Quand l’offre dépasse la demande.
Il ne se passera rien après le 17 avril, la société civil est amorphe, les partis politique sont soit noyautés soit pollués. Avec une soixantaine de partis lequel d’entre eux peut prétendre mobiliser une force qui pourrait inquiéter le pouvoir.
Quant au mouvement BARAKAT il s’est déjà essouffler, comme il n y a pas rependant ses laideurs finirons par rejoindre ceux des Arrouchs avec des dividendes pour leur petite personne.
Dans les pays ou la richesse n’est pas générée par la gouvernance les revoles, les révolutions, les contestations ne peuvent pas réussir : car tout se vend et tout s’achète c’est une question de prix, dans le cas de l’Algérie l’offre dépasse la demande.
Pendant plus de 4 ans de revole en Kabylie et de rejet du pouvoir centrale et pourtant tout a fini par rentrer dans l’ordre.
Pourquoi ? Parce que la mamelle pétrolière n’est pas remise en cause, et à contribuer à arroser les consciences.
Et puis il faut comprendre aussi une chose dans cette élection ubuesque, c’est le pot de terre qui à terrasser le pot de fer.
Bouteflika a eu raison de ceux qui ont fait de lui le candidat le moins mauvais (déclaration de Khaled Nezar en public et à la télé). En vertu de quoi un générale en retraite qui devait occuper son temps à cultiver son jardin , écrire ses mémoires , ou à la limite faire partager ses connaissances en stratégies militaire dans des écoles de guerre , puisse t il se substituer à la conscience de plus de 30 millions d’Algériens et choisir pour eux .
Le mal que nous vivant aujourd’hui est venu d’hier. Un mal perpétuer depuis le jour où les Algériens on crues à tort avoir chassé l’oppresseur pour ensuite se retrouver avec un oppresseur encore plus méchant et plus abject que le prédécesseur.
L’Algérie est plus que jamais aux bords d’une implosion non pas par la faute des autres (main étrangère), mais par la faute de ceux qui ont confisqué son destin depuis 1962.
Ceux-ci sont à présent confrontes à un dilemme : soit répondre à la justice et à l’histoire devant la cour de Sidi M hmed à ALGER soit devant la cour pénal de la HAIE.
Arezki HAMOUDI
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