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(Agence Ecofin) - Après son entrée récente dans le Classement des places financières internationales au rang de seconde place africaine, Casablanca Finance City continue son opération séduction à l’international et vient récemment de faire sa promotion lors d’un très couru « Ambassador’s Lunch » à Monaco.
Chakib Benmoussa, ambassadeur du Maroc en France et à Monaco et Saïd Ibrahimi, directeur général de Casablanca Finance City (CFC), ont donc fait le déplacement vers le Rocher afin de présenter les atouts de la place financière marocaine à vocation panafricaine auprès des investisseurs monégasques. Au cours de la rencontre, organisée par la Chambre de développement économique (CDE) de Monaco, Saïd Ibrahimi a présenté devant quelque 70 acteurs économiques, financiers et entrepreneurs monégasques, les opportunités offertes par Casablanca Finance City. CFC, a expliqué son directeur général, est un « hub économique et financier qui a vocation à faciliter aux investisseurs l'accès au marché africain. La progression de la place financière marocaine a été couronnée par une entrée remarquée dans l’indice GFCI (Global Financial Centres Index). » Actuellement, 43 entreprises internationales bénéficient du statut CFC, alors que la place financière casablancaise a déjà signé des partenariats avec le Luxembourg, Singapour et la City de Londres.
De son côté, l’ambassadeur Benmoussa a détaillé les avantages offerts aux investisseurs internationaux par la destination économique et financière Maroc. Selon le diplomate, « les profondes réformes engagées par le Maroc au cours des dernières années ont en effet permis de doter le pays d’importantes infrastructures en ports, aéroports, réseaux autoroutier, numérique et logistique. Parallèlement, la stabilisation du cadre macroéconomique se renforce constamment, appuyée par des politiques sectorielles dynamiques et évolutives ».
La libéralisation de l’économie et l’encouragement d’un environnement des affaires très incitatif se sont traduits par une progression de +23% des investissements étrangers en 2013. Le Maroc a ainsi gagné dix places dans le classement Doing business de la Banque Mondiale. Chakib Benmoussa a insisté sur le potentiel de développement des échanges entre Monaco et le Maroc, « surtout que des d’échanges existent déjà de part et d’autre ».
La stabilité politique et la résilience économique et financière du Maroc confortent le rôle de la place financière de Casablanca comme hub régional vers l’Afrique, particulièrement l’Afrique francophone. Selon l’Ambassadeur, CFC occupe, en effet, le 2ème rang derrière la place financière de Johannesburg, orientée vers Afrique anglophone, et devant Maurice, tournée plutôt vers l’Inde.
Commentant les résultats de cette rencontre, Michel Dotta, président de la CDE et acteur incontournable de l’économie monégasque, a insisté sur la présence en nombre d’opérateurs économiques et financiers. Les arguments exposés « ne pouvaient laisser insensibles les acteurs financiers et entrepreneurs d’autres secteurs de la Principauté ». Surtout, a-t-il précisé, qu’en dehors de l’Europe, « l’Afrique est en effet aujourd’hui le premier continent pour Monaco à l’export ».
Chakib Benmoussa, ambassadeur du Maroc en France et à Monaco et Saïd Ibrahimi, directeur général de Casablanca Finance City (CFC), ont donc fait le déplacement vers le Rocher afin de présenter les atouts de la place financière marocaine à vocation panafricaine auprès des investisseurs monégasques. Au cours de la rencontre, organisée par la Chambre de développement économique (CDE) de Monaco, Saïd Ibrahimi a présenté devant quelque 70 acteurs économiques, financiers et entrepreneurs monégasques, les opportunités offertes par Casablanca Finance City. CFC, a expliqué son directeur général, est un « hub économique et financier qui a vocation à faciliter aux investisseurs l'accès au marché africain. La progression de la place financière marocaine a été couronnée par une entrée remarquée dans l’indice GFCI (Global Financial Centres Index). » Actuellement, 43 entreprises internationales bénéficient du statut CFC, alors que la place financière casablancaise a déjà signé des partenariats avec le Luxembourg, Singapour et la City de Londres.
De son côté, l’ambassadeur Benmoussa a détaillé les avantages offerts aux investisseurs internationaux par la destination économique et financière Maroc. Selon le diplomate, « les profondes réformes engagées par le Maroc au cours des dernières années ont en effet permis de doter le pays d’importantes infrastructures en ports, aéroports, réseaux autoroutier, numérique et logistique. Parallèlement, la stabilisation du cadre macroéconomique se renforce constamment, appuyée par des politiques sectorielles dynamiques et évolutives ».
La libéralisation de l’économie et l’encouragement d’un environnement des affaires très incitatif se sont traduits par une progression de +23% des investissements étrangers en 2013. Le Maroc a ainsi gagné dix places dans le classement Doing business de la Banque Mondiale. Chakib Benmoussa a insisté sur le potentiel de développement des échanges entre Monaco et le Maroc, « surtout que des d’échanges existent déjà de part et d’autre ».
La stabilité politique et la résilience économique et financière du Maroc confortent le rôle de la place financière de Casablanca comme hub régional vers l’Afrique, particulièrement l’Afrique francophone. Selon l’Ambassadeur, CFC occupe, en effet, le 2ème rang derrière la place financière de Johannesburg, orientée vers Afrique anglophone, et devant Maurice, tournée plutôt vers l’Inde.
Commentant les résultats de cette rencontre, Michel Dotta, président de la CDE et acteur incontournable de l’économie monégasque, a insisté sur la présence en nombre d’opérateurs économiques et financiers. Les arguments exposés « ne pouvaient laisser insensibles les acteurs financiers et entrepreneurs d’autres secteurs de la Principauté ». Surtout, a-t-il précisé, qu’en dehors de l’Europe, « l’Afrique est en effet aujourd’hui le premier continent pour Monaco à l’export ».