Un sacré bon coup...Merci les hydrocarbures!!!
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Les efforts déployés par l'Etat depuis 2001 en matière d'investissements, à travers le programme de soutien à la relance économique (PSRE) 2001-2004, ont permis de créer 2.400.000 postes d'emploi jusqu'à fin 2005, a affirmé dans la nuit de dimanche à lundi le ministre du Travail et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh.
Au cours d'une session plénière de l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée au vote sur le projet de loi relatif aux mesures d'encouragement visant le soutien et la promotion de l'emploi, le ministre a expliqué que les efforts déployés par l'Etat, dans le cadre du programme de soutien à la relance économique 2001-2004, ont concerné en priorité les secteurs de la construction et des travaux publics, de l'hydraulique et de l'agriculture, grands pourvoyeurs de postes d'emploi.
Abordant l'expérience algérienne, "pionnière en Afrique", en matière de promotion et de soutien de l'emploi, M. Louh a indiqué qu'en parallèle à certains dispositifs d'emploi, "trois nouveaux dispositifs ont été mis en place et portent sur l'aide à la création d'activités à travers les petites entreprises et l'auto-emploi", précisant qu'ils "ont permis de créer près de 206.000 postes d'emploi jusqu'a fin 2005".
"Ces réalisations, a t-il dit, ont permis d'absorber la demande annuelle croissante en matière d'emploi et de réduire le nombre de chômeurs qui tombe ainsi de 2.611.000 en 2000, soit un taux de chômage de 29,5 %, à 1.475.000 chômeurs en 2005, ce qui représente 15,3 % de la population active".
M. Louh a souligné, par ailleurs, que "le taux de croissance de l'économie nationale, qui connaît une hausse régulière depuis 2000 avec un pic de 6,9% en 2003, avant de se stabiliser autour de 5 % en 2004 et 2005, traduit un retour à la croissance durable".
Il est temps, a-t-il soutenu, "de procéder à une révision qualitative de la stratégie de l'emploi, par un retour à une approche économique pour le traitement du fléau du chômage, à travers notamment, l'incitation à l'investissement et la réduction du coût de l'emploi". "Cette démarche implique, a-t-il ajouté, la mise en oeuvre d'une politique de l'emploi durable, adaptée à la demande économique dans le secteur de la production et répondant à la demande de l'emploi en adéquation avec l'accroissement de la population active".
Aps 16/10/06] Alger
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Les efforts déployés par l'Etat depuis 2001 en matière d'investissements, à travers le programme de soutien à la relance économique (PSRE) 2001-2004, ont permis de créer 2.400.000 postes d'emploi jusqu'à fin 2005, a affirmé dans la nuit de dimanche à lundi le ministre du Travail et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh.
Au cours d'une session plénière de l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée au vote sur le projet de loi relatif aux mesures d'encouragement visant le soutien et la promotion de l'emploi, le ministre a expliqué que les efforts déployés par l'Etat, dans le cadre du programme de soutien à la relance économique 2001-2004, ont concerné en priorité les secteurs de la construction et des travaux publics, de l'hydraulique et de l'agriculture, grands pourvoyeurs de postes d'emploi.
Abordant l'expérience algérienne, "pionnière en Afrique", en matière de promotion et de soutien de l'emploi, M. Louh a indiqué qu'en parallèle à certains dispositifs d'emploi, "trois nouveaux dispositifs ont été mis en place et portent sur l'aide à la création d'activités à travers les petites entreprises et l'auto-emploi", précisant qu'ils "ont permis de créer près de 206.000 postes d'emploi jusqu'a fin 2005".
"Ces réalisations, a t-il dit, ont permis d'absorber la demande annuelle croissante en matière d'emploi et de réduire le nombre de chômeurs qui tombe ainsi de 2.611.000 en 2000, soit un taux de chômage de 29,5 %, à 1.475.000 chômeurs en 2005, ce qui représente 15,3 % de la population active".
M. Louh a souligné, par ailleurs, que "le taux de croissance de l'économie nationale, qui connaît une hausse régulière depuis 2000 avec un pic de 6,9% en 2003, avant de se stabiliser autour de 5 % en 2004 et 2005, traduit un retour à la croissance durable".
Il est temps, a-t-il soutenu, "de procéder à une révision qualitative de la stratégie de l'emploi, par un retour à une approche économique pour le traitement du fléau du chômage, à travers notamment, l'incitation à l'investissement et la réduction du coût de l'emploi". "Cette démarche implique, a-t-il ajouté, la mise en oeuvre d'une politique de l'emploi durable, adaptée à la demande économique dans le secteur de la production et répondant à la demande de l'emploi en adéquation avec l'accroissement de la population active".
Aps 16/10/06] Alger
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