Comment voulez-vous que les investissements s'améliorent en Algérie, alors que l'état n'a même pas été capable de payer depuis 54 mois ses anciens employés, l'administration s'est noyé depuis longtemps dans un verre d'eau ou dans un baril de pétrole.
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Les 26 travailleurs de l’ex-office des périmètres irrigués de Boumerdès (Opib) sont toujours sans salaire depuis plus de 54 mois. Bien que leur organisme a été dissout par délibération de l’APW, aucun liquidateur n’a encore été désigné, selon eux, pour mener à terme l’opération de dissolution. La raison pour laquelle ils s’inquiètent tout en s’interrogeant sur le retard enregistré pour le payement de leurs salaires.
“Où sont les promesses du ministère de la participation qui a affirmé que les salaires des travailleurs des entreprises dissoutes ont été pris en charge ? “, se demandent ces travailleurs réduits à faire l’aumône. Pourtant, la résolution du CPE n°4/62, datée du 17/01/2006, relative aux entreprises en voie de dissolution ou dissoute, s’applique bien à cet organisme créé par arrêté interministériel en 1989.
Cette résolution souligne, en effet, la prise en charge des volets sociaux découlant de toutes les opérations de dissolution pour lesquelles une enveloppe de plus de 25 milliards a été dégagée pour leur financement. Les 26 travailleurs de l’ex-Opib qui attendent depuis plus de cinq ans la régularisation de leurs salaires ne savent plus à quel saint se vouer.
À la veille du cinquième Aïd el Fitr qu’ils passent sans salaires, ils lancent un appel pressant au chef du gouvernement en sa qualité de président du CPE, ainsi qu’au secrétaire général de l’UGTA, M. Sidi Saïd, pour qu’ils bénéficient des avantages prévus par cette résolution au même titre que les autres entreprises déjà régularisées.
Madjid T
14 Octobre 2006 Liberté
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Les 26 travailleurs de l’ex-office des périmètres irrigués de Boumerdès (Opib) sont toujours sans salaire depuis plus de 54 mois. Bien que leur organisme a été dissout par délibération de l’APW, aucun liquidateur n’a encore été désigné, selon eux, pour mener à terme l’opération de dissolution. La raison pour laquelle ils s’inquiètent tout en s’interrogeant sur le retard enregistré pour le payement de leurs salaires.
“Où sont les promesses du ministère de la participation qui a affirmé que les salaires des travailleurs des entreprises dissoutes ont été pris en charge ? “, se demandent ces travailleurs réduits à faire l’aumône. Pourtant, la résolution du CPE n°4/62, datée du 17/01/2006, relative aux entreprises en voie de dissolution ou dissoute, s’applique bien à cet organisme créé par arrêté interministériel en 1989.
Cette résolution souligne, en effet, la prise en charge des volets sociaux découlant de toutes les opérations de dissolution pour lesquelles une enveloppe de plus de 25 milliards a été dégagée pour leur financement. Les 26 travailleurs de l’ex-Opib qui attendent depuis plus de cinq ans la régularisation de leurs salaires ne savent plus à quel saint se vouer.
À la veille du cinquième Aïd el Fitr qu’ils passent sans salaires, ils lancent un appel pressant au chef du gouvernement en sa qualité de président du CPE, ainsi qu’au secrétaire général de l’UGTA, M. Sidi Saïd, pour qu’ils bénéficient des avantages prévus par cette résolution au même titre que les autres entreprises déjà régularisées.
Madjid T
14 Octobre 2006 Liberté
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