D’après les données de la société marocaine Cosumar, le secteur sucrier présente de bonnes perspectives. «En prenant l’hypothèse d’une évolution du marché à 1,9% en 2014 (retour à la normale des stocks des grossistes et des industriels) et à un taux de croissance annuel moyen (TCAM) de 1,6% par an à partir de 2015, en accord avec les réalisations historiques, les besoins du marché du sucre devraient se situer à hauteur de 1 million 300 mille tonnes à l’horizon 2017» indique le site internet lesecho.ma qui relaie ces données.
Le pays qui produit la denrée aussi bien à partir de la canne à sucre que de la betterave, a enregistré une production globale d’environ 4 millions de tonnes en 2012. La Cosumar joue un rôle d’acteur stratégique sur ce marché puisqu’il est, à ce jour, en position de monopole et absorbe toute la production nationale.
Cette situation devrait bientôt changer puisque Wilmar International devrait investir sous peu 202,5 millions d’euros pour acquérir 27,5% des actions de la société tandis que des investisseurs marocains devraient en racheter 26,5%.
Ecofin
Le pays qui produit la denrée aussi bien à partir de la canne à sucre que de la betterave, a enregistré une production globale d’environ 4 millions de tonnes en 2012. La Cosumar joue un rôle d’acteur stratégique sur ce marché puisqu’il est, à ce jour, en position de monopole et absorbe toute la production nationale.
Cette situation devrait bientôt changer puisque Wilmar International devrait investir sous peu 202,5 millions d’euros pour acquérir 27,5% des actions de la société tandis que des investisseurs marocains devraient en racheter 26,5%.
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