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(Agence Ecofin) - Des officiels de Qatar National Bank auraient affirmé la volonté du groupe de se développer en Afrique subsaharienne à partir du Maroc, où il est déjà présent comme actionnaire à 10% dans le capital d’Attijariwafa Bank, première institution financière du royaume, possédant un large réseau en Afrique de l'Ouest (UEMOA) et dans une moindre mesure en Afrique centrale.
Cette information publiée par le site d’information Financial Afrik, survient alors que QNB a récemment affirmé son ambition de devenir la plus grande banque en Afrique et au Moyen-Orient d’ici 2017. «Nous sommes à la recherche de cibles d'acquisitions en Turquie, au Maroc et en Afrique subsaharienne » avait alors déclaré le 6 février 2014 à l’agence Reuters, le directeur financier du groupe bancaire qatari, Ramzi Mari.
Attijariwafa Bank, deuxième entreprise de la Bourse de Casablanca en termes de capitalisation, se présente comme un partenaire possible pour le groupe qatari. Avec la holding royale (SNI) qui veut sortir du capital de ce groupe bancaire, QNB pourrait y trouver l'occasion de marquer une empreinte solide non seulement en Afrique subsaharienne, mais aussi dans un Maghreb en pleine reconstruction après les années difficiles des printemps arabes.
QNB a publié de solides résultats pour le premier trimestre 2014. Il en ressort que les revenus du groupe financier ont progressé durant la période de 14%, atteignant 840 millions de rials qataris (230,72 millions $). Une performance tirée par le financement de l'économie (+21%) et ceux issus des frais et commissions sur opérations (+57%). Mais bien que lucratif, le marché qatari qui compte 2 millions d'habitants, reste limité, ce qui justifie pleinement la volonté d'expansion internationale exprimée par les dirigeants de QNB
Cette information publiée par le site d’information Financial Afrik, survient alors que QNB a récemment affirmé son ambition de devenir la plus grande banque en Afrique et au Moyen-Orient d’ici 2017. «Nous sommes à la recherche de cibles d'acquisitions en Turquie, au Maroc et en Afrique subsaharienne » avait alors déclaré le 6 février 2014 à l’agence Reuters, le directeur financier du groupe bancaire qatari, Ramzi Mari.
Attijariwafa Bank, deuxième entreprise de la Bourse de Casablanca en termes de capitalisation, se présente comme un partenaire possible pour le groupe qatari. Avec la holding royale (SNI) qui veut sortir du capital de ce groupe bancaire, QNB pourrait y trouver l'occasion de marquer une empreinte solide non seulement en Afrique subsaharienne, mais aussi dans un Maghreb en pleine reconstruction après les années difficiles des printemps arabes.
QNB a publié de solides résultats pour le premier trimestre 2014. Il en ressort que les revenus du groupe financier ont progressé durant la période de 14%, atteignant 840 millions de rials qataris (230,72 millions $). Une performance tirée par le financement de l'économie (+21%) et ceux issus des frais et commissions sur opérations (+57%). Mais bien que lucratif, le marché qatari qui compte 2 millions d'habitants, reste limité, ce qui justifie pleinement la volonté d'expansion internationale exprimée par les dirigeants de QNB