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Abbès Bahous, enseignant chercheur à l’université de Mostaganem, entre désormais dans le monde de la fiction avec la publication de son premier roman intitulé "Mes femmes."
Le roman, contrairement à ce que laisse supposer son titre, ne repose pas sur une histoire de polygamie ou une description de harem où des femmes-servantes sont à la disposition de mâles dominants. A travers Mes femmes, Abbès Bahous décortique la société algérienne à travers les tribulations de femmes en quête de liberté, mais subissant les pesanteurs sociales. C’est aussi un regard que l’auteur pose sur l’Algérie des années 2000 confrontées à des contradictions diverses qui surgissent avec les rêves brisés, le bonheur recherché par des femmes qui en témoignent au personnage principal, Mourad, qui reçoit ses amies dans son appartement oranais.
Les 162 pages de ce roman divisé en trois chapitres, narrent les déchirements qui traversent la société à travers la question du célibat et du mariage. Ceci paraît une technique littéraire originale de raconter la vie de gens plutôt instruits (les personnages sont des cadres moyens) pour renvoyer les contradictions de la société avec un style simple où l’on pourrait apprécier des répliques en arabe algérien de l’Ouest. Le roman a été tiré à 200 exemplaires aux éditions françaises de la collection Plumes au bout des doigts. L’auteur est à la recherche d’un éditeur en Algérie.
Mes femmes, de Abbès Bahous. 162 pages. 800 DA
Saïd Gada- El Watan
Le roman, contrairement à ce que laisse supposer son titre, ne repose pas sur une histoire de polygamie ou une description de harem où des femmes-servantes sont à la disposition de mâles dominants. A travers Mes femmes, Abbès Bahous décortique la société algérienne à travers les tribulations de femmes en quête de liberté, mais subissant les pesanteurs sociales. C’est aussi un regard que l’auteur pose sur l’Algérie des années 2000 confrontées à des contradictions diverses qui surgissent avec les rêves brisés, le bonheur recherché par des femmes qui en témoignent au personnage principal, Mourad, qui reçoit ses amies dans son appartement oranais.
Les 162 pages de ce roman divisé en trois chapitres, narrent les déchirements qui traversent la société à travers la question du célibat et du mariage. Ceci paraît une technique littéraire originale de raconter la vie de gens plutôt instruits (les personnages sont des cadres moyens) pour renvoyer les contradictions de la société avec un style simple où l’on pourrait apprécier des répliques en arabe algérien de l’Ouest. Le roman a été tiré à 200 exemplaires aux éditions françaises de la collection Plumes au bout des doigts. L’auteur est à la recherche d’un éditeur en Algérie.
Mes femmes, de Abbès Bahous. 162 pages. 800 DA
Saïd Gada- El Watan
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