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(Agence Ecofin) - Hier, mercredi 16 avril, l’Office chérifien des phosphates (OCP), a récolté 1,55 milliards de dollars après le lancement de sa vente d’obligations internationales.
L’opération, réalisé par le biais de la Barclays, de JPMorgan Chase & Co, et de la Morgan Stanley, vise à assurer le financement d’un plan d’investissement de 17 milliards de dollars, qui lui permettra de faire passer ses parts de marché de 21% à 40% à l’horizon 2020.
En effet, pour Meryem Chami, directeur général de la planification à l’office, l’OCP doit capter la moitié de la croissance mondiale de la demande pour les engrais à base de phosphate. Un positionnement que le groupe pourra réaliser en se focalisant sur les marchés sud-américain et africain.
En Afrique, l’office a signé le mois dernier, des accords portant sur l’injection de plus 2 milliards de dollars dans la construction de 4 usines au Maroc et au Gabon afin de répondre à 30% de la demande en engrais du continent.
Sur le total de 1,55 milliard de dollars récolté hier, la vente des obligations portant sur une durée de 10 ans avec un taux d’intérêt de 5,75%, soit 3,1% d’intérêt de plus que les bons du trésor américain, a contribué à hauteur de 1,25 milliards de dollars, tandis que le reste du montant récolté provenait de la vente d’obligations s’étendant sur 30 ans avec un taux d’intérêt de 7,375%, soit 3,9% de plus que les bons du trésor américain.
Commentant ces premières performances de l’opération Samir Gadio, qui est l’un des spécialistes des marchés émergeants de la Standard Bank Plc de Londres expliquait à Bloomberg que « le principal facteur de soutien de l’opération est un environnement favorable au risque de marché. Mais l'histoire positive de l'entreprise et l'amélioration de la perception extérieure du Maroc y a aussi contribué».
L’agence de notation Standard & Poors a récemment attribué à l’OCP, la note BBB-. L’office, qui contrôle les plus grandes réserves mondiales de phosphates est contrôlé par l’Etat marocain.
L’opération, réalisé par le biais de la Barclays, de JPMorgan Chase & Co, et de la Morgan Stanley, vise à assurer le financement d’un plan d’investissement de 17 milliards de dollars, qui lui permettra de faire passer ses parts de marché de 21% à 40% à l’horizon 2020.
En effet, pour Meryem Chami, directeur général de la planification à l’office, l’OCP doit capter la moitié de la croissance mondiale de la demande pour les engrais à base de phosphate. Un positionnement que le groupe pourra réaliser en se focalisant sur les marchés sud-américain et africain.
En Afrique, l’office a signé le mois dernier, des accords portant sur l’injection de plus 2 milliards de dollars dans la construction de 4 usines au Maroc et au Gabon afin de répondre à 30% de la demande en engrais du continent.
Sur le total de 1,55 milliard de dollars récolté hier, la vente des obligations portant sur une durée de 10 ans avec un taux d’intérêt de 5,75%, soit 3,1% d’intérêt de plus que les bons du trésor américain, a contribué à hauteur de 1,25 milliards de dollars, tandis que le reste du montant récolté provenait de la vente d’obligations s’étendant sur 30 ans avec un taux d’intérêt de 7,375%, soit 3,9% de plus que les bons du trésor américain.
Commentant ces premières performances de l’opération Samir Gadio, qui est l’un des spécialistes des marchés émergeants de la Standard Bank Plc de Londres expliquait à Bloomberg que « le principal facteur de soutien de l’opération est un environnement favorable au risque de marché. Mais l'histoire positive de l'entreprise et l'amélioration de la perception extérieure du Maroc y a aussi contribué».
L’agence de notation Standard & Poors a récemment attribué à l’OCP, la note BBB-. L’office, qui contrôle les plus grandes réserves mondiales de phosphates est contrôlé par l’Etat marocain.