Ben Ali Boudghène, dit Colonel Lotfi, est l’un des héros de la guerre de libération nationale. Il est né le 5 mai 1934 à Tlémcen. En 1948, il décroche son certificat d’études primaires et rejoint la ville d’Oujda au Maroc pour poursuivre ses études secondaires mais fini par revenir un an après et s’inscrit à l’école franco-musulmane.
En octobre 1955, il rejoint les rangs de l’Armée de Libération Nationale (ALN) dans la zone V en qualité de secrétaire particulier de Si Jaber au même titre que son épouse qui l’a rejoint au maquis.
Il est désigné à la tête de la section de Tlémcen et Sebdou et constitue les cellules secrètes du FLN. Grâce à son sens d’organisation et son intelligence, il entame la structuration de l’activité commando dans la wilaya V sous le surnom de Si Brahim. Il marque le début de l’année 1956 par ce type d’opérations visant les objectifs français.
En 1956, Si Brahim dirige plusieurs batailles contre l’ennemi français dans le sud algérien notamment après la découverte du pétrole dans le Sahara.
Il est nommé chef de la zone huit de la wilaya V en janvier 1957 sous le nom de Lotfi en tant que capitaine puis commandant de la zone d’Aflou et membre du conseil de direction de la wilaya V.
Il est promu colonel pour diriger la wilaya V en mai 1958 et accentue l’effort de la résistance contre l’armée française sur le plan organisationnel et militaire.
Il fait le voyage en Yougoslavie avec Ferhat Abbès pour ramener un appui militaire à la guerre de Révolution.
Au début de l’année 1960, il assiste au Conseil National de la Révolution Algérienne à Tripoli et décide retourner à la wilaya V avec un groupe limité. Il tombe au champ d’honneur le 27 mars 1960 à Djebel Béchar après avoir livré une bataille féroce contre l’armée française qui a employé l’aviation et l’artillerie lourde.
En octobre 1955, il rejoint les rangs de l’Armée de Libération Nationale (ALN) dans la zone V en qualité de secrétaire particulier de Si Jaber au même titre que son épouse qui l’a rejoint au maquis.
Il est désigné à la tête de la section de Tlémcen et Sebdou et constitue les cellules secrètes du FLN. Grâce à son sens d’organisation et son intelligence, il entame la structuration de l’activité commando dans la wilaya V sous le surnom de Si Brahim. Il marque le début de l’année 1956 par ce type d’opérations visant les objectifs français.
En 1956, Si Brahim dirige plusieurs batailles contre l’ennemi français dans le sud algérien notamment après la découverte du pétrole dans le Sahara.
Il est nommé chef de la zone huit de la wilaya V en janvier 1957 sous le nom de Lotfi en tant que capitaine puis commandant de la zone d’Aflou et membre du conseil de direction de la wilaya V.
Il est promu colonel pour diriger la wilaya V en mai 1958 et accentue l’effort de la résistance contre l’armée française sur le plan organisationnel et militaire.
Il fait le voyage en Yougoslavie avec Ferhat Abbès pour ramener un appui militaire à la guerre de Révolution.
Au début de l’année 1960, il assiste au Conseil National de la Révolution Algérienne à Tripoli et décide retourner à la wilaya V avec un groupe limité. Il tombe au champ d’honneur le 27 mars 1960 à Djebel Béchar après avoir livré une bataille féroce contre l’armée française qui a employé l’aviation et l’artillerie lourde.
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