Le doyen des présidents des clubs de l’est du pays et de l’USC, Abdelmadjid Yahi, fait partie des cadres qui soutiennent à fond la candidature de Ali Benflis à la magistrature suprême.
Il a pris part à plusieurs meetings organisés par la direction de campagne électorale, notamment ceux d’Oum El-Bouaghi, Khenchela et Batna, et nous parle des raisons qui l’ont convaincu d’opter pour ce candidat. “Tout d’abord, je suis un homme de principe qui agit selon l’intérêt général du pays, je ne soutiens pas n’importe qui. En 1999, j’ai constitué le premier comité de soutien à Bouteflika dans ma région. Malheureusement, après son élection, il n’a pas tenu ses engagements vis-à-vis de notre région et sa population, j’ai décidé de ne plus rouler pour lui. C’est à partir de 2004 que j’ai opté pour Ali Benflis. C’est un homme intègre, honnête, nationaliste, en plus il est debout, en bonne santé, il dispose d’un programme très ambitieux qui peut faire sortir le pays de ce marasme et de cette crise multidimensionnelle. C’est par profonde conviction que j’ai opté pour lui, ce n’est pas pour l’argent ou la notoriété que je l’ai soutenu. J’estime en mon âme et conscience que c’est l’homme qu’il faut pour le pays. Il est adulé là où il passe, je vous invite à faire un tour pour voir sa grande popularité auprès des citoyens ordinaires. Malgré les moyens colossaux de l’Etat mis à la disposition de la direction de campagne de Bouteflika, elle n’a pas pu remplir un quart de salle, ce n’est pas le cas de Benflis qui fait un raz de marée là où il passe. Les gens se déplacent par conviction pour le soutenir et écouter son ambitieux programme. On ne paye pas les gens pour venir remplir les salles, ce n’est pas notre credo. Chez nous, les citoyens viennent pour voir avec fierté leur candidat, ils savent que son élection le 17 avril à la tête du pays va redonner espoir aux millions d’Algériens.
Il va d’abord mettre tous les Algériens sur un pied d’égalité, il renforcera la liberté d’expression sans démagogie, il fera sortir la justice des lobbys, en lui rendant sa crédibilité et son indépendance totale, il réhabilitera la monnaie qui a pris un sacré coup, il rétablira l’Etat de droit et de citoyenneté où chacun peut avoir ses droits sans recourir aux connaissances”, nous explique Abdelmadjid Yahi, qui n’a pas raté cette occasion pour parler justement des changements que Benfils compte opérer dans le volet sportif. “Il va entreprendre une réforme profonde du sport en général et du football en particulier afin de donner au professionnalisme sa véritable valeur. Création d’un fonds national de soutien au football, où tous les Algériens sans exception auront droit, les subventions étatiques (Sonatrach, Sonelgaz, etc.) doivent être justement versées à ce fonds de soutien. Les sports collectifs délaissés doivent retrouver leur place, donner la possibilité à tous les Algériens de pratiquer le sport de leur choix et généraliser les infrastructures sportives à tous les niveaux, pas seulement dans une région. Je peux toutefois vous dire que le programme de Benfils est une véritable révolution à tous les niveaux, il touchera l’ensemble du pays et de la population.” Avant de clore son intervention, le président de l’USC nous révèle que Ali Benflis est en nette avance sur Bouteflika selon les sondages effectués cette semaine. “S’il n’y a pas fraude, Benflis sera élu le 17 avril président de la République. Selon nos sondages et nos statistiques, il devance largement Bouteflika. Notre campagne électorale est une totale réussite. On a vu comment les Algériens de l’intérieur du pays nous ont accueillis, c’est de ça qu’on tire notre force et pas des salons feutrés. L’Algérie profonde votera Benflis avec conviction, tout le monde est convaincu de son programme, surtout de sa loyauté et de son engagement pour l’intérêt suprême de la nation, c’est pour toutes ces raisons que nous avons décidé de soutenir, ma famille et moi et toute ma région, le candidat patriote Ali Benflis”, conclut l’homme qui a offert le seul titre de champion d’Algérie à son club, l’USC, au début des années 1990.
Par : Rachid Abbad
Il a pris part à plusieurs meetings organisés par la direction de campagne électorale, notamment ceux d’Oum El-Bouaghi, Khenchela et Batna, et nous parle des raisons qui l’ont convaincu d’opter pour ce candidat. “Tout d’abord, je suis un homme de principe qui agit selon l’intérêt général du pays, je ne soutiens pas n’importe qui. En 1999, j’ai constitué le premier comité de soutien à Bouteflika dans ma région. Malheureusement, après son élection, il n’a pas tenu ses engagements vis-à-vis de notre région et sa population, j’ai décidé de ne plus rouler pour lui. C’est à partir de 2004 que j’ai opté pour Ali Benflis. C’est un homme intègre, honnête, nationaliste, en plus il est debout, en bonne santé, il dispose d’un programme très ambitieux qui peut faire sortir le pays de ce marasme et de cette crise multidimensionnelle. C’est par profonde conviction que j’ai opté pour lui, ce n’est pas pour l’argent ou la notoriété que je l’ai soutenu. J’estime en mon âme et conscience que c’est l’homme qu’il faut pour le pays. Il est adulé là où il passe, je vous invite à faire un tour pour voir sa grande popularité auprès des citoyens ordinaires. Malgré les moyens colossaux de l’Etat mis à la disposition de la direction de campagne de Bouteflika, elle n’a pas pu remplir un quart de salle, ce n’est pas le cas de Benflis qui fait un raz de marée là où il passe. Les gens se déplacent par conviction pour le soutenir et écouter son ambitieux programme. On ne paye pas les gens pour venir remplir les salles, ce n’est pas notre credo. Chez nous, les citoyens viennent pour voir avec fierté leur candidat, ils savent que son élection le 17 avril à la tête du pays va redonner espoir aux millions d’Algériens.
Il va d’abord mettre tous les Algériens sur un pied d’égalité, il renforcera la liberté d’expression sans démagogie, il fera sortir la justice des lobbys, en lui rendant sa crédibilité et son indépendance totale, il réhabilitera la monnaie qui a pris un sacré coup, il rétablira l’Etat de droit et de citoyenneté où chacun peut avoir ses droits sans recourir aux connaissances”, nous explique Abdelmadjid Yahi, qui n’a pas raté cette occasion pour parler justement des changements que Benfils compte opérer dans le volet sportif. “Il va entreprendre une réforme profonde du sport en général et du football en particulier afin de donner au professionnalisme sa véritable valeur. Création d’un fonds national de soutien au football, où tous les Algériens sans exception auront droit, les subventions étatiques (Sonatrach, Sonelgaz, etc.) doivent être justement versées à ce fonds de soutien. Les sports collectifs délaissés doivent retrouver leur place, donner la possibilité à tous les Algériens de pratiquer le sport de leur choix et généraliser les infrastructures sportives à tous les niveaux, pas seulement dans une région. Je peux toutefois vous dire que le programme de Benfils est une véritable révolution à tous les niveaux, il touchera l’ensemble du pays et de la population.” Avant de clore son intervention, le président de l’USC nous révèle que Ali Benflis est en nette avance sur Bouteflika selon les sondages effectués cette semaine. “S’il n’y a pas fraude, Benflis sera élu le 17 avril président de la République. Selon nos sondages et nos statistiques, il devance largement Bouteflika. Notre campagne électorale est une totale réussite. On a vu comment les Algériens de l’intérieur du pays nous ont accueillis, c’est de ça qu’on tire notre force et pas des salons feutrés. L’Algérie profonde votera Benflis avec conviction, tout le monde est convaincu de son programme, surtout de sa loyauté et de son engagement pour l’intérêt suprême de la nation, c’est pour toutes ces raisons que nous avons décidé de soutenir, ma famille et moi et toute ma région, le candidat patriote Ali Benflis”, conclut l’homme qui a offert le seul titre de champion d’Algérie à son club, l’USC, au début des années 1990.
Par : Rachid Abbad
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