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Chômage, dette et déficit en France : pourquoi la Suisse ne connaît pas la crise

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  • Chômage, dette et déficit en France : pourquoi la Suisse ne connaît pas la crise

    Ce n'est pas un secret pour personne, la population française est malheureuse et n'ose regarder vers l'avenir. Chômage de masse, dette record, déficit de la balance commerciale sont devenus les mots du quotidien dans les médias et font perdre son crédit à la politique.

    Tous les sondages montrent que les Français n'ont plus confiance en la politique. Pourtant, ce n'est pas la politique qui est un problème, mais la façon dont nos dirigeants la façonne. En effet, nos dirigeants accumulent les dettes avec un État-providence qui ne peut plus rien aujourd'hui.

    Pourtant, nos dirigeants nationaux ne cessent de répéter que la crise économique et financière que nous vivons est mondiale et qu'aucun n'est épargné. Cependant, personne ne parle de la Suisse qui ne connaît pas ce genre de problèmes. La recette du succès s'appelle le libéralisme économique et social.

    Le modèle français rumine un passé révolu

    Le gouvernement français compte 30 ministres (16 ministres et 14 secrétaires d’États) dont l'utilité mérite d'être débattue. Ce problème semble typiquement français puisque en Allemagne, le gouvernement Merkel dénombre 15 membres.

    En Italie, le gouvernement Renzi compte 16 membres. En Suisse, on ne compte que 7 membres gouvernementaux. En Espagne, il n'y a que 13 ministres au sein du gouvernement.

    Le choix de ces pays s'appelle le "smart-power". Un choix de gouvernementaux restreint qui dirigent le pays avec la plus grande efficacité possible.

    En temps de crise, faut-il réellement mobiliser autant au sein d'un gouvernement ? Ce choix n'est que politique. Il a pour d'objectif que de ne pas diviser la gauche et ses sensibilités pour la future échéance présidentielle se tenant en 2017.

    L'État a des prérogatives essentielles

    Cependant, nous savons qu'il y a des missions dans lesquelles notre État est plus qu'indispensable : la justice, la sécurité, la défense, la diplomatie, la lutte contre l'exclusion sociale et la précarité, et l'éducation (qui mérite une grande réforme de profondeur au regard de l'enseignement privé qui fonctionne mieux que le public).

    Quel est l'intérêt d'un ministère de l'Économie qui ne fait que dépenser l'argent public pour financer des projets sans intérêt ou sans résultat d'avenir ? Quel est l'intérêt d'un ministère du Travail qui doit gérer la question du chômage ? Souvenons-nous des propos de L. Jospin qui déclarait qu'on ne pouvait plus rien y faire.

    L’État n'est pas resté sans rien faire au niveau de cette question d'envergure, mais n'est jamais parvenu à trouver la solution. Il faut donc qu'il arrête de s'en occuper et qu'il légifère cette fonction aux entreprises tout en instituant des règles pour éviter les dérives. Cela va de soi.

    La protection sociale de plus en plus contestée

    Le déficit de l'assurance maladie revient à remettre en cause sa nécessité aux yeux de chacun. En Suisse, l'assurance maladie n'est pas publique mais privée et n'accumule pas de déficit. De plus, la qualité des soins est plus que sérieuse et n'a rien à jalouser aux pays voisins.

    Le problème de l'assurance-chômage est souvent débattu. Nous savons tous que son coût est considérable au regard du RSA et de la CMU que j'ose considérer comme des trappes à pauvreté et à assistanat.

    Pourtant, en Suisse, il n'y a pas de protection sociale et le chômage est relativement bas. Là-bas, la perte d'un emploi signifie en retrouver un au plus vite. L'école y forme des jeunes au regard du monde professionnel et avec une instruction tenant compte des réalités économiques.

    Logiquement, les charges sociales du pays connu pour sa neutralité sont relativement faibles tandis qu'elles sont monstrueuses en France.

    La Suisse, un exemple à suivre

    La Suisse est un état décentralisé ou les cantons décident de tout à leur niveau sans atteindre les problèmes des régions et des départements de l'Hexagone connu pour leurs mille-feuilles administratifs. La Suisse ia compris que l'État devait avoir une influence plus que limitée. C'est la population Suisse qui décide par la voie des référendums et des initiatives dites populaires.

    Même si la Suisse est un exemple à suivre, nous savons qu'il est imparfait au regard d'un impôt sur le revenu très élevé. Pourtant, le pays ne connaît ni la contribution sociale généralisée, ni l'impôt sur les plus-values immobilières, ni une TVA forte.

    En Suisse, il y a une véritable envie de travail. Les entrepreneurs sont encouragés et la compétitivité est forte. Nos dirigeants français devraient s'en adapter au lieu de rendre l’État toujours plus paternaliste.

    Le libéralisme est la solution

    La Suisse va bien. La France va mal. Pourquoi ? Parce que l'un est libéral et que l'autre est socialiste à forte tendance marxiste. Le problème du modèle Français ne fait que prouver toujours un peu plus que cette idéologie de gauche ne fait que ruminer un passé révolu.

    Il faut libérer l'école, encourager l'embauche et l'entrepreneuriat et arrêter de contraindre toujours un peu plus les populations et les entreprises. Ce n'est pas avec les réformes de simplification que notre modèle changera. Le changement sera plus profond et se fera avec des dirigeants courageux ayant une ambition structurelle pour la France.

    Ce n'est pas parce que la Suisse est un pays que cela marche, mais plutôt parce qu'il y a une vraie culture du travail et un pouvoir de décision local qui permet aux citoyens de vivre comme ils l'entendent : plus librement avec moins d’État pour dicter le comportement à adopter qui devra se normaliser.

    "Le socialisme, c’est la philosophie de l’échec, le credo des ignares et le prêche des envieux, sa mission est de distribuer la misère de manière égalitaire pour le peuple" disait Churchill.

    Les socialismes doivent plus que jamais regarder ailleurs et se rendre compte qu'ils sont les responsables de l'échec du modèle français. C'est par cette prise de conscience que la France pourra changer de direction, celle du libéralisme. Qui osera ? Qui en aura le courage ?


    le nouvel obs

  • #2
    pourquoi la Suisse ne connaît pas la crise

    Pour un nouvel observateur c'est vraiment un nouveau il doit venir de mars

    Commentaire


    • #3
      Tiens tiens ! Pourtant les journalistes du L'Obs, journal des bobos et de la gauche bien pensante, se sont toujours fait les chantres de cette idéologie socialo marxiste pour attardés mentaux qui nous a foutu dans la m... aujourd'hui
      Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
      Mahomet

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      • #4
        La suisse à su tirer profit des bonnes années en ponctionnant ici et là des commissions sur l'argent sale qui y est déposé...

        Pas de miracle qui ne tiennent, ne vous fiez pas aux apparences, les suisses ne sont que des fermiers, chocolatier qui bricolent des montres pendant leurs heures perdu pas de quoi détrôner logiquement une nation qui fabrique tout ce qu'on peux trouver sur terre...

        VIVE L'ARGENT SALE, VIVE LA SUISSE c'est la vérité que tant bien que mal tout le monde essaye de minimiser

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