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Mois du patrimoine (algerie)

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  • Mois du patrimoine (algerie)

    à Jijel: pour une célébration digne de l’Histoire de la région des Kotama
    JIJEL- La wilaya de Jijel entend donner, cette année, un éclat particulier à la célébration du mois du patrimoine (18 avril-18 mai) qui doit être digne de la riche et tumultueuse Histoire de la région des Kotama, ont indiqué mardi les responsables de la direction de la culture.
    Expositions, conférences thématiques, projections de films documentaires, concours et de nombreuses autres activités figurent au programme de cette célébration, selon la même source.
    Le musée Kotama, situé dans le centre de la ville de Jijel, abritera, tout au long de ce mois, une exposition sur l’Histoire de Jijel, sur ses innombrables vestiges et sur son artisanat, a-t-on souligné à la direction de wilaya de la culture.
    Plusieurs conférences seront animées par des historiens et des universitaires qui proposeront, notamment, un débat autour des technologies nouvelles et le rôle qu’elles peuvent jouer dans la protection du patrimoine en matière de conservations muséales et d’archivage au moyen des procédés numériques.
    Des actions de sensibilisation à l’importance de la protection et de la préservation du patrimoine matériel et immatériel seront également entreprises dans plusieurs communes de la wilaya de Jijel, a-t-on ajouté.

    APS dz
    Dernière modification par katiaret, 23 avril 2014, 15h58.
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    Mois du patrimoine: la poterie à l’honneur à Tlemcen

    TLEMCEN - La poterie tlemcénienne sera à l'honneur à l’occasion de la célébration du mois du patrimoine dans une grande exposition du 28 avril au 18 mai, qui sera exclusivement réservée aux produits de poterie.
    Placée sous le slogan "le patrimoine culturel entre la connaissance et le savoir-faire à l’ère de la numérisation", cette exposition mettra en valeur tous ces artisans, femmes et hommes, qui préservent jalousement ce legs patrimonial hérité des ancêtres.
    Les artisans de Nedroma, de Bider, de Khemis et Azail présenteront ce que leurs mains expertes confectionnent comme produits servant soit en cuisine ou en décor, a indiqué le directeur du palais de la culture, Tahar Arris. La wilaya de Tlemcen est réputée pour ses marchés de poterie, a-t-il dit, rappelant que de l’ère romaine à la colonisation française une diversité de métiers artisanaux ont vu le jour au point d’attribuer le nom de "El Fekharine" à un quartier dans lequel prospérait cette industrie.
    Les visiteurs auront le plaisir de voir de près divers produits aux formes et aux couleurs variées en plus d'ateliers vivants qui leur permettront de connaître les étapes de fabrication de ces produits depuis le malaxage jusqu'au tournage et le moulage de l’argile.
    APS dz
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    • #3
      Mois du patrimoine: de riches activités à Constantine et Batna

      CONSTANTINE - La célébration du mois du patrimoine (18 avril-18 mai) donnera lieu à de riches activités dans les wilayas de Constantine et de Batna, ont indiqué lundi des responsables locaux du secteur de la culture.
      A Constantine, le coup d’envoi de cette célébration a été donné, lundi, au centre culturel M’hamed Yazid d’El Khroub dans une ambiance festive, en présence de la coordinatrice nationale de la manifestation "Constantine, capitale 2015 de la culture arabe", Mme Halima Hankour, et des autorités locales.
      Des expositions d’habits traditionnels, d’objets artisanaux et de mets du terroir ont été organisées à cette occasion par l’association locale "Djoussour" (passerelles), en coordination avec la direction de la culture et l’Assemblée populaire communale d’El Khroub.
      Dans la wilaya de Batna, la direction de la culture a élaboré un riche programme d’activités pour ce mois du patrimoine 2014, placé, cette année, sous le signe de "la connaissance du patrimoine culturel à l’ère du numérique".
      Une journée d’étude scientifique sera organisée en coordination avec l’association "les amis d’Imedghassen", ayant pour thème les vestiges historiques et les monuments de la région de Ksar Belezma, dans la daïra de Merouana, avec la participation d’universitaires.
      Des conférences et des débats sont également au programme des manifestations qui seront notamment marquées par des rencontres sur la poésie populaire, les proverbes et la sagesse populaire de la région des Aurès, ainsi que par des causeries autour des manuscrits de la région.
      La maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa abritera les journées de la chanson auressienne qui se poursuivront pendant une semaine, avec la participation de troupes folkloriques locales. La bibliothèque communale de Seriana abritera, pour sa part, une exposition de photographies sur l’époque préhistorique.
      APS dz
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      • #4
        Un riche programme pour la célébration du mois du patrimoine à Adrar

        ADRAR - Un riche programme a été concocté pour la célébration du mois du patrimoine (18 avril-18 mai) dans la wilaya d’Adrar, a-t-on appris dimanche des responsables de la maison de la culture.
        Au programme de ces festivités, l’organisation d’expositions, des conférences-débats et des soirées artistiques, et ce en collaboration avec les associations locales et les offices communaux du tourisme, a révélé le chef de service des activités culturelles de la maison de la culture, Mohamed Ser.
        Ces festivités débuteront par l’organisation, au niveau de la maison de la culture, d’une exposition sur le patrimoine matériel et immatériel de la région du Tidikelt (Est de la wilaya), en collaboration avec l’office du tourisme et la commune de Timenktène et l’association "Basma" d’artisanat traditionnel, et d’une exposition similaire sur la région du Gourara (nord de la wilaya), en collaboration avec l’association touristique "El Wahet" de la commune d’Ougrout et l’association "Imdoukel" de la chanson locale et du patrimoine ancien.
        Des conférences seront aussi animées par des chercheurs et penseurs sur "les manuscrits algériens dans la région d’Azaouad au nord du mali", sur "la réalisation de manuscrits" et sur le parcours du poète Sidi-M’hamed Ben Mabrouk El-Boudaoui, a ajouté la même source.
        Dans le même cadre, des journées de wilaya sur le folklore, organisées en collaboration avec les différentes communes de la wilaya, en plus d’un concours sur l’interprétation de "El-Hadra", dans le but de contribuer à la préservation de ce patrimoine.
        Le public adrari sera également convié, durant ce mois du patrimoine, à des soirées artistiques et culturelles ainsi qu’à des spectacles folkloriques animés par des différentes troupes musicales, à l’instar de "Kawkeb El-Djanoub" (commune d’Aoulef), "Moulay Yakoub" spécialisée dans le genre Ahellil (commune de Ouled-Said), "Angham El-Sahra" (commune de Reggane) et "Sidi Blel" de Karkabou du Ksar de Titaf (commune de Tamest), selon la même source.
        APS dz
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        • #5
          Mois du patrimoine: des activités sous le slogan "patrimoine culturel et numérisation" à Oran

          ORAN - Les différentes structures culturelles d’Oran abriteront de nombreuses activités à l’occasion de la célébration du mois du patrimoine (18 avril-18 mai), placé cette année sous le slogan "patrimoine culturel et numérisation" , a-t-on appris dimanche auprès de la direction de la culture.
          Dans ce cadre, deux journées d’étude sont programmées sur le piratage et la préservation et la restauration des sites archéologiques, de même qu'un colloque traitant du thème "le livre: stratégies culturelles locales" et des émissions de la radio d’Oran sur "l’écriture et le piratage" et "les visites virtuelles".
          Des conférences seront animées sur "le patrimoine matériel et immatériel", "le patrimoine culturel à l'ère de la numérisation" et "la protection du patrimoine au temps de la numérisation", outre des expositions diversifiées mettant en exergue le patrimoine que recèle Oran à travers des tableaux de sites archéologiques, des photos de mosquées classées et des timbres postaux.
          Les visites guidées occupent une grande place au programme de célébration du mois du patrimoine. 300 étudiants de l’école préparatoire des sciences économiques et commerciales et de gestion et autres instituts de l’université d’Oran bénéficieront, les samedi et jeudis, de virées à des sites archéologiques et historiques d’Oran.
          Les organisateurs ont également programmé des jeux pour enfants, une exposition de dessins de cette frange, des activités folkloriques, des soirées de musique classique, un défilé du costume oranais et des récitals de poésie melhoun.
          A cette célébration prendront part des spécialistes de l’Office national des droits d’auteur et des droits voisins (ONDA), des enseignants universitaires d’Oran, des spécialistes de restauration de sites archéologiques et des représentants de la maison de la culture "Zeddour Brahim Belkacem" et d'associations culturelles de promotion du patrimoine matériel et immatériel.
          APS dz
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          • #6
            Mois du patrimoine: expositions sur la richesse du patrimoine culturel de Tissemsilt

            TISSEMSILT - La célébration du mois du patrimoine a débuté lundi à la maison de la culture de Tissemsilt par l’ouverture d’expositions diverses mettant en relief la richesse du patrimoine culturel de l’Ouarsenis.
            Les expositions présentent des gammes de tapis traditionnels qui font la renommée du village de Selmana (commune de Layoune), de Theniet El Had et de la commune Emir-Abdelkader, des bijoux traditionnels, des ustensiles en argile, des plats culinaires et des gâteaux.
            Un espace est réservé aux livres et travaux de recherches sur les monuments de la wilaya dont "El Mourchid El Anis à l'histoire et aux monuments de l’Ouarsenis" du Dr. Abdelkader Dahdouh et "Le vieux Tissemsilt à travers des sites archéologiques" de Lebbib Hadj.
            La direction de la culture a programmé, lundi, des danses populaires de l’association "El Hanae" et des exhibitions de matreg par l’association de wilaya de ce sport traditionnel.
            Le public est convié également à des récitals de chant bédoui qui seront interprétés par Cheik Miloud El Vialari et poétiques de melhoun.
            En outre, une visite pédagogique est programmée au profit du personnel du secteur de la culture aux sites archéologiques "Ouarthan" à Theniet El Had et "Boukhirene" dans la commune de Sidi Boutouchent.
            La maison de la culture a également concocté un riche programme (expositions, conférences et journées d’étude) sur le patrimoine culturel avec la projection de films et organisation de concours et soirées artistiques.
            APS dz
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            • #7
              MOIS DU PATRIMOINE À MÉDÉA Expositions sur la chaussure, le cavalier et le patio

              Dans la cadre de la célébration du mois du Patrimoine, le musée public national des arts et traditions populaires de Médéa a programmé plusieurs expositions qui mettront à l’honneur l’évolution de la chaussure à travers les âges, des époques les plus lointaines en passant par l’Antiquité, le Moyen-Âge, la période ottomane et la colonisation française. Pour cela, des collections appartenant au patrimoine du musée et à des fabricants seront exposées et des photographies sur la chaussure présentées à l’occasion d’une exposition portant sur le thème Essabat, qui se déroulera du 29 au 30 avril dans une salle du musée. Le choix du thème n’est pas fortuit sachant que Médéa a toujours eu une réputation de ville de la chaussure et du travail du cuir eu égard aux nombreuses fabriques qui existaient avant de subir les effets de la crise économique de plein fouet. On rappellera que le secteur de la chaussure, tout comme les autres industries, n’a pas résisté à l’ouverture à la concurrence des produits importés venus des marchés mondiaux. Des artisans et des maroquiniers seront conviés pour parler de leur métier et de leur savoir-faire hérités de génération en génération et qui continue de faire la fierté de nombreuses familles. Le cavalier sera mis à l’honneur par une exposition, qui aura lieu du 15 au 31 mai, dans l’objectif de faire découvrir les décorations des tenues du cavalier et les harnachements du cheval. L’art de vivre dans les patios Wast Eddar sera également présent à travers une exposition à laquelle prendra part le musée des arts et traditions populaires d’Alger, par la présentation de l’habitation connue sous l’appellation de Dar Khdaouedj El Amia. L’exposition, qui va avoir lieu du 18 au 24 mai, donnera l’occasion aux visiteurs de découvrir la beauté des décorations des patios et la manière utilisée pour leur aménagement.
              M E B
              liberte
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              • #8
                MOIS DU PATRIMOINE À L'INSTITUT FRANÇAIS D' ALGER: Zoom sur les recherches de Kaci Mahrour

                Une belle «leçon d'architecture» qu'est cette exposition: «Des ksour à la Casbah, l'art d'habiter l'urbain en Algérie» actuellement visible jusqu'au 28 avril.
                Dans le cadre du Mois du patrimoine l'Institut français d'Alger accueille depuis le 1er avril une exposition d'architecture et d'urbanisme signé Illili Mahrour, architecte (Dplg Paris-Belleville). Cette exposition est un hommage en fait, consacrée au travail de son père, un amoureux des cités algériennes et détenteur de leurs secrets.
                Il s'agit de l'architecte algérien Kaci Mahrour décédé en 2004. Conçue par sa fille Illili Mahrour, l'exposition s'appuie sur les deux textes fondateurs de la pensée architecturale développée par Kaci Mahrour en Algérie. A partir de documents originaux et inédits du fonds iconographique personnel et des recherches de l'architecte, l'exposition aborde, à la fois, les cités du Sud et du Nord avec l'idée qu'une unité architecturale et philosophique existe et qu'elle identifie l'art d'habiter en Algérie. S'est associé à cette exposition, le travail photographique en noir et blanc de Fayçal Rezkallah, alias Fay La Faille. Cette collection de photos baptisées «´´Mur´´mures: le secret des remparts» s'est joint de façon originale à l'exposition d'architecture. Elle est en fait l'écho comme une sorte de résonance avec cette architecture habitée de l'homme à la matière, là où les murs racontent leurs histoires.
                D'ailleurs, sur toutes ces photos, on y voit des hommes dans le désert adossés au mur.. Aussi, dans l'exposition «Des ksour à la Casbah, l'art d'habiter l'urbain en Algérie» l'architecte Illili Mahrour propose une «leçon d'architecture» à travers la découverte du projet architectural de restauration d'une partie de l'aile extérieure du Ksar d'Aghlad Aghriben (Timimoun 2004). «C'est une invitation à la compréhension du processus de conception architectural dans un contexte de préservation patrimoniale en illustrant la complexité conceptuelle que nécessite impérativement la sauvegarde du patrimoine architectural algérien. En privilégiant une démarche de bonne gouvernance et avec un souci de développement durable, l'architecte décryptera l'approche «projetationnelle» de Kaci Mahrour qui a su associer la maîtrise des techniques constructives traditionnelles aux subtilités des espaces archétypiques de l'architecture savante du Sahara algérien.» Avec photo, et textes à l'appui, l'exposition explique l'art de la réhabilitation des ksour de la Cité au Sahara algérien.
                Mais le travail ne consiste pas de parler uniquement du présent, mais d'évoquer également le passé à travers les caractéristiques du «plateau» durant l'ère coloniale et le rôle qu'a joué, notamment le baroud dans l'édification de la culture nomade, mais surtout dans la mise en fuite de l'ennemi et la formation du «village» à cette époque-là, véritable axe urbain bâti par les Français (mairie, poste, école etc). Mais le ksar trouve son essence là où il y a de l'eau d'où la référence incontournable aux foggaras qui sont invoquées comme témoin essentiel de la vie dans le désert.
                Kaci Mahrour parle aussi d'aujourd'hui dans ses travaux en soulignant «la nécessité de l'adaptation de nos constructions nouvelles à un paysage où à un milieu architectural spécifique...». Enfin, l'exposition se termine par une série de questionnements légitimes portant sur le devenir de nos sociétés modernes. «Quelle place la ville ancienne occupe-t-elle au sein de nouvelles formes urbaines? Quelles formes urbaines sont produites aujourd'hui? Et enfin, quel habitat pour quelle ville demain en Algérie?» de très bonnes questions à méditer!
                Outre l'expo, un workshop devait être conçu et animé la semaine dernière par l'architecte Illili Mahrour, mais aussi un atelier pédagogique gratuit, à l'Institut français d'Alger, aux enfants de 8 à 12 ans. Le but nous indique-t-on est que les enfants «puissent découvrir le métier de Maâlem, l'architecte incontesté du patrimoine algérien par la création d'un «Carnet de croquis», outil indispensable à tout architecte.». Une sorte de perpétuation du flambeau et ce n'est qu'une bonne initiative à saluer.
                Par O. HIND
                l'expression dz
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                • #9
                  Tindouf : El-melhfa, l’habit traditionnel de la femme

                  Le mois du patrimoine (18 avril au 18 mai), qui offre l’occasion à chaque région de valoriser ses spécificités, invite, entre autres, à s’intéresser au costume traditionnel qui la distingue. Si, à Tindouf, pour les hommes, c’est «Eddaraâ» (la gandoura), pour les femmes, c’est «El-melhfa».


                  «El-melhfa», ce voile porté allègrement par la femme tindoufie et sahraouie en général, c’est un peu le genre du «hayek» avec lequel se couvrent encore quelques femmes du «Tell» (les wilayas du nord). Cet habit, qui emmitoufle tout le corps de la femme, a connu, au cours des ans – modernité oblige – une évolution «toute en couleur». Des deux pans à deux couleurs, le blanc couvrant la moitié inférieure du corps et le noir enveloppant le buste et la tête. «El-melhfa», la plus arborée actuellement, est en une seule pièce, flirtant avec une infinité de couleurs. Parfois unie mais le plus souvent bariolée avec une diversité de motifs.

                  Un plaisir pour les yeux ! «L’habit traditionnel en noir et blanc, porté généralement par des femmes d’un certain âge, est désormais réservé aux cérémonies et aux grandes occasions», explique-t-on. Presque la totalité des femmes portent El-melhfa. Et même les jeunes filles. Le port de ce voile leur est-il imposé ? «Non ! On la porte «normal», j’aime mettre El-melhfa, je me sens plus à l’aise pour me déplacer et pour vaquer aux tâches ménagères», dira fièrement l’une d’elles. «Je la porte tout le temps sauf quand je vais à l’école», confirme une lycéenne. Bien que, dans cette institution, quand elles viennent pour les cours de soutien après les heures de classe, les lycéennes sont tout en melhfa. Si, à l’école, seules quelques enseignantes et surveillantes la portent, sur les autres lieux de travail, les rares femmes sans melhfa ne sont généralement pas originaires de la région.

                  Ce qui ne veut absolument pas dire que toutes celles qui portent ce voile sont des Tindoufies puisque nombreuses sont les «telliennes», vivant depuis quelque temps ici, qui ont fini par l’adopter. Attirées, apparemment, par son aspect exotique, elles ont fini par tomber sous son charme. «Au début, j’ai essayé El-melhfa par curiosité et puis j’ai découvert une certaine aisance à la porter, c’est très commode comme habit», reconnaît une «Tellienne». Certaines ajoutent au côté purement pudique de ce voile et à sa commodité, l’aspect relatif au climat de la région : «El-Melhfa» protège du froid et surtout de la chaleur qui sévit durant une longue période de l’année.

                  Milagh Mankour

                  el watan
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                  • #10
                    Mois du patrimoine à Batna : Le concours "S’hab El Baroud" au cœur d’une belle mosaïque

                    Le 1er concours destiné aux adeptes du baroud a permis de créer, samedi dans la petite localité de Hamla (ex-Condorcet), dans la wilaya de Batna, une ambiance festive, tout en ferveur, au cœur dune superbe mosaïque représentative du patrimoine matériel et immatériel algérien.

                    Le 1er concours destiné aux adeptes du baroud a permis de créer, samedi dans la petite localité de Hamla (ex-Condorcet), dans la wilaya de Batna, une ambiance festive, tout en ferveur, au cœur dune superbe mosaïque représentative du patrimoine matériel et immatériel algérien. Chants et danses folkloriques, habits du terroir chaoui, jeux traditionnels et autres activités récréatives ont marqué ce concours, plongeant le nombreux public présent dans une atmosphère d’allégresse, ponctuée de concerts en plein air de "Gasba" et de "Bendir" dans la plus pure tradition des Aurès. Attirés aussi par un soleil printanier radieux, des citoyens, seuls ou en famille, étaient visiblement émerveillés par les évolutions des "baroudeurs traditionnels", au nombre de 230, venus de plusieurs régions des Aurès, âgés entre 6 et 72 ans. Le vaste espace vert situé sur les berges de l’oued Hamla, au pied des monts Tougueur et Boumerzoug, où le cèdre de l’Atlas trône en maître des lieux, a été transformé, l’espace de ce concours inédit dans cette région, en arène dédiée aux évolutions, en solo ou en groupe, des chantres du
                    baroud dont les tirs assourdissants ont de tous temps donné un cachet particulier aux réjouissances aurésiennes. Les figures éminemment artistiques d’"El Ouarda", qui voit un groupe d’une douzaine de "baroudeurs" en cercle converger vers le centre avant de s’éloigner en corolle, d’"El Khayyata" (machine à coudre) qui voit les tireurs se faire face et lâcher leur salve à intervalle très rapproché, rappelant le bruit d’une machine à coudre et autres tableaux ont tout simplement enchanté le public. Si le vieux Belkacem Zitoun, venu de la localité de Talkhemt, a épaté l’assistance par sa maîtrise et sa légèreté, en dépit de ses 72 printemps, le petit Nedjm-Eddine Amir (6 ans et demi) a carrément ébahi le public par sa façon de manier son arme avec une adresse et une assurance proprement ahurissante. Pour le président de l’association aurésienne de la fantasia et du baroud, coordinatrice de la manifestation, M. Mohamed Ameghchouche, ce concours est "de nature à donner un nouveau souffle à cette activité très ancienne (le baroud) et à encourager les plus jeunes à œuvrer à sa préservation". De son côté, le président de l’association des "Amis d’Imedghassen", M. Azzedine Guerfi, a estimé que ce concours destiné aux gens du baroud "ambitionne surtout de pérenniser cette activité festive, partie intégrante du patrimoine immatériel des Aurès, d’autant qu’elle est toujours accompagnée d’habits traditionnels et de musique du terroir chaoui où dominent la Gasba et le Bendir". Cette manifestation était organisée dans le cadre de la célébration du mois du patrimoine.
                    el moudjahid.
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                    • #11
                      Mois du patrimoine : Sorties archéologiques à Oran

                      Des sorties à la découverte du patrimoine historique et archéologique de la wilaya d’Oran ont été programmées pour cibler les amateurs, a-t-on appris dimanche auprès de l’Office de gestion et d’exploitation des biens culturels protégés (OGEBC) d’Oran.

                      Des sorties à la découverte du patrimoine historique et archéologique de la wilaya d’Oran ont été programmées pour cibler les amateurs, a-t-on appris dimanche auprès de l’Office de gestion et d’exploitation des biens culturels protégés (OGEBC) d’Oran.
                      Faire connaître aux intéressés les sites historiques et archéologiques de la ville, qui représentent un musée à ciel ouvert, est l’objectif principal de cette action organisée par l’annexe d’Oran de l’OGEBC, dans le cadre de la célébration du mois du patrimoine, a ajouté la même source. 
                      Les amateurs de préhistoire auront droit à une visite guidée dans la grotte du Ravin blanc dans la commune d’El- Ançor où l’histoire de ce monument leur sera relatée par des historiens. Cette visite entre dans le cadre d’une journée d’exploration du patrimoine forestier, organisée en collaboration avec la Conservation des forêts.
                      Les visiteurs auront environ 21 km de marche à faire pour explorer une partie du parc forestier d’Oran. Une autre visite guidée "sur les traces de l’eau" sera organisée avec la Société de l’eau et de l’assainissement d’Oran (SEOR) pour prendre connaissance des systèmes de drainage et de captage des eaux des sources dans certaines zones d’Oran.
                      La jetée du port d’Oran, la pêcherie, les remparts de fort Lamoune, les 59 canons espagnols et turcs feront aussi l’objet d’une visite des passionnés du patrimoine historique de cette ville.
                      Une nuitée archéo-astronomique est également programmée au fort de Santa Cruz, avec la participation des Scouts musulmans algériens et l’association d’astronomie "El-Bettani" sera également organisée aux amateurs d’astronomie
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