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MOSTAGANEM d'Autrefois

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  • MOSTAGANEM d'Autrefois

    dz(0000/1111)dz

  • #2

    dz(0000/1111)dz

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    • #3
      Bonsoir Katiaret

      j'aime beaucoup cette carte postal noir et blanc
      de la ville de Mostaganem
      l'architecture Art déco est magnifique
      elle cotoie la beauté Méditéranéenne oeilfermé
      les parlmiers sur la grande place
      je ne savais pas que Youceff Iben Tachfin
      en était le fondateur
      un personnage très connue au Maroc
      beaucoup de chose nous lient

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      • #4
        fadwa Bonsoir

        je ne savais pas que Youceff Iben Tachfin
        en était le fondateur
        un personnage très connue au Maroc
        beaucoup de chose nous lient
        Il y a aussi Zaouia al-Alawiya Mostaganem
        Mon grand pere me racontais a l’époque beaucoup venaient du Maroc pour la grande Wouhada de la Zaouia ...

        Succédant en 1909 à son maître le cheikh al-Buzaidî, le cheikh Ahmad al-Alâwî, né en 1869, mort en 1934, fut le revivificateur de la Tarîqa Darqâwiyya-Shâdhiliyya au début du vingtième siècle. Il sut harmoniser tradition et modernité pour donner une nouvelle dynamique à l’enseignement ésotérique de l’islam et fut le premier maître soufi à introduire cet enseignement en Occident.

        Sa pensée sur les plans spirituel, philosophique et journalistique. se développe dans les années 1920 au Maghreb, en Europe et au Proche-Orient. Dans les années 1920, le cheikh se rend en Europe, où les premiers foyers – les zaouia – ont vu le jour grâce à l’initiative de fuqarâ émigrés en France et en Angleterre notamment. En 1924, une zaouia est fondée à Paris, Porte de Versailles, puis dans d’autres villes comme Marseille, Orléans, Lille, Châlons-sur-Marne, Nice, Toulouse, Antibes ou Avignon. En 1926, le cheikh Ahmed al-Alawi se rend à Paris pour l’inauguration de la Mosquée ; il y prononce le sermon initial et la première prière.

        Suivant cette tradition d’ouverture, depuis les années 1980, le cheikh Khaled Bentounès, son arrière petit-fils et actuel guide spirituel de la confrérie, a su devenir un acteur incontournable de la vie publique nationale et internationale en tant que représentant d’une voie de l’Islam en France : partenariat avec l’UNESCO, participation à la mise en place du Conseil français du culte musulman et très nombreuses actions de co-développement, particulièrement à destination de l’Afrique.

        Source E-CORPUS
        Tiarti

        Merci a toi de ce magnifique partage qui est ma ville natale ma seconde Maman......

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        • #5
          bonsoir

          ces photos cest la préiode coloniale française l'une des plus belles villes d'Algérie qu'on a plusieur style occidental et andalou aussi bien que sa réchesse en particularités culturel et architectural

          Un peu d'histoire
          La côte de Tenes à Arzew était bien connue des phéniciens sui y avaient établi des comptoirs : Petit-Port et Ouillis dans le Dahra et Kharouba prés de Mostaganem. La ville aurait été fondée au Moyen Age, certains attribuent sa fondation aux almoravides qui, durant le XIème siècle en furent les maîtres vers 1082. Youcef Ibn Tachfine, le Fondateur de Dynastie Almoravides se serait contenté de construire un "Bordj" sur une colline au nord de l’actuelle agglomération.
          On attribue la construction de la grande Mosquée de Mostaganem en l’an 1340 au Sultan Mérinide Abou El-Hassen Ali Ibn Abi Saïd. Les entreprises espagnoles dans le Maghreb Central et Oriental avaient commencé dés 1505, date à laquelle le Cardinal XIMENES sous le règne des Rois Catholiques fit occuper Mers-El-Kébir. Les souverains de Tlemcen et Tunis affaiblis par les guerres et les luttes intestines se montrèrent incapable de relever le défit espagnol. Le 26 mai 1511, Mostaganem ouvrit ses portes à l’ennemi en signant avec lui une capitulation.
          La période turque de l’histoire du Maghreb commença à la suite de l’action espagnole contre les principaux Ports nord-africains. Mostaganem situé entre Oran et Alger fut une des principales causes de la rivalité meurtrière entre les Espagnoles et les Turcs. Mostaganem clé du pays était à cette époque une ville défendue par de bonnes murailles et par une citadelle qui dominaient sa partie la plus élevée. Les combats les plus violents se déroulèrent à Mazagran le 23 août 1550.Par mer et par terre, les Espagnols étaient de toutes part sous les feux. Le comte d’Alcaudète périt mortellement blessé. Après la défaite, les Espagnols renoncèrent à Mostaganem.
          La véritable importance de Mostaganem semble être due à l’établissement d’un grand nombre de familles andalouses qui furent attirées par la fertilité du Sol. Elles fondèrent alors des exploitations agricoles qui firent la renommée de la région. Grâce à cette population active et nombreuse, la région se couvrit de magnifiques villages. Vers 1580, la ville était opulente et vivait dans le luxe, les impôts payés aux turcs d’Alger en sont la preuve. Les Arabes et plus tard les Turcs ont crée de nombreux centres, tels que Kallaa des Beni-Rached, Mazouna qui disputèrent à Mostaganem son rôle de métropole. La région de Mostaganem a donné de grands noms à l’histoire ; citons pour mémoire les écrivains poètes "SIDI BENHAOUA", "SIDI LAKHDAR BENKHLOUF", "CHEIKH-EL MAZOUNI", "CHEIKH-BOURAS" et tant d’autres.
          Durant les années qui ont précédé l’invasion française, Mostaganem demeurait toujours une grande ville de l’Ouest. Plus qu’Oran, elle était la 2ième après Tlemcen. Tigditt, Matmor et Mazagran se grouperont autour de la Ville principale, elle renfermait neuf (9) mosquées. La justice était rendue par deux (2) Kadis, l’un turc de rite hanafite et l’autre arabe de rite malekite, leur jugement n’avait d’appel que devant le Bey d’Oran. Il est à noter qu’Oran libérée définitivement de l’occupation espagnole en 1792 redevint le siège du Beylik de l’ouest. Certains habitants de Mostaganem furent transférés dans cette capitale pour la repeupler de nouveau. Le magistrat turc était en partie chargé de recueillir les impôts qui se composaient de rentes par les propriétaires pour l’entretient des lieux Saints de l’Islam.
          Les Turcs et les koulouglis occupaient la ville proprement dite située sur la rive gauche de Ain-Sefra. C’était le quartier réservé au commandement Belikal et à l’aristocratie locale, le mur d’enceinte était percé de cinq (5 ) portes : la porte d’ech-Chelif au Nord, la porte de Medjaher à l’Est, la porte de Mascara au sud, la Porte d’Arzew et celle de la Marine à l’Ouest.

          Lors de la colonisation française, Mostaganem fut occupée le 23 juillet 1833, par le général Desmichels, après une vive résistance dirigée par l’Émir Abdelkader. Suite au traité du 26 Février 1834, un consul de l’Émir fut agrée pour résider dans la ville.
          Les faits marquants de cette période sont sans nul doute, la seconde bataille de Mazagran qui eut lieu en février 1840 et les enfumâdes du Dahra où, le 18 juin 1845, plus de 1.000 personnes de la tribu des Ouled Riah, qui s'étaient réfugiées dans les grottes de Ghar El Frachich dans le Dahra, (commune de Nekmaria) ont été asphyxiées par le colonel Pélissier.
          En 1848, la commune de Mostaganem est créée avec les annexes de Mazagran, Ouréah et Kharrouba. Le décret du 27 juillet 1848 érige Mostaganem en sous-préfecture.

          Le déclenchement de la révolution du 1er novembre 1954 a été marqué par une série d’attentats dans la région de Sidi Ali. BENABDELMALEK Ramdane qui est l'un des premiers martyrs de la révolution, tombé au champ d’honneur le 04/11/1954, a participé activement à l’organisation et au déclenchement de la révolution armée dans la région de Mostaganem. Une des communes de la Wilaya a été d’ailleurs, baptisée en son nom.
          Durant les premières années qui ont suivi l'indépendance, l’urbanisation de la ville a été relativement lente. C'est à partir des années 70 que Mostaganem bénéficia d'un programme spécial qui tracera les grandes orientations de son expansion urbaine. Salamandre une station balnéaire au sud ouest du centre ville, est devenue ainsi un quartier de l’agglomération, au sud l'extension de l'urbanisation créa une jonction avec Mazagran
          source wilaya-mostaganem dz
          dz(0000/1111)dz

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          • #6
            Tiarti

            l'une des plus belles villes d'Algérie qu'on a plusieur style occidental et andalou
            Plus belle ville toutes les villes ont leurs charmes

            aussi bien que sa richesse en particularités culturel et architectural
            Oui c'est vrai chaque année le festival du Théâtre ou participe le grand Abdelkader Ould Abderrahmane, dit Abderrahmane Kaki,Mostaganemois

            Aussi en Chaabi avec les grands Maazouzz Bouadjadj ,Cheik Maamar
            Bentahar et d'autres qui chantaient les poemes de Sidi Lakddar Benkhlouf et de Sidi Abldelkader d'ou provient la fameuse chanson Abdelkader ya Bouahelm



            Ce café a droite on l'appelle le café des poètes car tous comme Cheik djilali ou cheik hamada Allah Yarhamoum Touati Benabdelkader venaient prendre leurs thé et parler de poesies




            Merci a toi Tiarti ....

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            • #7
              Bonjour

              Et je rajoute a ça !!!


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