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John kerry, L'invité surprise

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  • John kerry, L'invité surprise

    Une visite qui va renforcer la position de l'Algérie dans la région et qui va inéluctablement encourager la coopération entre Alger et Washington.
    Selon des sources généralement bien informées, le secrétaire d'Etat américain John Kerry effectuera la semaine prochaine une visite officielle en Algérie.
    L'ex-Premier ministre Abdelmalek Sellal avait déjà donné un indice sérieux de cette visite en déclarant lors de son meeting d'ouverture de la campagne électorale à Adrar, qu'«Alger attend la visite d'une personnalité internationale importante dans les prochaines jours».
    Si cela se confirme, cette visite surprise va renforcer la position de l'Algérie dans la région et va inéluctablement encourager la coopération entre Alger et Washington.
    Annoncée juste après la nomination de Ramtane Lamamra, la visite du secrétaire d'Etat américain à Alger a été reportée à plusieurs reprises, en raison d'un agenda diplomatique très chargé de John Kerry.
    Le premier événement à retarder la visite du chef de la diplomatie américaine à Alger, a été la Conférence internationale de Genève sur le nucléaire iranien.
    A l'époque, cette visite a été reportée d'un «commun accord», avait annoncé le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani. Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, avait même reçu une communication téléphonique du secrétaire d'Etat américain, John Kerry, qui l'a informé «que le président Barack Obama lui a demandé de se rendre à Genève dans le cadre des négociations en cours sur le programme nucléaire iranien», a expliqué M.Belani.
    Selon lui, le secrétaire d'Etat américain doit rentrer de Genève à Washington pour faire un rapport au président Obama et pour interagir avec le Congrès sur les développements liés au dossier nucléaire iranien. Dans ce contexte, la partie américaine avait indiqué que «toutes les étapes du périple du secrétaire d'Etat, prévues pour les prochains jours, ont été reportées».
    Messieurs Lamamra et Kerry ont convenu du report de la 2e session du dialogue stratégique entre l'Algérie et les Etats-Unis à une nouvelle date, à déterminer par la voie diplomatique, avait précisé à cette époque le porte-parole des Affaires étrangères. Entre-temps, la visite était, selon certaines sources, annoncée à la mi-novembre, mais entre-temps John Kerry est un diplomate très sollicité. Il participe au Sommet de Genève II sur la Syrie où Kerry était mobilisé aux côtés de Lakhdar Brahimi pour tenter de trouver une issue pacifique à ce conflit dans cette région du Monde arabe.

    John Kerry, un diplomate à l'agenda très chargé
    Eclate ensuite la crise en Ukraine, qui a mobilisé le diplomate américain qui doit faire face à une offensive russe sur le terrain diplomatique.
    Il s'était rendu à Kiev pour essayer de dégeler la crise entre la Russie et l'Ukraine. Il est actuellement à La Haye, en marge du Sommet sur la sécurité nucléaire. Il faut préciser aussi que le chef de la diplomatie américaine avait effectué une halte à Tunis, le 18 février dernier, pour exprimer de vive voix le soutien des Etats-Unis à la Tunisie, pays précurseur des «printemps arabes, «suite à l'adoption de sa nouvelle Constitution.
    Il s'est entretenu pendant quelques heures avec «de hauts responsables pour discuter des progrès de la transition démocratique en Tunisie «. Le diplomate américain qui a effectué une virée de quelques heures à Tunis, a préféré ne pas passer par Alger pour planifier une visite plus longue où il devait passer en revue des dossiers importants avec les responsables algériens.
    En effet, plusieurs dossiers sont en attente d'être examinés par les diplomates des deux pays et le président Bouteflika. Il y a le dossier épineux de la lutte antiterroriste et la question lancinante du Sahel ainsi que la situation sécuritaire aux frontières, notamment avec la Libye, surtout depuis l'attaque de In Amenas.
    Le dossier de la Syrie dans lequel l'Algérie avait son mot à dire. La question palestinienne toujours inscrite dans les fiches du département d'Etat américain, mais aussi la question des relations avec l'Iran, puisque l'Algérie a toujours servi d'intermédiaire sérieux entre Téhéran et Washington pour régler les contentieux entre les deux pays et cela depuis l'affaire des otages américains en 1980. La rencontre Lamamra-Kerry et l'audience que lui réservera le président Bouteflika permettront aussi de cerner les principales questions bilatérales d'abord, au plan de la coopération, des échanges économiques très importants entre les deux pays, notamment dans le domaine des hydrocarbures, mais aussi les questions liées aux droits de l'homme, à la liberté de la presse et à l'ouverture audiovisuelle.

    La rencontre attendue avec Bouteflika
    Le 27 février, le département d'État a publié son rapport annuel sur les pratiques en matière des droits de l'homme dans le monde. Un rapport qui a été diversement apprécié à Alger, en raison de la complexité de la situation politique et associative en Algérie.
    Par ailleurs, la question du Sahara occidental sera également inscrite au menu des discussions entre Lamamra et Kerry. Le chamboulement de l'agenda du secrétaire d'État américain et le report de sa visite à Alger étaient intervenus en pleine tension diplomatique entre Alger et Rabat sur la question des droits de l'homme au Sahara occidental.
    Les Américains qui partagent des intérêts politiques et économiques dans les deux camps, entendent jouer le rôle du médiateur dans la crise entre Rabat et Alger.
    Enfin, le plus important pour cette visite à Alger de John Kerry sera la présidentielle algérienne du 17 avril.
    Le diplomate américain ne manquera pas de s'enquérir du déroulement de la campagne pour la présidentielle de 2014 et des résultats qui ont entraîné les réformes introduites par Bouteflika.
    Son passage à Alger sera comme le fut celui de son prédécesseur, Mme Hillary Clinton, une occasion pour discuter avec les politiques, la société civile et les hauts responsables algériens et le tout sans «translateur», puisque le diplomate américain maîtrise parfaitement la langue de Voltaire, ce qui facilitera encore plus sa rencontre très attendue avec le président Bouteflika.

    l'expression
    عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون

  • #2
    Il vient surtout s'assurer que les intérêts pétroliers américains en Algérie ne craignent rien avec un président certes ami mais diminué.

    L'Expression qui se gargarise de la coopération avec l’impérialiste américain premier soutien et ami éternel d’Israël.

    Hypocrisie quand tu nous tiens !!

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    • #3
      John kerry, L'invité surprise
      SI les USA était vraiment la plus grande démocratie comme on le prétend, Kerry ne serait jamais venu voir un président en fin de mandat et en plein compagne électorale. Mais bon, tout le monde sait que c'est de khorti cette démocratie américaine.
      Envoyé par serpico
      Il vient surtout s'assurer que les intérêts pétroliers américains en Algérie ne craignent rien avec un président certes ami mais diminué.
      Pefff, les sociétés pétrolières américaines sont partout où le pétrole existe. C'est ton aigreur qui te fait réagir.

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      • #4
        Venir soutenir un dictateur en fin de vie,,??
        Coucher du soleil à Agadir

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        • #5
          unique info de l'article

          L'ex-Premier ministre Abdelmalek Sellal avait déjà donné un indice sérieux de cette visite en déclarant lors de son meeting d'ouverture de la campagne électorale à Adrar, qu'«Alger attend la visite d'une personnalité internationale importante dans les prochaines jours».
          le reste c'est des suppositions et du réchauffé

          ps: qui va recevoir le supposé visiteur?

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          • #6
            L'oncle SAM ne vient chercher que ses propres intérêt.
            Il n'a aucun état d'âme.
            et s'en fout de la tête du client.

            Changer de veste à tout moment, leur tout a fait naturel que de respirer l'air.

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            • #7
              Enfin, le plus important pour cette visite à Alger de John Kerry sera la présidentielle algérienne du 17 avril.
              Le diplomate américain ne manquera pas de s'enquérir du déroulement de la campagne pour la présidentielle de 2014 et des résultats qui ont entraîné les réformes introduites par Bouteflika.
              Tout est dit !!!

              Son passage à Alger sera comme le fut celui de son prédécesseur, Mme Hillary Clinton, une occasion pour discuter avec les politiques, la société civile et les hauts responsables algériens
              J'ai encore les images en tête de cette visite - Ouyahia s'étais mis à plat ventre devant Hilary

              le diplomate américain maîtrise parfaitement la langue de Voltaire, ce qui facilitera encore plus sa rencontre très attendue avec le président Bouteflika.
              Les images de cette rencontre feront le Buzz !!
              Si Kerry rencontre effectivement Boutef.. plus la peine de voter

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              • #8
                John kerry, L'invité surprise
                Entonnant cette visite en ce moment ??

                Peut étre un signe-politique envers la France ( et à son satellite au Maghreb ) ...
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #9
                  C'est vraiment un sale coup que le salopard d'Obama nous fait.
                  L'Amérique ne change pas.

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                  • #10
                    The U.S. State Department says Secretary of State John Kerry will travel next week to Europe and then make a brief tour of North Africa.
                    The department said Wednesday that Kerry will visit Brussels for a NATO foreign ministers meeting on April 1 that is likely to focus on Russia and Ukraine, as well as in Afghanistan ahead of the end of year deadline for the withdrawal of international forces from that country. In Brussels, Kerry will also see European Union officials to better coordinate the western response to Russia's annexation of Crimea.
                    From Brussels, the department says that Kerry will travel to Algeria and Morocco for talks on counterterrorism and bolstering democratic transitions in the Arab world.
                    The announcement was made in Jordan where Kerry is currently visiting.

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                    • #11
                      Kerry sera également au Maroc la semaine prochaine.

                      Comme la dernière fois avant que Kerry n'annule sa visite au Maghreb pour officiellement le dossier iranien , c'est toujours le régime algerien qui piaffe d'annoncer en premier la visite de cet amerloque soutien indéfectible d’Israël

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                      • #12
                        Jusqu'à preuve du contraire, le roitelet du maroc est le seul maghrébin qui a honoré les sionistes....... dire que certains adorent ce charlatan sans foi ni loi.
                        Vive le Polisario ! ....... Haba man haba, wa kariha man kariha

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                        • #13
                          posté par Serpico

                          Kerry sera également au Maroc la semaine prochaine.
                          .

                          Bien sur aussi au Maroc ..

                          N oublie jamais , la fuite du Roi M6 en Afrique ..

                          Une deuxieme arrogance envers " Ross " et l administration americaine ....Il ne va pas etre tendre envers le Roi M6

                          Déjà Kerry n est pas tendre avec Israel .. ni avec l Arabie Saoudite


                          Alors devine la suite au Maroc
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                          • #14
                            la smala boutef envoie la grosse artillerie, les yankées protegent cette mafia, d'ailleurs le contraire aurait étonné.
                            Je remarque que Mrs lavrov n'a pas fait de meme alors que les interet russes sont aussi important, surtout qu'il est passé en tunisie sans osé faire le pas, geste apréciable.

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                            • #15
                              Mister Kerry veut obliger Boutéflika à acheter des Armes US, pour asphyxier les exportations russes, vous verrez dans quelques mois, le retournement de veste.
                              Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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