Le candidat indépendant, Ali Benflis, a dévoilé ses intentions concernant l’après 17 avril, lors de la conférence de presse qu’il a animée ce mardi au sein de son QG à Alger. En cas de fraude « Je ne me tairais pas ! », a déclaré Benflis en excluant toutefois tout recours à la violence. « A ceux qui disent que je vais sortir dans la rue, je dirai que la stabilité est ma devise. Ne pas se taire est une forme d’expression », a précisé le candidat.
Cela avant d’ajouter « Je ne peux pas savoir si je sortirais dans la rue. Peut être bien que je vais gagner. Dans ce cas, je ne vais pas empêcher les gens de manifester leur joie ».
Le candidat a laissé entendre que les fraudeurs n’auront pas la tâche facile puisqu’il dispose d’une armada de plus de 60 000 surveillants à travers le pays.
Benflis a réfuté, en riant, les dernières déclarations du Chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, qui l’a accusé de « terrorisme », au cours d’un échange avec le chef de la diplomatie espagnole. Il a affirmé qu’il n’a jamais menacé les walis, arguant que ses propos ont été déformés de manière « délibérée ».
Le candidat Benflis n’a pas manqué de critiquer le fait que le président-candidat se plaigne auprès d’un ministre étranger. « Nous tenons à ce que l'élection reste une affaire strictement algéro-algérienne au sujet de laquelle les puissances étrangères n'ont pas de droit de regard. Ce comportement est contraire aux règles les plus élémentaires de la diplomatie », a-t-il dit.
Benflis s’est montré satisfait du déroulement de sa campagne électorale en affirmant que son projet a été « partout accueilli avec ferveur et espoir ».
Source: El Watan
Cela avant d’ajouter « Je ne peux pas savoir si je sortirais dans la rue. Peut être bien que je vais gagner. Dans ce cas, je ne vais pas empêcher les gens de manifester leur joie ».
Le candidat a laissé entendre que les fraudeurs n’auront pas la tâche facile puisqu’il dispose d’une armada de plus de 60 000 surveillants à travers le pays.
Benflis a réfuté, en riant, les dernières déclarations du Chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, qui l’a accusé de « terrorisme », au cours d’un échange avec le chef de la diplomatie espagnole. Il a affirmé qu’il n’a jamais menacé les walis, arguant que ses propos ont été déformés de manière « délibérée ».
Le candidat Benflis n’a pas manqué de critiquer le fait que le président-candidat se plaigne auprès d’un ministre étranger. « Nous tenons à ce que l'élection reste une affaire strictement algéro-algérienne au sujet de laquelle les puissances étrangères n'ont pas de droit de regard. Ce comportement est contraire aux règles les plus élémentaires de la diplomatie », a-t-il dit.
Benflis s’est montré satisfait du déroulement de sa campagne électorale en affirmant que son projet a été « partout accueilli avec ferveur et espoir ».
Source: El Watan
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