Bouteflika, dès son accession à la magistrature suprême a témoigné de son profond mépris pout tous les Algériens. L’ancien colonisé, aliéné, se voyait, comme d’autres francophiles, seul homme respectable parmi les indigènes de l’ex métropole. Les médecins algériens pour lui n’étaient aptes qu’à soigner ses sujets. Malade, il s’est trouvé parmi les toubibs algériens des responsables de la médecine socialiste pour le déclarer insoignable à Alger et le transférer à Paris.
Après de nombreux séjours, l’opéré de l’estomac, intervention qui se pratique couramment dans de nombreux hôpitaux publics, après une survie qui ne prouve pas l’exploit des médecins étrangers mais la relative bénignité de la maladie, développe un AVC qui le prive d’une partie de ses fonctions vitales. Après une rééducation de luxe, toujours à l’étranger, il se trouvera toujours parmi les médecins méprisés par Bouteflika des Professeurs qui lui délivreront un certificat de bonne santé et de capacité de continuer à gérer les affaires de l’Etat.
Vous avez raison, Monsieur le Brizidane, les Médecins algériens, courtisans ou soumis sont méprisables !
El Lah Yarham Mohammed Séghir NEKKACHE, qui doit là, où il est, regretter que son nom ait été donné à l’hôpital militaire d’Ain Nedjaa qui a vu les nouveaux colons rois de l’importation chasser de la direction le Général ANTAR, Professeur en Médecine, pour non soumission aux intérêts étrangers.
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