Dans le cadre de la poursuite des auditions des membres du gouvernement, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a consacré, une séance au secteur de l'Agriculture et du Développement rural.
Les politiques sociales suivies dans le monde agricole et rural depuis l'indépendance ont permis une substantielle amélioration des principaux indicateurs de développement humain en valeur absolue. Il n'en demeure pas moins qu'elles n'ont pas réussi à garantir la sécurité alimentaire ni à effacer les inégalités.
S'agissant du bilan, il est rappelé que depuis, 2000, le pays a mis en oeuvre une politique agricole à travers le Plan national de développement agricole (PNDA), pour réussir un véritable sauvetage de notre agriculture visant sa mise à niveau et sa modernisation pour relever les défis qu'imposent la mondialisation des échanges.
Ce Plan, dont les fondements s'inspirent du programme du président de la République, constitue une réponse cohérente et appropriée aux objectifs assignés au secteur agricole en matière:
# d'amélioration des performances de l'agriculture pour une satisfaction plus effective et plus large de la sécurité alimentaire des populations,
# de lutte soutenue contre la dégradation continue des milieux physiques et l'avancée menaçante de la désertification,
# de protection des ressources naturelles et de l'environnement,
# d'adaptation de l'agriculture à l'aridité du climat marqué par une sécheresse persistante,
# de revitalisation des espaces ruraux pour permettre aux populations rurales de vivre leur ruralité dans la dignité (espaces vidés par les années de sécheresse et de vigilance).
Les retombées de ce Plan sont aujourd'hui perceptibles: 1.008.000 emplois, 825.000 ha d'irrigués dont 167.000 ha en goutte à goutte, 1.000.000 ha d'arboriculture fruitière et viticole (500.000 ha en 1999), extension de la Surface agricole utile (SAU) de 713.000 ha, amélioration des disponibilités caloriques passant de 3.900 Kcal/j/habitant à 4.900 Kcal/j/habitant, valeur de la production de 8,8 milliards de dollars, taux de croissance de 6,5 % retour des populations rurales...
Ces retombées démontrent la pertinence de ce plan qui a amorcé une véritable réhabilitation de l'économie agricole et favorisé la création de multiples créneaux d'investissements en amont et en aval pour la promotion d'une agriculture productive et moderne plus attractive pour une jeunesse cultivée de plus en plus séduite par l'agriculture et le monde rural, viables et rentables.
Les principaux résultats capitalisés au titre du Plan national de développement agricole et rural (PNDAR) se présente comme suit :
Le programme de reconversion visant l'adaptation des systèmes de production aux conditions pédoclimatiques a permis de réduire sensiblement la pratique de la céréaliculture dans les zones fragiles en la remplaçant par des cultures plus adaptées contribuant à protéger, voire à revaloriser ces terres marginales, notamment par les plantations viticoles et arboricoles rustiques et rentables.
Le programme de développement des filières a permis l'amélioration significative des disponibilités en produit agricoles favorisant ainsi l'accès et l'accessibilité des consommateurs à ces produits et contribuant à une amélioration sensible de la sécurité alimentaire du pays. Cette approche a permis d'atteindre les résultats suivants :
I) La superficie réservée à la céréaliculture s'est stabilisée autour de 3 millions d'hectares (alors qu'elle était de 4 millions) localisées au niveau des zones potentielles et intermédiaires ayant permis d'améliorer sensiblement la production annuelle avec une moyenne annuelle de plus de 33 millions quintaux contre 22 millions durant la dernière décennie.
II) la superficie arboricole et viticole a été multipliée par deux portant le potentiel productif de 500.000 ha à 1 million d'hectares.
III) en termes d'irrigation, le développement des techniques d'irrigation localisée a permis de réaliser de substantielles économies d'eau ayant permis de porter la superficie irriguée à plus de 800.000 ha contre 300.000 ha en 1999.
Le programme de mise en valeur des terres par la concession et l'accession à la propriété foncière a permis de mettre en valeur plus de 700.000 ha représentant un accroissement de 9 % de la surface agricole utile, tout en créant des pôles d'activités agricoles au niveau des zones rurales repeuplées de nouveau à travers la création de nouvelles activités et exploitations agricoles favorisant la création d'emplois et l'amélioration des revenus des populations concernées.
La protection des ressources naturelles et la lutte contre la désertification ont également constitué des axes importants du Plan national de développement agricole (PNDA) à travers la mise en oeuvre de programmes de développement forestier et de développement du pastoralisme et de la steppe. C'est ainsi que près de 200.000 ha ont été reboisés auxquels s'ajoutent les actions de conservation du sol, de désenclavement, de prévention et de lutte contre les incendies renforçant ainsi la protection des bassins versants protégeant les barrages de l'envasement.
Les actions engagées au niveau des zones steppiques ont contribué à réhabiliter plus de 3 millions d'hectares sur les 7 millions d'hectares de parcours fortement dégradés grâce à la mise en défens et aux plantations pastorales. Les actions de conservation des sols et de domestication des eaux de ruissellement, en les utilisant pour l'irrigation, ont également contribué à mieux protéger les parcours et à tripler l'offre fourragère atteignant près de 4 milliards d'unités fourragères soit l'équivalent de près de 40 millions de quintaux d'orge, tout en densifiant les points d'eau pour l'abreuvement des cheptels.
Les opérations de mieux en mieux maîtrisées par le Haut commissariat au développement de la steppe (HCDS) ont également permis de réaliser 1.800.000 m3 d'ouvrages de protection, la construction de 1.000 "ceds" pour l'irrigation par épandage de 487.000 ha de fourrages, la réalisation de 6.000 points pour l'abreuvement du cheptel.
Le développement harmonieux de l'agriculture et du monde rural a permis la conjugaison des actions simultanément engagées dans le cadre des programmes précités. Ceci a permis d'enregistrer de nombreux impacts mesurables parmi les lesquels :
I) la création de 1.008.000 emplois,
II) l'intégration et la mise à niveau de plus de 300.000 exploitations agricoles dont 220.000 sont devenues bancables,
III) une disponibilité accrue en fruits et légumes couvrant largement les besoins et dégageant même des excédents,
IV) l'amélioration des disponibilités caloriques qui sont passées a 4.800 kcal/k/hab contre 3.900 Kcal/j/ha au début de cette décennie,
V) une utilisation rationnelle des eaux d'irrigation par le développement de l'irrigation localisée (goutte à goutte) sur près de 200.000 hectares,
VI) l'extension de la surface agricole utile,
VII) le renforcement de la lutte contre la désertification par la réhabilitation de 3 millions d'hectares de parcours steppiques sur les 7 millions fortement dégradés et la protection de plus de 500.000 hectares dans les bassins versants,
VIII) la revitalisation des espaces ruraux à l'origine de la stabilisation des populations rurales et du retour de celles qui ont fuit ces espaces pour diverses raisons économiques ou sécuritaires (1.043 projets forestiers pour 106.000 ménages, 725 projets en zone steppique pour 152.000 ménages, 693 projets de mise en valeur pour 43.161 ménages).
En 2005, la valeur de la production agricole est estimée à 8,8 milliards de dollars us. En outre, l'agriculture a constitué un des principaux facteurs de développement économique du pays avec un taux de croissance moyen de ces 5 dernières années de 6,5 %.
Au regard des perspectives de développement que se fixe le secteur pour l'horizon 2013, le chef de l'Etat a noté les tendances lourdes porteuses d'espoir, apparues à la faveur des premiers résultats enregistrés lors de la mise en oeuvre des différents programmes du Plan national de développement agricole et rural (PNDAR).
Les objectifs à atteindre à travers la poursuite du Plan national de développement agricole et rural (PNDAR), s'inspirent du programme du président de la République dans ses aspects relatifs à la concrétisation de la politique de développement durable qui aura son importance par rapport aux autres activités économiques du pays.
Le chef de l'Etat a approuvé la poursuite et le parachèvement de la mise à niveau des exploitations agricoles, en ciblant, à l'horizon 2009, les 250.000 exploitations agricoles restantes sur les 500.000 susceptibles de l'être.
Pour concrétiser cette mise à niveau, le programme concernera plusieurs axes, il s'agira d'une part de poursuivre les efforts de développement des techniques d'irrigation économisatrices d'eau à raison de 40.000 ha/an. Ensuite d'activer l'intensification des cultures constituant les produits de base de notre alimentation (céréales, légumes secs, pomme de terre) sur une superficie moyenne annuelle de 500.000 ha.
Pour rappel, le programme de l'hydraulique auquel le président Bouteflika accorde la priorité, permettra, une fois réalisé, de mettre à la disposition de l'agriculture 350.000 ha irrigués, toutes formes d'irrigation confondues.
Il s'agira également de poursuivre l'immense effort d'extension du patrimoine productif arboricole, phoénicicole et viticole sur une superficie moyenne annuelle dépassant 50.000 ha, en veillant aux choix variétaux adaptés aux besoins des marchés national et international et en adaptant le parc matériel agricole aux conditions agro-pédoclimatiques semi arides et arides.
Enfin, cette mise à niveau sera confortée par l'élargissement du potentiel productif animal, principalement le bovin laitier, par l'amélioration des performances du cheptel local et par l'acquisition d'au moins 50.000 vaches laitières/an de hautes performances.
Toutefois, les résultats du Plan national de développement agricole et rural (PNDAR), ne pourront donner toute leur mesure sans la valorisation de la production agricole par la professionnalisation de l'activité agricole, la mise en place de filières, d'un dispositif de labellisation et de certification d'un certain nombre de produits agricole et la spécialisation de certaines régions et terroirs aux produits spécifiques de qualité.
S'agissant de l'extension de la Surface agricole utile (SAU), il est mis l'accent sur la nécessité de poursuivre le programme de mise en valeur des terres par la concession sur une superficie de 400.000 ha, à raison de 100.000 ha par an.
Les politiques sociales suivies dans le monde agricole et rural depuis l'indépendance ont permis une substantielle amélioration des principaux indicateurs de développement humain en valeur absolue. Il n'en demeure pas moins qu'elles n'ont pas réussi à garantir la sécurité alimentaire ni à effacer les inégalités.
S'agissant du bilan, il est rappelé que depuis, 2000, le pays a mis en oeuvre une politique agricole à travers le Plan national de développement agricole (PNDA), pour réussir un véritable sauvetage de notre agriculture visant sa mise à niveau et sa modernisation pour relever les défis qu'imposent la mondialisation des échanges.
Ce Plan, dont les fondements s'inspirent du programme du président de la République, constitue une réponse cohérente et appropriée aux objectifs assignés au secteur agricole en matière:
# d'amélioration des performances de l'agriculture pour une satisfaction plus effective et plus large de la sécurité alimentaire des populations,
# de lutte soutenue contre la dégradation continue des milieux physiques et l'avancée menaçante de la désertification,
# de protection des ressources naturelles et de l'environnement,
# d'adaptation de l'agriculture à l'aridité du climat marqué par une sécheresse persistante,
# de revitalisation des espaces ruraux pour permettre aux populations rurales de vivre leur ruralité dans la dignité (espaces vidés par les années de sécheresse et de vigilance).
Les retombées de ce Plan sont aujourd'hui perceptibles: 1.008.000 emplois, 825.000 ha d'irrigués dont 167.000 ha en goutte à goutte, 1.000.000 ha d'arboriculture fruitière et viticole (500.000 ha en 1999), extension de la Surface agricole utile (SAU) de 713.000 ha, amélioration des disponibilités caloriques passant de 3.900 Kcal/j/habitant à 4.900 Kcal/j/habitant, valeur de la production de 8,8 milliards de dollars, taux de croissance de 6,5 % retour des populations rurales...
Ces retombées démontrent la pertinence de ce plan qui a amorcé une véritable réhabilitation de l'économie agricole et favorisé la création de multiples créneaux d'investissements en amont et en aval pour la promotion d'une agriculture productive et moderne plus attractive pour une jeunesse cultivée de plus en plus séduite par l'agriculture et le monde rural, viables et rentables.
Les principaux résultats capitalisés au titre du Plan national de développement agricole et rural (PNDAR) se présente comme suit :
Le programme de reconversion visant l'adaptation des systèmes de production aux conditions pédoclimatiques a permis de réduire sensiblement la pratique de la céréaliculture dans les zones fragiles en la remplaçant par des cultures plus adaptées contribuant à protéger, voire à revaloriser ces terres marginales, notamment par les plantations viticoles et arboricoles rustiques et rentables.
Le programme de développement des filières a permis l'amélioration significative des disponibilités en produit agricoles favorisant ainsi l'accès et l'accessibilité des consommateurs à ces produits et contribuant à une amélioration sensible de la sécurité alimentaire du pays. Cette approche a permis d'atteindre les résultats suivants :
I) La superficie réservée à la céréaliculture s'est stabilisée autour de 3 millions d'hectares (alors qu'elle était de 4 millions) localisées au niveau des zones potentielles et intermédiaires ayant permis d'améliorer sensiblement la production annuelle avec une moyenne annuelle de plus de 33 millions quintaux contre 22 millions durant la dernière décennie.
II) la superficie arboricole et viticole a été multipliée par deux portant le potentiel productif de 500.000 ha à 1 million d'hectares.
III) en termes d'irrigation, le développement des techniques d'irrigation localisée a permis de réaliser de substantielles économies d'eau ayant permis de porter la superficie irriguée à plus de 800.000 ha contre 300.000 ha en 1999.
Le programme de mise en valeur des terres par la concession et l'accession à la propriété foncière a permis de mettre en valeur plus de 700.000 ha représentant un accroissement de 9 % de la surface agricole utile, tout en créant des pôles d'activités agricoles au niveau des zones rurales repeuplées de nouveau à travers la création de nouvelles activités et exploitations agricoles favorisant la création d'emplois et l'amélioration des revenus des populations concernées.
La protection des ressources naturelles et la lutte contre la désertification ont également constitué des axes importants du Plan national de développement agricole (PNDA) à travers la mise en oeuvre de programmes de développement forestier et de développement du pastoralisme et de la steppe. C'est ainsi que près de 200.000 ha ont été reboisés auxquels s'ajoutent les actions de conservation du sol, de désenclavement, de prévention et de lutte contre les incendies renforçant ainsi la protection des bassins versants protégeant les barrages de l'envasement.
Les actions engagées au niveau des zones steppiques ont contribué à réhabiliter plus de 3 millions d'hectares sur les 7 millions d'hectares de parcours fortement dégradés grâce à la mise en défens et aux plantations pastorales. Les actions de conservation des sols et de domestication des eaux de ruissellement, en les utilisant pour l'irrigation, ont également contribué à mieux protéger les parcours et à tripler l'offre fourragère atteignant près de 4 milliards d'unités fourragères soit l'équivalent de près de 40 millions de quintaux d'orge, tout en densifiant les points d'eau pour l'abreuvement des cheptels.
Les opérations de mieux en mieux maîtrisées par le Haut commissariat au développement de la steppe (HCDS) ont également permis de réaliser 1.800.000 m3 d'ouvrages de protection, la construction de 1.000 "ceds" pour l'irrigation par épandage de 487.000 ha de fourrages, la réalisation de 6.000 points pour l'abreuvement du cheptel.
Le développement harmonieux de l'agriculture et du monde rural a permis la conjugaison des actions simultanément engagées dans le cadre des programmes précités. Ceci a permis d'enregistrer de nombreux impacts mesurables parmi les lesquels :
I) la création de 1.008.000 emplois,
II) l'intégration et la mise à niveau de plus de 300.000 exploitations agricoles dont 220.000 sont devenues bancables,
III) une disponibilité accrue en fruits et légumes couvrant largement les besoins et dégageant même des excédents,
IV) l'amélioration des disponibilités caloriques qui sont passées a 4.800 kcal/k/hab contre 3.900 Kcal/j/ha au début de cette décennie,
V) une utilisation rationnelle des eaux d'irrigation par le développement de l'irrigation localisée (goutte à goutte) sur près de 200.000 hectares,
VI) l'extension de la surface agricole utile,
VII) le renforcement de la lutte contre la désertification par la réhabilitation de 3 millions d'hectares de parcours steppiques sur les 7 millions fortement dégradés et la protection de plus de 500.000 hectares dans les bassins versants,
VIII) la revitalisation des espaces ruraux à l'origine de la stabilisation des populations rurales et du retour de celles qui ont fuit ces espaces pour diverses raisons économiques ou sécuritaires (1.043 projets forestiers pour 106.000 ménages, 725 projets en zone steppique pour 152.000 ménages, 693 projets de mise en valeur pour 43.161 ménages).
En 2005, la valeur de la production agricole est estimée à 8,8 milliards de dollars us. En outre, l'agriculture a constitué un des principaux facteurs de développement économique du pays avec un taux de croissance moyen de ces 5 dernières années de 6,5 %.
Au regard des perspectives de développement que se fixe le secteur pour l'horizon 2013, le chef de l'Etat a noté les tendances lourdes porteuses d'espoir, apparues à la faveur des premiers résultats enregistrés lors de la mise en oeuvre des différents programmes du Plan national de développement agricole et rural (PNDAR).
Les objectifs à atteindre à travers la poursuite du Plan national de développement agricole et rural (PNDAR), s'inspirent du programme du président de la République dans ses aspects relatifs à la concrétisation de la politique de développement durable qui aura son importance par rapport aux autres activités économiques du pays.
Le chef de l'Etat a approuvé la poursuite et le parachèvement de la mise à niveau des exploitations agricoles, en ciblant, à l'horizon 2009, les 250.000 exploitations agricoles restantes sur les 500.000 susceptibles de l'être.
Pour concrétiser cette mise à niveau, le programme concernera plusieurs axes, il s'agira d'une part de poursuivre les efforts de développement des techniques d'irrigation économisatrices d'eau à raison de 40.000 ha/an. Ensuite d'activer l'intensification des cultures constituant les produits de base de notre alimentation (céréales, légumes secs, pomme de terre) sur une superficie moyenne annuelle de 500.000 ha.
Pour rappel, le programme de l'hydraulique auquel le président Bouteflika accorde la priorité, permettra, une fois réalisé, de mettre à la disposition de l'agriculture 350.000 ha irrigués, toutes formes d'irrigation confondues.
Il s'agira également de poursuivre l'immense effort d'extension du patrimoine productif arboricole, phoénicicole et viticole sur une superficie moyenne annuelle dépassant 50.000 ha, en veillant aux choix variétaux adaptés aux besoins des marchés national et international et en adaptant le parc matériel agricole aux conditions agro-pédoclimatiques semi arides et arides.
Enfin, cette mise à niveau sera confortée par l'élargissement du potentiel productif animal, principalement le bovin laitier, par l'amélioration des performances du cheptel local et par l'acquisition d'au moins 50.000 vaches laitières/an de hautes performances.
Toutefois, les résultats du Plan national de développement agricole et rural (PNDAR), ne pourront donner toute leur mesure sans la valorisation de la production agricole par la professionnalisation de l'activité agricole, la mise en place de filières, d'un dispositif de labellisation et de certification d'un certain nombre de produits agricole et la spécialisation de certaines régions et terroirs aux produits spécifiques de qualité.
S'agissant de l'extension de la Surface agricole utile (SAU), il est mis l'accent sur la nécessité de poursuivre le programme de mise en valeur des terres par la concession sur une superficie de 400.000 ha, à raison de 100.000 ha par an.
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