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Deux marocains rejoignent le groupe des entrepreneurs les plus influents ENDEAVOR

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  • Deux marocains rejoignent le groupe des entrepreneurs les plus influents ENDEAVOR

    Youssef Chaqor, DG de Kilimanjaro, et Mourad Mekouar, PDG de M2T, sont sélectionnés en tant qu'«Entrepreneurs Endeavor

    Youssef Chaqor, fondateur et directeur général de Kilimanjaro, et Mourad Mekouar, fondateur et président-directeur général de M2T, ont été sélectionnés en tant qu’«Entrepreneurs Endeavor» à l’unanimité du jury à l’occasion du 51e panel de sélections internationales à Dubaï.

    Le choix de ces deux entreprises suit un processus de sélection rigoureux tant au niveau national qu’au niveau international. Après des échanges approfondis avec l’équipe d’Endeavor Morocco, les entrepreneurs ont eu des entretiens fructueux avec les membres du conseil consultatif et mentors de l’organisation. Avant d’être retenus pour la phase des sélections internationales, ils ont eu des échanges pointus avec les membres du conseil d’administration qui ont minutieusement évalué le potentiel de leurs entreprises.

    Ils rejoignent le rang des entreprises à fort impact à l’échelle internationale

    Endeavor est une association à but non lucratif qui encourage les entrepreneurs à fort impact. Ce sont ceux qui créent des entreprises prospères, emploient des centaines, voire des milliers de personnes, et génèrent des millions de dollars en salaires et en revenus. Inspirant d’innombrables autres entrepreneurs, ils ont également un rôle de modèle de réussite. Endeavor Maroc cible une cinquantaine d’entreprises marocaines. Son conseil d’administration présidé par Moulay Hafid Elalamy, ministre du commerce, de l’industrie et de l’économie numérique, est composé de dirigeants de grands groupes locaux.

    Pour rappel, la société Kilimanjaro est le leader marocain de la transformation des déchets en énergie verte. Depuis sa création en 2008, l’entreprise a connu une croissance fulgurante au Maroc et a lancé sa filiale algérienne avec des visées en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.

    Pour sa part, M2T a conçu, développé et exploite actuellement le concept d’espace services Proximo-Tasshilat, consistant en un réseau de plus 2 750 points de services de proximité au Maroc, au Sénégal et en France.

    La Vie éco

  • #2
    Pour rappel, la société Kilimanjaro est le leader marocain de la transformation des déchets en énergie verte.Depuis sa création en 2008, l’entreprise a connu une croissance fulgurante au Maroc et a lancé sa filiale algérienne avec des visées en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.
    Jamais entendu parler de cette entreprise.
    Même google ne connait que billets d'avion Kilimandjaro - Alger

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    • #3
      Jamais entendu parler de cette entreprise.

      il s'agit de la société Kilimanjaro environnement

      Commentaire


      • #4
        Oui haddou merci je suis tombé sur quelque chose là.

        Biocarburant à base d’huiles usagées

        Kilimanjaro exporte vers l’Europe L’entreprise marocaine a obtenu sa certification pour fournir le marché de l’UE

        Après les restaurateurs, la collecte sera étendue aux foyers


        C’est un grand jour pour Kilimanjaro Environnement. L’entreprise démarre, ce vendredi 13 septembre, l’exportation de son biocarburant à base d’huiles usagées. Un premier chargement de 40 tonnes sera en effet acheminé vers l’Europe. Cinq ans après sa création, l’entreprise, spécialisée dans le recyclage des huiles usagées et leur transformation en biocarburant, passe donc à la vitesse supérieure (cf. www.leconomiste.com).

        «Aujourd’hui, on peut entamer l’exportation car nous avons obtenu la certification internationale de durabilité du carbone (ISCC), le sésame nécessaire pour accéder au marché de l’UE», affirme Youssef Chaqor, DG de Kilimanjaro Environnement. L’entreprise n’exportait jusqu’ici que la matière première (huiles usagées) récupérée auprès des restaurants, hôtels, snacks… Ces huiles subissent ensuite tout un processus chimique avant d’être transformées en biodiesel. «Ce procédé permet à la fois de recycler des huiles dangereuses pour l’environnement et de produire un biocarburant 88% moins polluant que le carburant fossile», explique Chaqor. En Europe, une directive impose l’usage d’un diesel composé d’au moins 20% de biocarburant d’ici 2020 afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Au Maroc, on n’en est pas encore là. «Il faudra créer un cadre réglementaire favorable qui encourage l’utilisation du biodiesel dans des conditions économiques favorables», indique le management de Kilimanjaro Environnement. Certes, le métier doit être réglementé, mais il faudra aussi, selon le DG, instaurer une loi interdisant le déversement des huiles usagées, hautement polluantes, dans les égouts. Cette traçabilité du circuit de récupération des huiles permettra de lutter contre la fraude (notamment la revente à des fins alimentaires).

        Kilimanjaro Environnement emploie une cinquantaine d’employés pour la collecte et dans son unité de Aïn Sebaâ, dont la capacité atteint 100 tonnes de produits finis par mois. Sa flotte composée de 18 véhicules sillonne le Maroc pour récupérer les huiles auprès des restaurateurs (comme KFC, Burger King…), ainsi qu’auprès des hôtels, restauration collective et les industries agroalimentaires. Pour l’heure, les volumes ne permettent pas de faire de la distribution grand public. En attendant, le biocarburant à base d’huiles usagées reste tout de même pratiquement aussi coûteux que le diesel, «mais en cas d’augmentation de la capacité, des économies d’échelle permettront à coup sûr d’en réduire le prix», assure le DG, qui rêve de faire rouler les bus marocains avec du biocarburant.
        Sensibilisation
        Aujourd’hui, l’entreprise, qui dispose de plus de 2.500 points de collecte au niveau national, espère toucher également les foyers, le gisement le plus important, selon le DG de Kilimanjaro Environnement. «Nous menons actuellement une opération de sensibilisation dans notre quartier avant de passer à une campagne au niveau national, sachant qu’une famille consomme en moyenne 7 litres d’huile par mois». Avec plus de 750.000 foyers environ à Casablanca, on peut facilement mesurer le potentiel de collecte d’huiles usagées.

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