C’est dans une atmosphère de recueillement et de profonde tristesse que les corps des deux militaires de l’ANP, victimes de l’attentat terrorise perpétré samedi soir contre un bus transportant des soldats de l’ANP au lieu dit la « Carrière », au sud-ouest d’Iboudrarene (Tizi-Ouzou), ont été inhumé lundi 21avril en fin d’après-midi dans les villes de Sidi Bel Abbès et de Marhoum.
Une foule immense a accompagnée Tayebi Sidi Ahmed (23 ans), militaire actif, natif du quartier populaire de Bario Alto, à sa dernière demeure au cimetière de Sidi Bel Abbès, là où un détachement de l’ANP lui a rendu les honneurs militaires avant qu’un imam ne prononce un discours louant les qualités du défunt connu pour sa modestie et son sens du devoir.
«Débordant de vie, Sidi Ahmed rêvait de faire carrière dans les rangs de l’armée », témoigne Mohamed, infirmier à l’hôpital de la ville et voisin du défunt. Ayant décroché son bac l’année passé, Amine, contrairement à beaucoup de ses congénères, avait opté pour une carrière militaire.
Le corps du défunt, acheminé à partir de l’aéroport militaire de Boufarik, est arrivé en début d’après midi au domicile mortuaire sis à Bario Alto, envahi par des proches.
«L’Algérie a perdu en ce samedi un de ses fils parmi les meilleurs, parmi les plus braves et les plus fiers », nous confiait hier l’un de ses proches, à la sotie du cimetière de la ville.
L’autre victime du devoir, Bouazi Mustapha (25 ans), a lui aussi été inhumé dans la même journée au cimetière de la localité de Marhoum.
La nouvelle de sa mort, qui avait fait le tour de cette localité agropastoral, avait fait l’effet d’une onde de choc et plongé cette région du sud de la wilaya dans une profonde tristesse.
Pour rappel, onze militaires ont été tués dans l’attentat d'Iboudraren (50 km environ au sud-est de Tizi-Ouzou).
Ils ont été pris pour cible par un groupe armé alors qu’ils revenaient d'une opération de sécurisation du scrutin présidentiel de jeudi dernier.
El Watan
Une foule immense a accompagnée Tayebi Sidi Ahmed (23 ans), militaire actif, natif du quartier populaire de Bario Alto, à sa dernière demeure au cimetière de Sidi Bel Abbès, là où un détachement de l’ANP lui a rendu les honneurs militaires avant qu’un imam ne prononce un discours louant les qualités du défunt connu pour sa modestie et son sens du devoir.
«Débordant de vie, Sidi Ahmed rêvait de faire carrière dans les rangs de l’armée », témoigne Mohamed, infirmier à l’hôpital de la ville et voisin du défunt. Ayant décroché son bac l’année passé, Amine, contrairement à beaucoup de ses congénères, avait opté pour une carrière militaire.
Le corps du défunt, acheminé à partir de l’aéroport militaire de Boufarik, est arrivé en début d’après midi au domicile mortuaire sis à Bario Alto, envahi par des proches.
«L’Algérie a perdu en ce samedi un de ses fils parmi les meilleurs, parmi les plus braves et les plus fiers », nous confiait hier l’un de ses proches, à la sotie du cimetière de la ville.
L’autre victime du devoir, Bouazi Mustapha (25 ans), a lui aussi été inhumé dans la même journée au cimetière de la localité de Marhoum.
La nouvelle de sa mort, qui avait fait le tour de cette localité agropastoral, avait fait l’effet d’une onde de choc et plongé cette région du sud de la wilaya dans une profonde tristesse.
Pour rappel, onze militaires ont été tués dans l’attentat d'Iboudraren (50 km environ au sud-est de Tizi-Ouzou).
Ils ont été pris pour cible par un groupe armé alors qu’ils revenaient d'une opération de sécurisation du scrutin présidentiel de jeudi dernier.
El Watan
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