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U.N. renews call for human rights monitoring in Western Sahara
By Louis Charbonneau
VIENNA Thu Apr 10, 2014 7:59pm EDT
(Reuters) - U.N. Secretary-General Ban Ki-moon on Thursday renewed his appeals for sustained human rights monitoring in the disputed territory of northern Africa's Western Sahara and warned against unfair exploitation of the region's natural resources.
The comments were included in Ban's latest report on Western Sahara to the 15-nation U.N. Security Council, an advance copy of which was obtained by Reuters.
Morocco took control of most of the territory in 1975 when colonial power Spain withdrew, prompting a guerrilla war for independence that lasted until 1991 when the United Nations brokered a cease-fire and sent in a peacekeeping mission known as MINURSO.
Ban said he welcomed Morocco's willingness to allow special investigators from the U.N. Human Rights Council to visit the territory and the Polisario Front independence movement's willingness to work with United Nations rights bodies.
"The end goal nevertheless remains a sustained, independent and impartial human rights monitoring," Ban said.
While Ban did not say it directly, U.N. officials and diplomats say that he would like the U.N. mission in Western Sahara to take on monitoring human rights violations in the territory, but Morocco, backed by France, has vigorously resisted the idea.
The renewal of the mandate of the peacekeeping mission marks an annual battle in the Security Council between France, which defends Morocco's position, and a number of African and Western nations supporting Polisario.
After sending the report to the council on Thursday, the United Nations issued at least two revised versions of it over the course of several hours. The latest version removes the term "monitoring mechanism" and only refers to "monitoring."
Ahmed Boukhari, the Polisario's U.N. representative, said he was disappointed Ban's report did not go further, adding that Rabat and Paris were putting pressure on the world body.
"Morocco with the help of France are placing the U.N. in a very uncomfortable situation," he said in an email.
French U.N. Ambassador Gerard Araud rejected the allegation, saying in a statement to Reuters, "France formally denies any interference with the U.N. Secretariat."
Diplomats at the Moroccan mission did not immediately respond to a request for comment.
OIL AND GAS POTENTIAL
Former U.N. special envoy to Western Sahara Peter van Walsum and the former deputy chief of MINURSO Frank Ruddy wrote an open letter to French President Francois Hollande on Thursday urging to him to "make a strong call for human rights monitoring to be included in the mandate" of the U.N. mission in Western Sahara.
Western Sahara, which is slightly bigger than Britain, has under half a million people known as Sahrawis.
Some African countries, Britain, the United States and other Western nations have repeatedly called for U.N. peacekeepers to be given the task of monitoring alleged human rights abuses.
Ban recommends renewing the mandate of MINURSO for 12 more months and 15 more U.N. observers to join the 225 already there.
The report touches on the sensitive issue of exploitation of Western Sahara's resources. It is rich in phosphates - used in fertilizer - and, potentially, offshore oil and gas.
"In light of increased interest in the natural resources of Western Sahara, it is timely to call upon all relevant actors to 'recognize the principle that the interests of the inhabitants of these territories are paramount'," Ban said, citing the United Nations Charter.
French energy giant Total and U.S. oil explorer Kosmos have joined in the hunt for oil off the coast of Western Sahara.
Morocco, Total and Kosmos have all pledged to abide by international standards and pledged that the local population would benefit from discoveries.
Total did not have an immediate response to Ban's report when contacted by Reuters.
Kosmos said in a statement: "Our activities are currently focused solely on exploration. ... If we were to make a commercially viable discovery, then we would only proceed with development in accordance with international law and best practices," it said.
Rabat wants Western Sahara to be an autonomous part of Morocco. Polisario instead proposes a referendum among ethnic Sahrawis that includes an option of independence, but there is no agreement between Morocco and Polisario on who should participate in any referendum.
Attempts to reach a lasting deal through U.N.-mediated talks have floundered. In the report, Ban renewed his call for a revival of the Western Sahara talks aimed at securing a political deal and some form of self-determination for the region.
(Reporting by Louis Charbonneau; Editing by Cynthia Osterman and Richard Chang)
Reuters
ONU réitère son appel pour la surveillance des droits de l'homme au Sahara occidental
par Louis Charbonneau VIENNE jeu. 10 avril 2014 19h59
- Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, le jeudi renouvelé ses appels à l'soutenue surveillance des droits de l'homme dans le territoire du Sahara occidental de l'Afrique du Nord contesté et mis en garde contre l'exploitation abusive des ressources naturelles de la région.
Les commentaires ont été inclus dans le dernier rapport de Ban sur le Sahara occidental à la 15-nation du Conseil de sécurité des Nations Unies, l'avance une copie de ce qui a été obtenu par Reuters.
Maroc a contrôle de la plupart du territoire en 1975, lorsque la puissance coloniale espagnole se retire, provoquant une guerre de guérilla pour l'indépendance qui a duré jusqu'en 1991 lorsque l'ONU a négocié un cessez-le-feu et envoyé dans une mission de maintien de la paix la MINURSO.
M. Ban a déclaré qu'il se félicite de la volonté du Maroc de permettre aux enquêteurs spéciaux du Conseil de droits de l'homme de l'ONU à visiter le territoire et la volonté du mouvement indépendantiste du Front Polisario à travailler avec les organismes de l'homme des Nations Unies. "L'objectif final reste néanmoins une surveillance soutenue, indépendante et impartiale des droits humains," a déclaré M. Ban. Tandis que Ban n'a pas dit directement, les fonctionnaires et les diplomates de l'ONU disent qu'il aimerait la mission de l'ONU au Sahara occidental à prendre sur la surveillance des violations des droits de l'homme dans le territoire, mais le Maroc, soutenu par la France, a vigoureusement résisté à l'idée.
Le renouvellement du mandat de la mission de maintien de la paix marque une bataille annuelle du Conseil de sécurité entre la France, qui défend la position du Maroc, et un certain nombre de pays africains et occidentaux soutenant le Polisario.
Après l'envoi du rapport au conseil le jeudi, l'Organisation des Nations Unies a publié au moins deux versions révisées de celui-ci au cours de plusieurs heures.
La dernière version supprime le terme «mécanisme de suivi» et ne se réfère à la «surveillance».
Ahmed Boukhari, représentant du Polisario de l'ONU, a dit qu'il était le rapport déçus Ban n'alla pas plus loin, ajoutant que Rabat et Paris faisaient pression sur le corps du monde.
"Le Maroc, avec l'aide de la France placent l'ONU dans une situation très inconfortable," at-il déclaré dans un courriel. ambassadeur français Gérard Araud des Nations Unies a rejeté l'allégation, affirmant dans une déclaration à Reuters, "La France dément formellement toute interférence avec le Secrétariat de l'ONU .
" Les diplomates de la mission marocaine n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.
PÉTROLE ET GAZ POTENTIEL
ancien envoyé spécial de l'ONU pour le Sahara occidental, Peter van Walsum et l'ancien chef adjoint de la MINURSO Frank Ruddy a écrit une lettre ouverte au président français François Hollande sur jeudi exhortant à lui de «faire un appel fort pour la surveillance des droits de l'homme à être inclus dans le mandat" de la mission de l'ONU au Sahara occidental.
Sahara occidental, qui est légèrement plus grand que la Grande-Bretagne, a moins de un demi-million de personnes connues comme Sahraouis. Certains pays africains, la Grande-Bretagne, les Etats-Unis et d'autres pays occidentaux ont appelé à plusieurs reprises pour les casques bleus de l'ONU à avoir la tâche de contrôler les allégations de violations des droits de l'homme.
Ban recommande de renouveler le mandat de la MINURSO pour 12 mois de plus et 15 autres observateurs de l'ONU à se joindre à la 225 déjà là. Le rapport aborde la délicate question de l'exploitation des ressources du Sahara Occidental.
Il est riche en phosphates - utilisés dans des engrais -. Et, potentiellement, le pétrole et le gaz "Compte tenu de l'intérêt accru dans les ressources naturelles du Sahara occidental, il est opportun de faire appel à tous les acteurs concernés à« reconnaître le principe que les intérêts des habitants de ces territoires est primordiale », a déclaré M. Ban, citant la Charte des Nations Unies.
énergie français Total et explorateur pétrolier américain Kosmos ont rejoint dans la chasse pour le pétrole au large des côtes du Sahara occidental. Maroc, Total et Kosmos ont tous s'est engagé à respecter les normes internationales et a promis que la population locale bénéficiera de découvertes.
totale n'a pas eu une réponse immédiate au rapport de Ban contacté par Reuters. Kosmos a déclaré dans un communiqué: «Nos activités se concentrent actuellement uniquement sur l'exploration ... . Si nous devions faire une découverte commercialement viable, alors nous ne procédons au développement en conformité avec le droit international et les meilleures pratiques, "il a dit.
Rabat veut Sahara occidental comme une partie autonome du Maroc. Polisario propose plutôt un référendum parmi les Sahraouis ethniques qui inclut une option de l'indépendance, mais il n'y a pas accord entre le Maroc et le Polisario sur qui devrait participer à tout référendum.
tentatives de parvenir à un accord durable à travers des pourparlers de l'ONU médiation ont pataugé. Dans le rapport, Ban a renouvelé son appel pour une reprise des pourparlers sur le Sahara occidental visant à obtenir un accord politique et une certaine forme d'auto-détermination pour la région.
(Reportage par Louis Charbonneau, édité par Cynthia Osterman et Richard Chang) Reuters
By Louis Charbonneau
VIENNA Thu Apr 10, 2014 7:59pm EDT
(Reuters) - U.N. Secretary-General Ban Ki-moon on Thursday renewed his appeals for sustained human rights monitoring in the disputed territory of northern Africa's Western Sahara and warned against unfair exploitation of the region's natural resources.
The comments were included in Ban's latest report on Western Sahara to the 15-nation U.N. Security Council, an advance copy of which was obtained by Reuters.
Morocco took control of most of the territory in 1975 when colonial power Spain withdrew, prompting a guerrilla war for independence that lasted until 1991 when the United Nations brokered a cease-fire and sent in a peacekeeping mission known as MINURSO.
Ban said he welcomed Morocco's willingness to allow special investigators from the U.N. Human Rights Council to visit the territory and the Polisario Front independence movement's willingness to work with United Nations rights bodies.
"The end goal nevertheless remains a sustained, independent and impartial human rights monitoring," Ban said.
While Ban did not say it directly, U.N. officials and diplomats say that he would like the U.N. mission in Western Sahara to take on monitoring human rights violations in the territory, but Morocco, backed by France, has vigorously resisted the idea.
The renewal of the mandate of the peacekeeping mission marks an annual battle in the Security Council between France, which defends Morocco's position, and a number of African and Western nations supporting Polisario.
After sending the report to the council on Thursday, the United Nations issued at least two revised versions of it over the course of several hours. The latest version removes the term "monitoring mechanism" and only refers to "monitoring."
Ahmed Boukhari, the Polisario's U.N. representative, said he was disappointed Ban's report did not go further, adding that Rabat and Paris were putting pressure on the world body.
"Morocco with the help of France are placing the U.N. in a very uncomfortable situation," he said in an email.
French U.N. Ambassador Gerard Araud rejected the allegation, saying in a statement to Reuters, "France formally denies any interference with the U.N. Secretariat."
Diplomats at the Moroccan mission did not immediately respond to a request for comment.
OIL AND GAS POTENTIAL
Former U.N. special envoy to Western Sahara Peter van Walsum and the former deputy chief of MINURSO Frank Ruddy wrote an open letter to French President Francois Hollande on Thursday urging to him to "make a strong call for human rights monitoring to be included in the mandate" of the U.N. mission in Western Sahara.
Western Sahara, which is slightly bigger than Britain, has under half a million people known as Sahrawis.
Some African countries, Britain, the United States and other Western nations have repeatedly called for U.N. peacekeepers to be given the task of monitoring alleged human rights abuses.
Ban recommends renewing the mandate of MINURSO for 12 more months and 15 more U.N. observers to join the 225 already there.
The report touches on the sensitive issue of exploitation of Western Sahara's resources. It is rich in phosphates - used in fertilizer - and, potentially, offshore oil and gas.
"In light of increased interest in the natural resources of Western Sahara, it is timely to call upon all relevant actors to 'recognize the principle that the interests of the inhabitants of these territories are paramount'," Ban said, citing the United Nations Charter.
French energy giant Total and U.S. oil explorer Kosmos have joined in the hunt for oil off the coast of Western Sahara.
Morocco, Total and Kosmos have all pledged to abide by international standards and pledged that the local population would benefit from discoveries.
Total did not have an immediate response to Ban's report when contacted by Reuters.
Kosmos said in a statement: "Our activities are currently focused solely on exploration. ... If we were to make a commercially viable discovery, then we would only proceed with development in accordance with international law and best practices," it said.
Rabat wants Western Sahara to be an autonomous part of Morocco. Polisario instead proposes a referendum among ethnic Sahrawis that includes an option of independence, but there is no agreement between Morocco and Polisario on who should participate in any referendum.
Attempts to reach a lasting deal through U.N.-mediated talks have floundered. In the report, Ban renewed his call for a revival of the Western Sahara talks aimed at securing a political deal and some form of self-determination for the region.
(Reporting by Louis Charbonneau; Editing by Cynthia Osterman and Richard Chang)
Reuters
ONU réitère son appel pour la surveillance des droits de l'homme au Sahara occidental
par Louis Charbonneau VIENNE jeu. 10 avril 2014 19h59
- Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, le jeudi renouvelé ses appels à l'soutenue surveillance des droits de l'homme dans le territoire du Sahara occidental de l'Afrique du Nord contesté et mis en garde contre l'exploitation abusive des ressources naturelles de la région.
Les commentaires ont été inclus dans le dernier rapport de Ban sur le Sahara occidental à la 15-nation du Conseil de sécurité des Nations Unies, l'avance une copie de ce qui a été obtenu par Reuters.
Maroc a contrôle de la plupart du territoire en 1975, lorsque la puissance coloniale espagnole se retire, provoquant une guerre de guérilla pour l'indépendance qui a duré jusqu'en 1991 lorsque l'ONU a négocié un cessez-le-feu et envoyé dans une mission de maintien de la paix la MINURSO.
M. Ban a déclaré qu'il se félicite de la volonté du Maroc de permettre aux enquêteurs spéciaux du Conseil de droits de l'homme de l'ONU à visiter le territoire et la volonté du mouvement indépendantiste du Front Polisario à travailler avec les organismes de l'homme des Nations Unies. "L'objectif final reste néanmoins une surveillance soutenue, indépendante et impartiale des droits humains," a déclaré M. Ban. Tandis que Ban n'a pas dit directement, les fonctionnaires et les diplomates de l'ONU disent qu'il aimerait la mission de l'ONU au Sahara occidental à prendre sur la surveillance des violations des droits de l'homme dans le territoire, mais le Maroc, soutenu par la France, a vigoureusement résisté à l'idée.
Le renouvellement du mandat de la mission de maintien de la paix marque une bataille annuelle du Conseil de sécurité entre la France, qui défend la position du Maroc, et un certain nombre de pays africains et occidentaux soutenant le Polisario.
Après l'envoi du rapport au conseil le jeudi, l'Organisation des Nations Unies a publié au moins deux versions révisées de celui-ci au cours de plusieurs heures.
La dernière version supprime le terme «mécanisme de suivi» et ne se réfère à la «surveillance».
Ahmed Boukhari, représentant du Polisario de l'ONU, a dit qu'il était le rapport déçus Ban n'alla pas plus loin, ajoutant que Rabat et Paris faisaient pression sur le corps du monde.
"Le Maroc, avec l'aide de la France placent l'ONU dans une situation très inconfortable," at-il déclaré dans un courriel. ambassadeur français Gérard Araud des Nations Unies a rejeté l'allégation, affirmant dans une déclaration à Reuters, "La France dément formellement toute interférence avec le Secrétariat de l'ONU .
" Les diplomates de la mission marocaine n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.
PÉTROLE ET GAZ POTENTIEL
ancien envoyé spécial de l'ONU pour le Sahara occidental, Peter van Walsum et l'ancien chef adjoint de la MINURSO Frank Ruddy a écrit une lettre ouverte au président français François Hollande sur jeudi exhortant à lui de «faire un appel fort pour la surveillance des droits de l'homme à être inclus dans le mandat" de la mission de l'ONU au Sahara occidental.
Sahara occidental, qui est légèrement plus grand que la Grande-Bretagne, a moins de un demi-million de personnes connues comme Sahraouis. Certains pays africains, la Grande-Bretagne, les Etats-Unis et d'autres pays occidentaux ont appelé à plusieurs reprises pour les casques bleus de l'ONU à avoir la tâche de contrôler les allégations de violations des droits de l'homme.
Ban recommande de renouveler le mandat de la MINURSO pour 12 mois de plus et 15 autres observateurs de l'ONU à se joindre à la 225 déjà là. Le rapport aborde la délicate question de l'exploitation des ressources du Sahara Occidental.
Il est riche en phosphates - utilisés dans des engrais -. Et, potentiellement, le pétrole et le gaz "Compte tenu de l'intérêt accru dans les ressources naturelles du Sahara occidental, il est opportun de faire appel à tous les acteurs concernés à« reconnaître le principe que les intérêts des habitants de ces territoires est primordiale », a déclaré M. Ban, citant la Charte des Nations Unies.
énergie français Total et explorateur pétrolier américain Kosmos ont rejoint dans la chasse pour le pétrole au large des côtes du Sahara occidental. Maroc, Total et Kosmos ont tous s'est engagé à respecter les normes internationales et a promis que la population locale bénéficiera de découvertes.
totale n'a pas eu une réponse immédiate au rapport de Ban contacté par Reuters. Kosmos a déclaré dans un communiqué: «Nos activités se concentrent actuellement uniquement sur l'exploration ... . Si nous devions faire une découverte commercialement viable, alors nous ne procédons au développement en conformité avec le droit international et les meilleures pratiques, "il a dit.
Rabat veut Sahara occidental comme une partie autonome du Maroc. Polisario propose plutôt un référendum parmi les Sahraouis ethniques qui inclut une option de l'indépendance, mais il n'y a pas accord entre le Maroc et le Polisario sur qui devrait participer à tout référendum.
tentatives de parvenir à un accord durable à travers des pourparlers de l'ONU médiation ont pataugé. Dans le rapport, Ban a renouvelé son appel pour une reprise des pourparlers sur le Sahara occidental visant à obtenir un accord politique et une certaine forme d'auto-détermination pour la région.
(Reportage par Louis Charbonneau, édité par Cynthia Osterman et Richard Chang) Reuters
soit gagnée...ne trouves-tu pas qu'il est temps que vs commenciez á y méditer au lieu de vs consoler avec du blabla
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