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Yasmina Khadra charge Bouteflika et « son clan »:«Le régime est un zombie, un mort-vivant aux abois »

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  • Yasmina Khadra charge Bouteflika et « son clan »:«Le régime est un zombie, un mort-vivant aux abois »

    le 30 mars 2014 à 11 h 06 min - Amel Berkam.

    Le romancier et ancien officier, Yasmina Khadra, était demeuré silencieux depuis son retrait de la course à l’élection présidentielle. Aujourd’hui, dimanche 30 mars, à l’occasion de la sortie de son prochain roman à clés, « Qu’attendent les singes », il donne une interview en forme de brulot au Journal du Dimanche. Titré « le régime algérien est un zombie », il livre un regard acerbe sur la situation algérienne.

    « La candidature d’Abdelaziz Bouteflika est une absurdité, une fuite en avant suicidaire. M. Bouteflika n’est pas conscient de ce que son clan est en train de lui faire subir. S’il était lucide, maître de ses moyens, il serait parti de lui-même. (…) Le régime est un zombie, un mort-vivant aux abois », affirme l’écrivain, qui occupe également le poste de directeur du Centre culturel algérien, avec le statut et le salaire d’ambassadeur.

    Il poursuit : « L’insurrection a déjà commencé dans les esprits. Je n’aime pas que les choses s’enfiellent au risque de replonger l’Algérie dans la violence car, elle ne lui survivrait pas cette fois. Les Algériens doivent garder leur sang-froid et chasser le régime par les urnes ».

    « Il y a un stalinisme bizarre, chimérique sans forcément des purges ou des assassinats, mais terrifiant parce que insaisissable. En Algérie on assassine surtout les esprits. La guerre civile n’a pas servi de leçon, elle ne nous a pas éveillés à nous-mêmes. Aujourd’hui l’Algérie est un pays livré aux prédateurs et aux prévaricateurs et ça semble arranger tout le monde, sauf le petit peuple. Chacun ronge son os dans son coin, trop heureux d’avoir quelque chose à se mettre sous la dent. Nous manquons de lucidité citoyenne, de solidarité agissante et d’ambition nationale. Le régime a corrompu les mentalités. C’est une gangrène foudroyante.», conclut Yasmina Khadra.

  • #2
    l poursuit : « L’insurrection a déjà commencé dans les esprits. Je n’aime pas que les choses s’enfiellent au risque de replonger l’Algérie dans la violence car, elle ne lui survivrait pas cette fois. Les Algériens doivent garder leur sang-froid et chasser le régime par les urnes ».
    Paroles d'un sage, mais comment chasser les voleurs quand on sait qu'il est quasiment impossible de le faire par les urnes.

    Dans un pays où les solutions sont nombreuses, pas en blocs mais individuelles (Une centaine de candidats entre indépendants et partis), il est impossible d'affronter les rouages du système FLN-RND-ANP

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    • #3
      Qu'il se tranquilise, echa3b ne fera rien.

      Le zombie et son clan passeront et continueront leur domination et echa3b continuera à ramper par terre et à pester sans oser se lever !
      مالي و للناس كم يلحونني سفها
      ديني لنفسي و دين الناس للناس

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      • #4
        Yasmina Khadra change de position ? Je l’ai entendu en 2009, dans un débat sur France 24 face un représentant du RCD en France, soutenir le bilan de Bouteflika.
        Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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        • #5
          « Il y a un stalinisme bizarre, chimérique sans forcément des purges ou des assassinats, mais terrifiant parce que insaisissable. En Algérie on assassine surtout les esprits. La guerre civile n’a pas servi de leçon, elle ne nous a pas éveillés à nous-mêmes. Aujourd’hui l’Algérie est un pays livré aux prédateurs et aux prévaricateurs et ça semble arranger tout le monde, sauf le petit peuple. Chacun ronge son os dans son coin, trop heureux d’avoir quelque chose à se mettre sous la dent. Nous manquons de lucidité citoyenne, de solidarité agissante et d’ambition nationale. Le régime a corrompu les mentalités. C’est une gangrène foudroyante
          Très bon constat…
          Sauf.
          Les Algériens doivent garder leur sang-froid et chasser le régime par les urnes
          Là, il se fout de notre gueu…

          La gangrène foudroyante ne se traite pas… reste l’amputation comme le seul remède.

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          • #6
            Yasmina Khadra prend enfin ses responsabilités d'intellectuel. Il n'est jamais trop tard pour bien faire

            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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            • #7
              Je ne sais pas ce que vaut Yasmina Khadra sur le plan de la moralité politique. Une chose est sure, cependant : les rats sont les premiers à quitter le navire qui coule !

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              • #8
                « Il y a un stalinisme bizarre, chimérique sans forcément des purges ou des assassinats, mais terrifiant parce que insaisissable.
                Toujours la même rengaine, la même langue de bois, vide et insaisissable de la part de ce monsieur

                Mr yasmina Khadra alias "Boutef m'a donné une leçon de démocratie " sentant le tangage, espère maintenant quitter le bateau sans grand frais, en nous balançant des généralités sans intêret.

                Ayez du courage mr khadra, n'ayez pas peur de Said et citez plutôt les responsables de ce fiasco!
                Pensez faux, s'il vous plaît, mais pensez par vous-même. (DORIS LESSING)

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                • #9
                  « La candidature d’Abdelaziz Bouteflika est une absurdité, une fuite en avant suicidaire. M. Bouteflika n’est pas conscient de ce que son clan est en train de lui faire subir. S’il était lucide, maître de ses moyens, il serait parti de lui-même. (…) Le régime est un zombie, un mort-vivant aux abois », affirme l’écrivain, qui occupe également le poste de directeur du Centre culturel algérien, avec le statut et le salaire d’ambassadeur.
                  N'est-ce pas mordre la main de celui qui le nourrit ?
                  S'il est sincere, il doit d'abord demissionner de son poste !!!!!

                  Commentaire


                  • #10
                    S'il est sincere, il doit d'abord demissionner de son poste !!!!!
                    Exactement
                    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                    • #11
                      occupe également le poste de directeur du Centre culturel algérien, avec le statut et le salaire d’ambassadeur.
                      -Sans le savoir , il est déjà un Zombi ???

                      Il poursuit :

                      - « L’insurrection a déjà commencé dans les esprits. Je n’aime pas que les choses s’enfiellent au risque de replonger l’Algérie dans la violence car, elle ne lui survivrait pas cette fois. Les Algériens doivent garder leur sang-froid et chasser le régime par les urnes ».

                      -Parole d un intellect -

                      S'il est sincere, il doit d'abord demissionner de son poste !!!!!
                      .

                      Exacte

                      d ailleurs c est lui qui le dit , il doit faire l exemple :

                      L’insurrection a déjà commencé dans les esprits...
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                      • #12
                        L'INTERVIEW DE YASMINA KHADRA AU JOURNAL DU DIMANCHE :

                        Yasmina Khadra : "Le régime algérien est un zombie"

                        INTERVIEW - Yasmina Khadra est l'auteur algérien le plus connu au monde, depuis ses premiers romans policiers publiés en France au début des années 1990 jusqu'au triomphe de L'Attentat ou des Hirondelles de Kaboul. Il vient de renoncer à sa candidature à l'élection présidentielle du 17 avril.


                        Yasmina Khadra est devenu l’auteur algérien le plus connu au monde. Dans un roman à clefs qu’il publie cette semaine, Qu’attendent les singes (Juillard), l’ancien officier de la lutte antiterroriste de la décennie noire règle ses comptes avec un régime qu’il vomit.
                        Dans l’ascenseur du Centre culturel algérien de Paris dont le président Bouteflika lui a confié la charge il y a cinq ans, les affichettes administratives sont signées de son vrai nom, Mohammed Moulessehoul. Mais dans son bureau modeste au 7e étage, devant un ordinateur où il écrit déjà son prochain livre sur les dernières journées du dictateur Khadafi, Yasmina Khadra reçoit le JDD pour parler de sa vie "d’homme libre". Et de sa loyauté à un pays "magnifique".

                        La candidature d’Abdelaziz Bouteflika pour un quatrième mandat, c’est une catastrophe?
                        C’est une absurdité, une fuite en avant suicidaire. M. Bouteflika n’est pas conscient de ce que son clan est en train de lui faire subir. S’il était lucide, maître de ses moyens, il serait parti de lui-même. Aucun chef d’état n’accepterait de finir de cette façon, manipulé comme un improbable faire-valoir. Cette histoire de 4e mandat trahit l’inconsistance d’un régime qui a gaspillé tous ses atouts et qui cherche des prolongations en misant sur un coup de théâtre. Le régime est un zombie, un mort-vivant aux abois. Il panique, tente désespérément de survivre à sa propre décomposition. Les temps changent et il ne souhaiterait pas répondre de ses errements devant un tribunal. Mais dire que cette élection est jouée d’avance est une reddition, une désertion. Le peuple doit réapprendre à s’exprimer, à voter et à veiller sur la transparence du scrutin.

                        Mais si Bouteflika est réélu, que craignez-vous, une insurrection?

                        Elle a déjà commencé dans les esprits. Je n’aime pas que les choses s’enfiellent au risque de replonger l’Algérie dans la violence car elle ne lui survivrait pas cette fois. Les Algériens doivent garder leur sang-froid et chasser le régime par les urnes.
                        «Le malheur des Algériens vient d’une gouvernance autiste et de la corruption pratiquée comme un sacerdoce»

                        Vous n’avez pas pu aller au bout de votre candidature à la présidentielle. Officiellement parce que vous n’avez pas recueilli suffisamment de signatures de parrainage….

                        Je ne voudrais pas être mauvais perdant. Le temps jouait contre moi. Le code électoral aussi. Les pré-candidats n’avaient pas droit aux meetings. Comment sensibiliser les gens sans débats et sans rencontres? Je pense qu’on m’a barré la route, mais c’était à moi de savoir contourner les obstacles. J’ai dû faillir par endroits. Par ailleurs, certains de mes comités de soutien étaient infiltrés. La bureaucratie s’est chargée du reste.

                        Qu’avez-vous compris lors de votre tournée de précampagne présidentielle en Algérie?

                        J’ai parcouru 10.000 kilomètres à travers le pays. Par route. J’ai reçu un accueil fantastique. Très vite, ceux qui étaient enthousiasmés par mon pari présidentiel ont changé d’opinion, persuadés que la bataille était jouée d’avance et que j’étais trop frêle pour me mesurer aux dinosaures de la république. Cette tournée m’a permis de mesurer la démission d’une grande majorité qui ne croit plus en rien et qui se contente du peu qu’elle a, préférant la paix à l’émancipation.

                        Vous diriez-même que les choses sont plus graves aujourd’hui qu’à l’époque de vos premiers romans au début des années 90?

                        Dans mon dernier livre, il y a un personnage qui dit à la commissaire : "mais enfin, le stalinisme algérien est révolu, fini!" et elle lui rétorque : "non, il a empiré". C’est un stalinisme bizarre, chimérique, sans forcément des purges ou des assassinats, mais terrifiant parce que insaisissable. En Algérie, on assassine surtout les esprits.

                        La guerre civile n’a donc pas servi de leçon?

                        Malheureusement, non. J’ai écrit quelque part que la guerre est une monstruosité qui a l’excuse d’instruire les peuples. La nôtre ne nous a pas éveillés à nous-mêmes. Aujourd’hui l’Algérie est un pays livré aux prédateurs et aux prévaricateurs, et ça semble arranger tout le monde, sauf le petit peuple. Chacun ronge son os dans son coin, trop heureux d’avoir quelque chose à se mettre sous la dent. Nous manquons de lucidité citoyenne, de solidarité agissante et d’ambition nationale. Le régime a corrompu les mentalités. C’est une gangrène foudroyante. Il a mis à ses bottes l’opposition, certains médias, et des contingents de sous-traitants zélés. Pendant la guerre contre le terrorisme, j’étais persuadé que tous ces gens assassinés, toutes ces contrées incendiées, tous ces chemins jalonnés de cadavres allaient paver la voie qui nous mènerait vers un salut et un idéal. Aujourd’hui, la mémoire a renié les martyrs et les œillères se sont écartées sur les convoitises et le clinquant illusoire.

                        En 1992, vous étiez en faveur du coup d’état électoral pour empêcher le Front islamique du Salut d’arriver au pouvoir.

                        Oui, je suis un musulman pratiquant mais le discours que tenaient ces imams-gourous était épouvantable. Un de leurs chefs avait déclaré publiquement qu’il n’hésiterait pas à exécuter 5 millions d’Algériens pour faire triompher sa cause. J’avais déjà du mal à supporter le Parti unique. Je ne voyais pas comment cohabiter avec les fossoyeurs de mes rêves.

                        Que pensiez-vous à l’époque de Mohamed Boudiaf, l’un des pères de l’Indépendance, que les généraux étaient allés chercher pour présider le pays?

                        C’était un héros, un homme de bien, un authentique patriote. Il était venu sauver les rares meubles qui restaient. Sa naïveté et son sens du devoir ont eu raison de sa vigilance. Les gens qui sont allés le chercher pensaient avoir trouvé une marionnette. Boudiaf n’était pas une marionnette. Pour les dirigeants qui n’avaient pas plus de scrupules qu’une tronçonneuse, la méprise devait être lavée dans le sang. Ce qu’ils ont fait.

                        Et selon vous, c’est le régime qui l’a tué?

                        Je ne suis pas dans le secret des dieux, encore moins dans celui des démons. Qui d’autre aurait pu éliminer cet homme qui ne voulait pas de salaire et aucun privilège? Certainement ceux qui n’étaient pas de cet avis. Un crime d’état est un mystère aussi impénétrable que des voies du "sAigneur" (avec "A").

                        Vous vomissez donc ce régime et en même temps vous défendez jusqu’au bout l’institution militaire qui est au cœur de ce système…

                        Après 25 ans d’officier, j’ai fini commandant alors que mes subordonnés étaient colonels et certains de mes camarades de promotion généraux. Pendant les huit années de guerre, j’ai fait l’objet de trois dépressions, échappé miraculeusement à deux embuscades et à trois atterrissages forcés d’hélicos dans des maquis infestés de terroristes. J’ai occupé le même poste pendant 13 ans, ne bénéficiant ni de stages, ni de mutations moins périlleuses. S’il y a bien quelqu’un qui en a bavé dans l’armée, subi le joug régionaliste et la disqualification d’office en dépit du travail monumental qu’il accomplissait tous les jours, c’est bien moi. Mais il y a une chose plus importante que ma petite personne : la vérité. Je défends les braves soldats de mon pays qui se sont battus pour sauver la nation, les 15000 hommes engagés dans la lutte antiterroriste qui ne sont plus de ce monde aujourd’hui. En France, on confond l’armée algérienne avec la DRS (l’ex-Sécurité militaire, principal service de renseignement, ndlr). La DRS est un Etat dans l'Etat. Et je ne parle jamais de ce qui me dépasse.

                        Donc, c’est la DRS qui tire les ficelles?

                        Disons que la DRS s’oppose au cartel d’El Mouradia (la présidence) qui a su s’entourer des fortunes les plus blasphématoires du pays. Il s’agit d’un monde parallèle. Qui est le bien et qui est le mal? Dieu seul le sait. Dans Morituri, j’ai écrit : "Il n’est pire tyran qu’un berger devenu sultan." Ce qui explique pourquoi l’Algérie est à la traîne des nations, malgré son potentiel ahurissant.

                        Dans votre roman à clefs, vous n’épargnez personne : qui trouve encore grâce à vos yeux?

                        Le peuple algérien, un peuple magnifique de patience et de longanimité. Le régime se vante de pouvoir tout acheter, mais on achète que ceux qui se bradent sur la voie publique. Il existe, dans mon pays, des êtres vaillants, des seigneurs intraitables, des gens dignes.

                        Mais vous décrivez votre pays sous une telle noirceur qu’on pourrait se dire que vous ne lui rendez pas service…

                        Je ne fais que raconter les salopards qui défigurent mon pays et son image. Je montre du doigt les vrais responsables de la déconfiture nationale. Mes personnages sont positifs. Ils se battent contre le Mal pour le bien de tous. Le malheur des Algériens vient d’une gouvernance autiste, de la corruption pratiquée comme un sacerdoce, de l’injustice et des institutions traumatisantes pour le citoyen.

                        Mais pour vous, c’est fini, on ne vous reverra pas tenter votre chance dans cinq ans?

                        C’est fini. Je m’attendais à être rejoint par certaines consciences. En vain. J’étais seul dans l’arène… Alors, je suis rentré chez moi. Je n’ai besoin de rien. J’ai des millions de lecteurs dans le monde qui m’encouragent et me soutiennent, une famille que j’adore, des amis merveilleux. J’étais prêt à tourner le dos à mon bonheur pour rendre possible celui des Algériens. J’ai perdu, je reprends mon chemin d’écrivain exactement là où je l’ai laissé. C’est un soulagement pour ma mère et pour mon père qui ont prié jour et nuit pour que j’échoue à collecter le nombre des signatures exigé. Ils te tueront, me disait ma mère, analphabète mais lucide. Je ne regrette pas d’avoir essayé. Quand vous sortez indemne de huit ans de guerre, vous culpabilisez. Vous vous dites pourquoi les autres sont restés, et pas moi? Qu’ai-je de plus que ces braves qui sont morts, comment regarder dans les yeux leurs veuves et leurs orphelins? Alors, pour légitimer votre survie, vous essayez de donner un peu de vous-même là où d’autres ont donné leur vie. C’est exactement ce que j’essaye de faire : être utile à mon pays. J’ai accepté de diriger le Centre Culturel Algérien à Paris pour cette raison. Pour défendre une culture menacée en Algérie. On m’a proposé à deux reprises le ministère de la Culture. J’ai refusé. Pour ne pas permettre "aux déserteurs de traiter les héros de criminels, et à la nuit de manger ses étoiles".
                        Dernière modification par choucha, 31 mars 2014, 23h28.

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                        • #13
                          Aiglenoir
                          N'est-ce pas mordre la main de celui qui le nourrit ?
                          S'il est sincere, il doit d'abord demissionner de son poste !!!!!
                          sauf à penser que l'argent du pétrole ,qui sert entre autre à payer le salaire de Yasmina khadra, appartient à boutef ...
                          En tous cas je pense que si plus d'intellectuels et de personnalités publiques avaient des positions aussi claires,bien que tardives,le camp des pro-boutef se lézarderait sérieusement...
                          Dernière modification par prenpalatete, 31 mars 2014, 09h42.

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                          • #14
                            J’étais seul dans l’arène… Alors, je suis rentré chez moi. Je n’ai besoin de rien. J’ai des millions de lecteurs dans le monde qui m’encouragent et me soutiennent, une famille que j’adore, des amis merveilleux. J’étais prêt à tourner le dos à mon bonheur pour rendre possible celui des Algériens.
                            Effectivement, tu t'es retrouvé tout seul dans ton "arène" et tu n'as pas eu le soutien de ces gueux et de ces malheureux Algériens , car tu vis simplement à des années lumières de leurs préoccupations...cqfd!
                            Pensez faux, s'il vous plaît, mais pensez par vous-même. (DORIS LESSING)

                            Commentaire


                            • #15
                              En dépit de ce que, personnellement, je reproche à cet écrivain, son analyse et claire comme l'eau de roche. Il est bougrement doué pour aligner les mots avec la précision de l'horloger !

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