Le Monde.fr | 26.03.2014
La Chine a ouvert ses portes à la charcuterie française, un accord en ce sens a été finalisé mercredi 26 mars lors de la visite du président chinois, Xi Jinping, à Paris, redonnant un peu de souffle à une filière en difficulté.
Trois entreprises de charcuterie françaises pourront exporter leurs produits vers le gigantesque marché chinois dans les prochaines semaines. Sept autres sociétés devraient recevoir ultérieurement une telle autorisation.
Les autorités chinoises ont également donné leur agrément à une vingtaine de nouveaux sites industriels spécialisés dans la viande fraîche de porc et de poulet et à une quarantaine d'entrepôts frigorifiques. « Cette publication constitue une excellente nouvelle à un moment où le secteur agroalimentaire français mène une bataille à l'export et où le marché chinois constitue une opportunité pour de nombreuses entreprises », commentent les ministères de l'agriculture et de l'agroalimentaire français.
La France a été le premier pays européen à pouvoir exporter du porc frais à destination de la Chine, en 2005. Mais pour l'instant les échanges sont demeurés confidentiels.
EXPORTATION DE VERRATS
Les deux pays ont également signé un protocole d'accord pour développer l'exportation de verrats reproducteurs vers la Chine, afin d'améliorer la qualité des élevages porcins chinois avec le savoir-faire en génétique porcine de la France.
Plusieurs accords ont déjà été noués en ce sens, tel celui entre l'Institut français du porc (IFIP) et le groupe public chinois Bright Food en septembre 2013. Ce protocole permettra de multiplier ce type de coopérations.
Le porc est la viande la plus consommée en Chine, et un porc sur deux dans le monde est chinois.
La Chine a ouvert ses portes à la charcuterie française, un accord en ce sens a été finalisé mercredi 26 mars lors de la visite du président chinois, Xi Jinping, à Paris, redonnant un peu de souffle à une filière en difficulté.
Trois entreprises de charcuterie françaises pourront exporter leurs produits vers le gigantesque marché chinois dans les prochaines semaines. Sept autres sociétés devraient recevoir ultérieurement une telle autorisation.
Les autorités chinoises ont également donné leur agrément à une vingtaine de nouveaux sites industriels spécialisés dans la viande fraîche de porc et de poulet et à une quarantaine d'entrepôts frigorifiques. « Cette publication constitue une excellente nouvelle à un moment où le secteur agroalimentaire français mène une bataille à l'export et où le marché chinois constitue une opportunité pour de nombreuses entreprises », commentent les ministères de l'agriculture et de l'agroalimentaire français.
La France a été le premier pays européen à pouvoir exporter du porc frais à destination de la Chine, en 2005. Mais pour l'instant les échanges sont demeurés confidentiels.
EXPORTATION DE VERRATS
Les deux pays ont également signé un protocole d'accord pour développer l'exportation de verrats reproducteurs vers la Chine, afin d'améliorer la qualité des élevages porcins chinois avec le savoir-faire en génétique porcine de la France.
Plusieurs accords ont déjà été noués en ce sens, tel celui entre l'Institut français du porc (IFIP) et le groupe public chinois Bright Food en septembre 2013. Ce protocole permettra de multiplier ce type de coopérations.
Le porc est la viande la plus consommée en Chine, et un porc sur deux dans le monde est chinois.
Commentaire