Je suppose qu'il l'ont fait plus pour les sous ... que par conviction politique.
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En participant au clip de soutien au président algérien Abdelaziz Bouteflika, les artistes engagés ne pensaient pas en arriver là. En France et à l’étranger la vidéo n’est pas très bien accueillie…
Les artistes refusent souvent d'apporter leur soutien à un candidat politique. Mais quand de nombreux confrères s’engagent avec ferveur, les craintes s’estompent. La force du groupe triomphe sur les doutes personnels. Voilà peut-être une des raisons qui ont poussé des artistes tels Smaïn, Khaled ou Kenza Farah à s’unir au Serment pour L’Algérie.
Dans le clip de soutien au président candidat Bouteflika, on retrouve les visages de ces Franco-algériens et d’une dizaine d’autres artistes. Fiers de chanter les couleurs de leur pays, ils doivent désormais affronter la violence des commentaires qui accompagnent la diffusion de la vidéo. Politique de l’autruche ou aveux de regrets, chacun choisit son axe de défense. Pour Kenza Farah, interrogée par El Watan, il s’agissait de «revendiquer mon pays d’origine, et ce, comme je l’ai toujours fait», mais elle refuse «d’être associée à tout ce qui à avoir avec la politique». Les paroles de ce serment annoncent pourtant clairement «Laissez-moi être fier de mon Président qui a prêté serment à l’Algérie, et qui a tenu la promesse de millions de martyrs».
Abdelaziz Bouteflika, 77 ans et affaibli par des ennuis de santé, se représente à sa propre succession au poste de Président. Une candidature largement contestée en Algérie ainsi qu’en France. Les dessous de la réalisation de ce clip de campagne viennent s’ajouter aux critiques déjà formulées. De l’autre côté de la Méditerranée, certaines vedettes locales ayant participé au projet ont reconnu avoir touché un cachet pour leur implication. En France, l’ancien boxeur Farid Kider dément et affirme sur Twitter ne «pas avoir besoin de ça» pour son portefeuille.
Le comédien Smaïn qui apparaît aux côtés du sportif dans le clip ne s’est pas exprimé sur cette polémique.
Les élections présidentielles en Algérie auront lieu le 17 avril prochain.
Gala
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En participant au clip de soutien au président algérien Abdelaziz Bouteflika, les artistes engagés ne pensaient pas en arriver là. En France et à l’étranger la vidéo n’est pas très bien accueillie…
Les artistes refusent souvent d'apporter leur soutien à un candidat politique. Mais quand de nombreux confrères s’engagent avec ferveur, les craintes s’estompent. La force du groupe triomphe sur les doutes personnels. Voilà peut-être une des raisons qui ont poussé des artistes tels Smaïn, Khaled ou Kenza Farah à s’unir au Serment pour L’Algérie.
Dans le clip de soutien au président candidat Bouteflika, on retrouve les visages de ces Franco-algériens et d’une dizaine d’autres artistes. Fiers de chanter les couleurs de leur pays, ils doivent désormais affronter la violence des commentaires qui accompagnent la diffusion de la vidéo. Politique de l’autruche ou aveux de regrets, chacun choisit son axe de défense. Pour Kenza Farah, interrogée par El Watan, il s’agissait de «revendiquer mon pays d’origine, et ce, comme je l’ai toujours fait», mais elle refuse «d’être associée à tout ce qui à avoir avec la politique». Les paroles de ce serment annoncent pourtant clairement «Laissez-moi être fier de mon Président qui a prêté serment à l’Algérie, et qui a tenu la promesse de millions de martyrs».
Abdelaziz Bouteflika, 77 ans et affaibli par des ennuis de santé, se représente à sa propre succession au poste de Président. Une candidature largement contestée en Algérie ainsi qu’en France. Les dessous de la réalisation de ce clip de campagne viennent s’ajouter aux critiques déjà formulées. De l’autre côté de la Méditerranée, certaines vedettes locales ayant participé au projet ont reconnu avoir touché un cachet pour leur implication. En France, l’ancien boxeur Farid Kider dément et affirme sur Twitter ne «pas avoir besoin de ça» pour son portefeuille.
Le comédien Smaïn qui apparaît aux côtés du sportif dans le clip ne s’est pas exprimé sur cette polémique.
Les élections présidentielles en Algérie auront lieu le 17 avril prochain.
Gala
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