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Moscou se prépare à affronter le grand froid économique

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  • Moscou se prépare à affronter le grand froid économique

    Face à l'accélération des sorties de capitaux, le gouvernement russe n'exclut plus une récession. Il promet aux entreprises qu'elles bénéficieront d'aides massives de l'Etat

    A peine sortie de l'hiver, la Russie se prépare à affronter une nouvelle intempérie : la probable récession économique. Soutien aux entreprises, aux banques, possible mobilisation d'un fonds souverain : les officiels ont évoqué jeudi différentes options de "survie". D'autant que le ministre russe de l'Economie, Alexeï Oulioukaïev, a de nouveau revu fortement à la baisse la prévision de croissance du pays ce même jour.

    Le ministre - qui avait déjà abandonné la prévision officielle d'une croissance de 2,5% du PIB cette année - a estimé qu'elle pourrait se situer autour de 0,6 - 0,7% si les sorties de capitaux atteignaient 100 milliards de dollars (72,5 milliards d'euros) cette année.

    Bientôt la récession ?

    Une tel scénario est très plausible, voire même encore trop optimiste puisque, selon les chiffres du ministère de l'Economie, les sorties de capitaux se chiffrent déjà à 70 milliards de dollars pour le seul premier trimestre. "Avec des sorties de capitaux de 150 milliards de dollars, la croissance devient négative", a déclaré le ministre à l'occasion d'une conférence sur l'investissement.

    Ce chiffre de 150 milliards - qui pourrait conduire la Russie en récession pour la première fois depuis la crise financière de 2008-2009 - a été avancé mercredi par la Banque mondiale, dans l'hypothèse où la crise autour de l'annexion de la Crimée s'aggraverait encore. Un scénario qui conduirait par ailleurs à un recul de 1,8% du PIB du pays, en cas de nouvelles sanctions des puissances occidentales. Une des principales craintes de Moscou : que les prix du pétrole, principale ressource du pays à l'export, viennent à baisser.

    Aides massives aux entreprises

    Les décideurs économiques réunis jeudi ont tous affirmé que l'économie russe pouvait se protéger et que la crise autour de l'annexion de la Crimée pourrait l'aider à devenir auto-suffisante. Une affirmation qui fait écho aux appels répétés de Vladimir Poutine à l'adresse des oligarques russes leur demandant de rapatrier leurs capitaux en Russie.

    Le ministre des Finances a assuré aux entreprises qu'elles pourraient compter sur des aides massives de l'Etat, comme lors de la crise financière de 2008-2009, pendant laquelle le gouvernement avait dépensé une somme estimée à 8% du PIB pour soutenir les grandes banques et les principales entreprises du pays.

    Pour ce faire, la Russie pourrait notamment puiser dans le fonds souverain alimenté par les taxes sur le secteur pétrolier, dont les actifs sont évalués à 87,3 milliards de dollars, a déclaré Anton Silouanov.

    Soutien au crédit bancaire

    La présidente de la Banque centrale a plaidé pour sa part pour des mesures de soutien au crédit bancaire, évoquant une opération de refinancement des banques à trois ans garanti par des programmes d'investissement soutenus par l'Etat :

    "Nous nous attendons à ce qu'une des conséquences des événements récents soit une augmentation de la demande de crédits à l'intérieur du pays si l'accès aux prêts à l'étranger est réduit pour les entreprises et les banques"

    Si les Russes sont des habitués des grands froids, celui qui s'annonce paraît toutefois particulièrement rigoureux...

    la tribune

  • #2
    Et pendant ce temps :

    Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé jeudi 27 mars qu'il était prêt à accorder à l'Ukraine une aide d'un montant de 14 à 18 milliards de dollars (10 à 13 milliards d'euros), en vertu d'un « accord de confirmation » de deux ans. Ce dispositif permet aux pays membres du FMI qui rencontrent des difficultés d'accéder à des emprunts facilités.
    14 a 18 milliards de dollars , exactement le montant dont a besoin l'Ukraine .


    L'ironie de l'histoire , est que ces fonds proviennent probablement des opérations de spéculateurs qui ont attaqués la Russie depuis le déclenchement de la crise en Crimée .


    Quand je vous disais que Poutine sautait dans un piège pieds joints .

    Dommage , le,monde sera ençore plus unipolaire qu'il ne l'était hier .
    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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    • #3
      Quand je vous disais que Poutine sautait dans un piège pieds joints

      à comparer à la sagesse des chinois qui sont plus fort mais agissent différemment

      Commentaire


      • #4
        la caravane.....

        La guerre économique n'a pas attendu la tribune ou les échos etc.. , elle fait rage depuis des années et là ce n'est qu'une escarmouche visible de cette iceberg, détrompez vous les lobotomisés les russes n'agissent pas seul de plus on n'a pas affaire à un pays endetté qui quemande sur le marché des credits et son marché export est beton (énergie agriculture armement).

        Commentaire


        • #5
          on n'a pas affaire à un pays endetté qui quemande sur le marché des credits et son marché export est beton (énergie agriculture armement).
          Ouiiiii , un pays qui a la plus grande surface au monde , une population de 140 millions d'habitants , qui produit du petrole , du gaz et des armes , qui a les terres agricoles les plus fertiles ........Mais qui ne fait que 2000 milliards de $ de PIB , comme la petite italie ......
          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

          Commentaire


          • #6
            Envoyé par Cell
            Quand je vous disais que Poutine sautait dans un piège pieds joints .

            Dommage , le,monde sera ençore plus unipolaire qu'il ne l'était hier .
            Ca donne juste une preuve supplémentaire sur ta naïveté spectaculaire.

            Tu me fais marrer avec tes analyses ridicules et sans queue ni tête.

            Commentaire


            • #7
              2000 milliards de $ de PIB
              C'est juste qu'on vit dans un monde dont tout est faux. Si l'échange mondial se basait sur l'or tu aurais eu la vraie valeur du PIB Russe.

              La petite Belgique a un PIB nettement plus supérieur à beaucoup de pays pour le simple fait que sa monnaie est l'Euro. La quantité de son PIB étant valorisée en Euro.

              Commentaire


              • #8
                La petite Belgique a un PIB nettement plus supérieur à beaucoup de pays pour le simple fait que sa monnaie est l'Euro. La quantité de son PIB étant valorisée en Euro.
                Il y a la notion de PIB en volume non? Ou celle de PIB en parité de pouvoir d'achat...
                Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

                Commentaire


                • #9
                  Faisons donc la comparaison en volume pour voir.

                  Commentaire


                  • #10
                    Comparaisons internationales : qu'apporte le raisonnement en parité de pouvoir d’achat?

                    LE CERCLE. Les PIB PPA (parité de pouvoir d’achat) des grands acteurs économiques internationaux ne laissent pas de surprendre : PIB en milliards de $ US courants de la Chine de 9020, pour un PIB PPA de 13 623 milliards de $ US "internationaux". Afin de procéder à des comparaisons portant sur les situations réelles des disparités dans les niveaux de richesse, la notion de PPA apparaît comme la plus adaptée.


                    Chaque pays offre une structure de coûts et de prix qui lui est propre et originale. Pour faciliter les comparaisons internationales, on peut se donner une "marchandise étalon" – au sens courant et non au sens de l’économiste Strafa – (par exemple, le "Big Mac" de la multinationale de restauration rapide Mac Donald, censé être fabriqué, distribué et vendu de la même façon partout autour du globe, et qui offre de ce fait la manière la plus simple pour opérer), auquel on va rapporter l’ensemble des vecteurs de coûts et de prix qui vont assurer la parité du pouvoir d’achat du consommateur final. On raisonne ainsi du point de vue de "l’insider" de l’économie à étudier.
                    Selon les cas, l’application de la méthode va faire montre de valeurs soit en forte hausse (bas niveau général des prix en Inde pour suivre notre exemple), ou alors en baisse selon le degré de développement du pays (la France prise ici). Plus intéressantes, les valeurs courantes sont pertinentes pour l’exportateur, qui va affronter une demande solvable immédiate de X milliards de $ US (on retrouve la notion traditionnelle de la part de marché "commerciale") ; alors que la logique idoine s’avère celle des PPA pour l’investisseur international, qui va subir la structure des prix et coûts locaux qui prévalent dans le pays où il a investi. Plus généralement, la richesse réelle d’un pays, exprimée en PPA, peut être considérée comme la "vraie" mesure de sa puissance économique, et sa part dans le PIB PPA mondial comme sa "vraie" part de marché.

                    Un classement mondial en grande partie bouleversé.

                    (Les données suivantes, présentées en annexes, sont tirées du "World Economic Outlook" d’avril 2013 du FMI. L’année de référence choisie est 2013).

                    En PPA, les États-Unis ne devancent que de peu l’économie chinoise : 16 238 milliards de $ US "internationaux", pour 13 623 pour la Chine. L’Inde figure au troisième rang international devant le Japon (4 778), l’Allemagne (3 383), la Russie (2 641), le Brésil (2466), le RU (2 391), la France (2290) et l’Italie (1836).

                    En termes de revenu/tête, les USA conservent toutefois une forte avance (51 248 $ US), devant l’Allemagne (44 870), la France (43 000) et le Japon (40 442).
                    Parmi le classement précédent, les quatre BRIC (hors Afrique du Sud) présentent un ratio PIB/PPA//PIB mondial PPA de 27.4 % contre 35.2 % pour les pays du G7 (hors Canada), soit une part de marché de l’offre agrégée de ces quatre pays de plus du quart de l’économie mondiale, pour 1/3 pour le G7.
                    Les deux blocs feraient 62.6 % du PIB mondial. La Chine (15.62 %), rejoint les USA en tendance (18.62 %), l’Inde (5.77 %) le Japon (5.48 %) et la Russie (3.02 %) et le Brésil (2.83 %) les économies occidentales d’Europe à savoir le RU (2.74 %), la France (2.62 %) et l’Italie (2.14 %).

                    La part de marché traditionnelle de la France étant de près de 4 % (contre 6 % il y a encore quinze ans), on voit qu’avec la PPA, sa richesse réelle n’est plus que de 2.6 %. Les disparités observées en niveau se retrouvent en termes de croissance annuelle moyenne sur l’année 2013, comme sur la chronique des chiffres antérieurs.
                    En termes de balance courante ramenée au PIB, la Chine et l’Allemagne dégagent des excédents similaires records (à + 5.7 %), loin devant la Russie (+2.6 %) et le Japon (+1.2 %), alors que l’Inde présente un fort déficit (-4.9 %), devant le RU (-4.4 %) et les USA (-3.0 %).
                    Les dépenses publiques ramenées aux PIB apparaissent comme très disparates. La France (56.6 %) arrive en tête avec l’Italie (50.7 %), loin d’un groupe médian (Allemagne 44.9 % et Japon 41.4 %), le niveau constaté ressortant comme faible chez les BRIC (24.2 % en Chine, 27.8 % en Inde, 33.5 % au Brésil et 39.5 % en Russie). Il faut y voir l’impact des systèmes de protection sociale très inégalement répartis selon les configurations, partout les contributions de sécurité sociale formant l’essentiel des prélèvements obligatoires.
                    La dynamique des populations est à l’œuvre, l’Inde (1,24 milliard d’habitants) se rapproche de la Chine (1,36 milliard), alors que l’époque est manifestement à l’émergence des pays continents (200 millions d’habitants au Brésil, 141 en Russie, et 317 aux USA), non compris le Canada, l’Australie et l’Indonésie. L’Allemagne (82) et le Japon (127) vieillissent graduellement.
                    Quant on s’intéresse à l’étiage de la dette cette fois, le Japon (143.4 % du PIB) apparaît comme la nation la plus endettée (soit une dette nominale de 11 038 milliards de $ US courants 2013), devant les USA (89 % soit 14 452 milliards). La dette reste faible en Allemagne (54.7 %) devant des dettes élevées en Europe continentale (105.7 % en Italie, 86.5 % en France et 86.1 % au RU).
                    Les quatre pays les plus endettés d’Europe (Espagne, Portugal, Grèce, Irlande) représentent moins de 2.5 % du PIB mondial en PPA, soit de très petits acteurs internationaux. Parmi eux, seule l’Irlande offre un revenu/tête très élevé (48 230 $ US), celui du Portugal s’inscrivant à 20 689. Alors que leur PIB PPA représente 13.4 % du PIB PPA des USA, leurs dettes courantes (1 706.5 milliards de $ US) atteignent 11.8 % de la dette américaine (42 % avec l’Italie à 6077.5 milliards de $ US), soit un ratio en ligne d’avec leurs richesses réelles, puisque le poids relatif de la dette est moindre que leur poids rapporté au PIB américain. Ils présentent toutefois des rapports dette/PIB très élevés : 176.1 % pour la Grèce, 115 % pour le Portugal, 106.1 % pour l’Irlande et 79.1 % pour l’Espagne.
                    Ce sont des pays où le poids de l’État est élevé (45 % en moyenne), et qui affichent de forts taux de chômage (27 % en Espagne et en Grèce, 18.2 % au Portugal 14.2 % en Irlande), mal qui affecte un autre BRIC, l’Afrique du Sud, avec 25.7 %. Tous ces pays, hormis l’Irlande (+1.1 %), connaitront une poursuite de la récession en 2013 : -1.6 % en Espagne, -2.3 % au Portugal et -4.2 % en Grèce selon les prévisions du Fonds.
                    De façon un peu surprenante, le "World Economic Outlook" du FMI ne présente pas le traditionnel ratio déficit public/PIB, mais le déficit budgétaire structurel rapporté au PIB potentiel. Tout laisse à penser que ce dernier indicateur est un minorant du déficit budgétaire : l’apurement du cycle conjoncturel va minorer le numérateur, alors que le PIB potentiel va majorer le dénominateur.
                    Quoi qu’il en soit, on voit bien l’ampleur du chemin à parcourir puisque l’Irlande affiche un taux de –5.5 %, l’Espagne de –4.5 %, le Portugal de –2.9 % et la Grèce de –0.43 %. De façon plus subjective, on remarquera une forte détérioration des indicateurs sous revue pour le RU et l’Irlande, qui tend toutefois à passer inaperçue dans les médias internationaux (voir tableau).
                    Pour finir, la dette française (5 108 milliards de $ US courants) représente 3 fois la dette des 4 pays du sud de l’Europe, 35.3 % de la dette américaine et 46.3 % de la dette japonaise.
                    En prospective, et en prolongeant les tendances de moyen terme, c’est en 2017 que la Chine rattraperait en PPA les États-Unis. En 2018, le PIB chinois PPA s’élèverait à 22 641 milliards de $ US "international" (pour un PIB nominal de 14 491 milliards courants). Les USA seraient à 21 101 milliards de $ US. Le PIB indien (7 717 milliards de $ US PPA) devancerait de plus en plus le PIB japonais (5 619 PPA), allemand (3 868 PPA), russe (3 501 PPA), brésilien (3 345 PPA), britannique (2 920), français (2 742) et italien (2 153).
                    La part de marché mondial PPA des quatre BRIC (hors Afrique du Sud) s’élèverait à 31.2 %, et ferait presque jeu égal avec le G6 (hors Canada) à 32.2 %. Les deux blocs représenteraient en 2018 63.4 % contre 62.6 % en 2013 soit une faible augmentation. Le tiers restant serait constitué de nouveaux pays émergents qui affirmeraient leur montée en puissance déjà visible actuellement : Argentine, Chili, Mexique, Maroc, Nigeria, Indonésie, Turquie, Australie, Égypte… La France ne détiendrait plus que 2.3 % de l’offre PPA mondiale.
                    Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

                    Commentaire


                    • #11
                      Envoyé par Cell
                      Ouiiiii , un pays qui a la plus grande surface au monde , une population de 140 millions d'habitants , qui produit du petrole , du gaz et des armes , qui a les terres agricoles les plus fertiles ........Mais qui ne fait que 2000 milliards de $ de PIB , comme la petite italie ...
                      Mais en Italie, la population est 2 fois moins nombreuse qu'en Russie et le Gâteau est mieux partager.

                      Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                      • #12
                        il faut dire le contraire , c'est qu'ils sont plus productifs ces italiens que les Russes qui comptent plus sur la rente

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                        • #13
                          14 a 18 milliards de dollars , exactement le montant dont a besoin l'Ukraine .


                          L'ironie de l'histoire , est que ces fonds proviennent probablement des opérations de spéculateurs qui ont attaqués la Russie depuis le déclenchement de la crise en Crimée .


                          Quand je vous disais que Poutine sautait dans un piège pieds joints .

                          Dommage , le,monde sera ençore plus unipolaire qu'il ne l'était hier .
                          Analyse à deux sous, vraiment n'importe quoi pour relever le moral des amerloques à bout de souffle.

                          Les milliards de dollars en question couvrent à peine la dette ukrainienne envers la Russie qui est de l'ordre de 11 milliards d'euros.

                          De plus ce n'est pas encore gagné pour l'Ukraine pour avoir le credit elle doit doubler le prix du gaz et mettre au chomage la moitié de sa fonction publique.

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                          • #14
                            Je crois que vous oubliez de parler d'un point trés important. La récession n'est pas un problème majeur aux dirigeants Russes, certes ils ne veulent pas de ça, mais ils sont confiants que grace à la dictature ils tiennent bien les ficelles. Le peuple russe est pris en otage et ne pourra rien faire dans le cas d'une récession provoquée par des mafieux, à part la voie choisie par tous les autres slaves, quitter leurs pays. Leurs dirigeants sont prêts à leur faire brouter l'herbe contrairement à l'ouest.. où les gens sautent au moindre rendez-vous électoral pour de meilleures conditions. L'occident le sait, seul les peuples souffrent des récessions chez les dictatures, que ça soit la Corée des Jong, l'Irak de Saddam, la Syrie d'Assad, la Russie de Putin...etc.. la récession ne veut rien dire, c'est le peuple qui tombe et non pas les dirigeants.
                            Pas à la tique ..

                            Commentaire


                            • #15
                              Je crois que vous oubliez de parler d'un point trés important. La récession n'est pas un problème majeur aux dirigeants Russes, certes ils ne veulent pas de ça, mais ils sont confiants que grace à la dictature ils tiennent bien les ficelles. Le peuple russe est pris en otage et ne pourra rien faire dans le cas d'une récession provoquée par des mafieux, à part la voie choisie par tous les autres slaves, quitter leurs pays. Leurs dirigeants sont prêts à leur faire brouter l'herbe contrairement à l'ouest.. où les gens sautent au moindre rendez-vous électoral pour de meilleures conditions. L'occident le sait, seul les peuples souffrent des récessions chez les dictatures, que ça soit la Corée des Jong, l'Irak de Saddam, la Syrie d'Assad, la Russie de Putin...etc.. la récession ne veut rien dire, c'est le peuple qui tombe et non pas les dirigeants.
                              Le taux de participarion aux elections municipales en France etait de 52 %.
                              Tu parles de recession en Russie, mais tu as oublié la GRECE, Chypre, l'Espagne, le Portugal ....
                              La Russie est un pays vaste avec un sous-sol riche en petrol, gaz et minerais ...
                              Les allemeands pensent qu'il n'y a pas de politique europeenne sans la Russie et qu'il n'y a pas de politique europeenne contre la russie

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