence étrangères », a-t-il hurlé, perdant tout sens de la mesure.
Le même Sellal avait déclaré, lors d’une rencontre préparatoire de la campagne électorale, que les contestataires du processus électoral « ne lui faisaient pas peur ». Il les a même comparés à des moustiques contre lesquels il se suffira d’utiliser le Fly tox. Sommé d’abandonner ses blagues au moins pendant la campagne électorale, des plus poussives, il s’exécute et menace de sévir contre les opposants qui dénoncent la mascarade électorale.
Ses deux sorties, dimanche, à Adrar et Tamanrasset ont été plus que modestes, en dépit de la mobilisation des clientèles locales du régime et les enveloppes qui ont été distribuées au cours de ses récentes pérégrinations de premier ministre, Sellal s’emploie à donner un gage de fidélité au cercle présidentiel qui le suspecte de complicité avec les anciens réseaux du DRS
Commentaire