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u lieu d’être à l’école, des enfants en bas âge sont poussés par leurs propres parents à demander l’aumône.
La circulation automobile est devenue depuis un certain temps difficile, pour ne pas dire périlleuse au niveau de certaines artères de Sétif où les automobilistes sont dans l’obligation de composer avec les mendiants qui squattent de nombreux axes, notamment les abords des feux tricolores du centre-ville, la chasse gardée de mendiants de différents âges. Faisant fi des dangers encourus, des Subsahariens se positionnent à ces endroits où le trafic est dense. Une telle présence agace les usagers de la route.
L’utilisation des enfants en bas âge, exposés au froid glacial toute la journée, suscite la nervosité de nombreux conducteurs, dont certains témoignent ainsi : «Nous comprenons la précarité de ces gens qui ont été contraints à l’exil mais l’occupation d’une partie de la chaussée n’arrange personne. Les services concernés qui connaissent parfaitement le problème doivent se pencher sérieusement sur ce problème et prendre, le cas échéant, les mesures idoines. Il faut, par ailleurs, mentionner que les comportements de certains Subsahariens nous empêchent de vaquer à nos occupations car par moments ils deviennent agressifs; ils dépassent les bornes.» Et excédés, nos interlocuteurs de s’interroger : «Pourquoi les responsables de la municipalité affichent-ils toujours un silence radio vis-à-vis de ce genre de problème qu’on ne doit pas passer sous silence ?»
Pourtant la mendicité est punie par la loi, et surtout celle des enfants qui prend elle aussi la tangente et des proportions alarmantes. «Au lieu de nous envoyer à l’école de notre village, ma mère nous oblige mes trois petites sœurs et moi à venir avec elle à Sétif pour demander de l’aumône», nous dira innocemment une fillette de 10 ans rencontrée à proximité du marché des 1014 Logements. Les services sociaux de la commune et de la direction de l’action sociale (DAS) sont interpellés pour mettre fin à l’exploitation des enfants. Signalons, par ailleurs, que de nombreux malades mentaux errent dans les rues ; ils présentent également un danger réel pour les usagers de la voie publique
La circulation automobile est devenue depuis un certain temps difficile, pour ne pas dire périlleuse au niveau de certaines artères de Sétif où les automobilistes sont dans l’obligation de composer avec les mendiants qui squattent de nombreux axes, notamment les abords des feux tricolores du centre-ville, la chasse gardée de mendiants de différents âges. Faisant fi des dangers encourus, des Subsahariens se positionnent à ces endroits où le trafic est dense. Une telle présence agace les usagers de la route.
L’utilisation des enfants en bas âge, exposés au froid glacial toute la journée, suscite la nervosité de nombreux conducteurs, dont certains témoignent ainsi : «Nous comprenons la précarité de ces gens qui ont été contraints à l’exil mais l’occupation d’une partie de la chaussée n’arrange personne. Les services concernés qui connaissent parfaitement le problème doivent se pencher sérieusement sur ce problème et prendre, le cas échéant, les mesures idoines. Il faut, par ailleurs, mentionner que les comportements de certains Subsahariens nous empêchent de vaquer à nos occupations car par moments ils deviennent agressifs; ils dépassent les bornes.» Et excédés, nos interlocuteurs de s’interroger : «Pourquoi les responsables de la municipalité affichent-ils toujours un silence radio vis-à-vis de ce genre de problème qu’on ne doit pas passer sous silence ?»
Pourtant la mendicité est punie par la loi, et surtout celle des enfants qui prend elle aussi la tangente et des proportions alarmantes. «Au lieu de nous envoyer à l’école de notre village, ma mère nous oblige mes trois petites sœurs et moi à venir avec elle à Sétif pour demander de l’aumône», nous dira innocemment une fillette de 10 ans rencontrée à proximité du marché des 1014 Logements. Les services sociaux de la commune et de la direction de l’action sociale (DAS) sont interpellés pour mettre fin à l’exploitation des enfants. Signalons, par ailleurs, que de nombreux malades mentaux errent dans les rues ; ils présentent également un danger réel pour les usagers de la voie publique