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Cinq ans après sa création, la monnaie électronique a perdu 38% de sa valeur face au dollar américain, devenant l'un des pires placements de ces trois derniers mois.
Il ne fait pas bon acheter des bitcoins ces derniers temps. Depuis janvier, la tendance se confirme au point qu'il est devenu encore moins intéressant que le peso argentin. C'est dire. Alors que la monnaie argentine a perdu 18,5% de sa valeur au dernier trimestre par rapport au dollar américain, le bitcoin a quant à lui chuté de 38%.
Hormis pour quelques achats en ligne, en particulier aux Etats-Unis et en Asie, il était déjà peu utilisé dans la vie courante. A présent, c'est également son intérêt en termes de placement qui bat de l'aile. Ceux qui spéculaient il y a quelques mois encore sur le bitcoin ont dû se résoudre à changer de stratégie pour se tourner vers des valeurs plus sûres.
Il faut dire qu'il y a seulement un mois, l'une de ses plateformes d'échange MtGox déposait le bilan au Japon. La firme, dirigée par le français Mark Karpelès, s'est également placée le 11 mars dernier sous la protection provisoire de la loi des faillites aux Etats-Unis. Des nouvelles qui ne devraient pas encourager la confiance des investisseurs et des particuliers dans la monnaie virtuelle.
latribune.fr
Il ne fait pas bon acheter des bitcoins ces derniers temps. Depuis janvier, la tendance se confirme au point qu'il est devenu encore moins intéressant que le peso argentin. C'est dire. Alors que la monnaie argentine a perdu 18,5% de sa valeur au dernier trimestre par rapport au dollar américain, le bitcoin a quant à lui chuté de 38%.
Hormis pour quelques achats en ligne, en particulier aux Etats-Unis et en Asie, il était déjà peu utilisé dans la vie courante. A présent, c'est également son intérêt en termes de placement qui bat de l'aile. Ceux qui spéculaient il y a quelques mois encore sur le bitcoin ont dû se résoudre à changer de stratégie pour se tourner vers des valeurs plus sûres.
Il faut dire qu'il y a seulement un mois, l'une de ses plateformes d'échange MtGox déposait le bilan au Japon. La firme, dirigée par le français Mark Karpelès, s'est également placée le 11 mars dernier sous la protection provisoire de la loi des faillites aux Etats-Unis. Des nouvelles qui ne devraient pas encourager la confiance des investisseurs et des particuliers dans la monnaie virtuelle.
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