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ANNABA : Le slogan « Barakat » perturbe le meeting de Saïdani

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  • ANNABA : Le slogan « Barakat » perturbe le meeting de Saïdani

    Point mot sur le programme du candidat à sa propre succession, Abdelaziz Bouteflika sinon un discours de quelques minutes sur les vertus de la paix et la concorde civile. Tel était le contenu du meeting populaire qu’a animé, mercredi matin, Amar Saïdani, le secrétaire général du FLN, au théâtre régional Azzedine Medjoubi de Annaba (TRA)

    A son arrivée sur le perron du TRA, le chef du FLN, venu vendre la candidature du Président sortant aux annabis, a été accueilli par une fantasia, payée rubis sur angle par le député Bahaeddine Tliba, tout autant qu’une prise en charge totale à l’hôtel Sabri, où il a passé la nuit.

    Pour ne pas revivre la même déception essuyée à Sétif, où Saïdani s’est retrouvée face à une salle presque vide, le TRA était occupée par une assistance nombreuse composée d’employés de la commune et de la wilaya de Annaba et des jeunes de Tébessa ramenés sur injonction du député FLN Mohamed Djemaï.

    Une assistance qui obéit à la baguette de Klaia Nourdine, un autre élu FLN, appelé à la rescousse, pour sa capacité de drainer la foule lors des meetings. Au micro, Saïdani n’a pas cessé de ressasser la rengaine de la concorde civile qui, selon lui, a permis aux algériens de vivre heureux et dans la quiétude totale.

    « Bouteflika vous a apporté la paix. Il vous aime puisqu’il a répondu à votre appel et s’est porté candidat à l’élection présidentielle. Renvoyez lui l’ascenseur en votant massivement pour lui le 17 avril et profitez d’un avenir radieux sous son règne», a-t-il scandé.

    La réponse lui a été adressée par un groupe de jeunes qui a brandi une banderole sur laquelle est inscrit « Barakat, non au quatrième mandat » avant que les services de sécurité ne la leur confisquent. D’autres mécontents, en majorité des retraités de l’armée, ont occupé le trottoir du TRA et criaient des propos hostiles à Saïdani, notamment « Ya tabbal ».
    El Watan

  • #2
    la fraude est toujours pratique durant les présidentiels. je pense que Bouteflika sera notre president mais ce qui va se produit apres la sera l incertitude. je pense que l algerie coure un danger ce n est pas a cause de l etranger mais a cause de l absence de la democratie, l alternance au pouvoir et le desire de boutflika de mourir un president au mepris du pays et le peuple algerien
    If you want to go fast go alone, if you want to go far go together....
    You have to have a dream so you can get up in the morning....

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    • #3
      .Il vous aime puisqu’il a répondu à votre appel et s’est porté candidat à l’élection présidentielle. Renvoyez lui l’ascenseur en votant massivement pour lui le 17 avril
      Ils ne sont plus aussi sure d'eux

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      • #4
        Je pense , à mon humble avis , que les 5 candidats en course avec Bouteflika , auraient du , à l'instar de Sofiane Djilali , renoncer à se porter candidats à la magistrature suprème , en raison de l'inutilité de se lancer dans une bataille perdue d'avance ... le pouvoir en place a tous les atouts en main pour falsifier les résultats du scrutin et donner Bouteflika comme vainqueur de cette élection présidentielle dès le premier tour ! Il suffit d'entendre les vociférations de Sellal , de Amar Ghoul et leurs autres comparses qui ont l'air de nous dire :" Bouteflika houa le président bla djedkoum , habitou wala krahtou" , pour comprendre que tout est le résultat est déjà connu !
        Voilà pourquoi les 5 candidats font figure de lièvres , puisqu'ils cautionnent une mascarade électorale dont la partition a été minutieusement mise au point par les stratèges de la fraude !
        "La suprême élégance se confond avec la suprême simplicité."

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        • #5
          ............................
          Doublon
          -------------------
          "La suprême élégance se confond avec la suprême simplicité."

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          • #6
            Bouteflika est de ce genre d'homme d'Etat qu'on nomme DICTATEUR et, en tant que tel , il ne s'engage jamais dans une bataille électorale où ses chances de la remporter sont compromises par des rivaux opposants : ceci est une réalité et la meilleure preuve est le verrouillage des trois institutions concernées par le scrutin , notamment le ministère de l'intérieur, celui de la justice et le conseil constitutionnel à la tete desquelles il a placé ses hommes qui comptent parmi les plus fidèles (tous de la meme région)...A partir de là , tout est joué , le reste n'étant que pour la galerie !
            Bien que vulnérable, malade, débile, paralysé, muet, aphasique, frappé de plein fouet par une maladie gravement invalidante, sa mégalomanie et sa suffisance l'ont poussé à se lancer à la conquète d'une 4ème mandature de tous les dangers ! Rabi yestor ...
            "La suprême élégance se confond avec la suprême simplicité."

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