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En Corée du Sud, la chirurgie esthétique fait trembler les mœurs ! En effet, le pays est le numéro un sur le marché du bistouri ! Ces jeunes femmes ont tellement usé et abusé de la chirurgie plastique qu’elles ont du mal à rentrer chez elles ! Et pour cause … on ne les reconnait plus sur leur passeport.
Des millions pour un visage tout « neuf »
La Corée du Sud est leader en terme de chirurgie, elle possède un taux de 74 actes esthétiques pour 10 000 habitants, soit le double des Etats Unis et elle dépasse même le Brésil. Des enquêtes sérieuses estiment qu’une sud-coréenne sur trois a déjà eu recours à la chirurgie. Il faut dire que dans ce pays, la chirurgie est peu coûteuse et de qualité, on croirait à un boom populaire !
Certaines femmes n’hésitent pas à dépenser des millions pour ressembler à Barbie comme la célèbre Valeria Lukyanova, grâce à elle le monde à aujourd’hui sa propre poupée humaine chouette … ou encore à leur animal préféré comme Jocelyn Wildenstein.
D’autres ont des désirs plus « softs », elles souhaitent juste être plus « jolie », avoir de grands yeux et des pommettes seyantes et des seins gros comme des pastèques, cela même s’il leur faut quelques piquouses de Botox !
Des conséquences gênantes
Ces opérations coûteuses se relèvent parfois gênantes. En effet, ces femmes ont été tellement retouchées à coup de bistouris, scalpels et autres instruments qu’elles ne ressemblent plus du tout à la photo de leur passeport ou leur carte d’identité ! Il est alors difficile de passer le poste de contrôle à l’aéroport pour rentrer chez soi sans se faire remarquer !
En 2009, après leur opération « mission : transformation totale de mon visage », plus de 23 chinoises ont eu des problèmes pour rentrer chez elles !
Le certificat de chirurgie plastique
Pour remédier à ce problème fréquent, les hôpitaux et cliniques délivrent en Corée du Sud des « certificats de chirurgie plastique » pour faciliter le passage de leurs patients étrangers dans les lieux contrôlés par les autorités et ainsi qu’ils puissent rentrer chez eux avec leur nouvelle tête !
Ce certificat informe sur le numéro du passeport du patient, le nom de l’hôpital où a eu lieu l’intervention chirurgicale et la durée de son séjour en Corée du Sud. Très utile pour retourner chez soi !
Des millions pour un visage tout « neuf »
La Corée du Sud est leader en terme de chirurgie, elle possède un taux de 74 actes esthétiques pour 10 000 habitants, soit le double des Etats Unis et elle dépasse même le Brésil. Des enquêtes sérieuses estiment qu’une sud-coréenne sur trois a déjà eu recours à la chirurgie. Il faut dire que dans ce pays, la chirurgie est peu coûteuse et de qualité, on croirait à un boom populaire !
Certaines femmes n’hésitent pas à dépenser des millions pour ressembler à Barbie comme la célèbre Valeria Lukyanova, grâce à elle le monde à aujourd’hui sa propre poupée humaine chouette … ou encore à leur animal préféré comme Jocelyn Wildenstein.
D’autres ont des désirs plus « softs », elles souhaitent juste être plus « jolie », avoir de grands yeux et des pommettes seyantes et des seins gros comme des pastèques, cela même s’il leur faut quelques piquouses de Botox !
Des conséquences gênantes
Ces opérations coûteuses se relèvent parfois gênantes. En effet, ces femmes ont été tellement retouchées à coup de bistouris, scalpels et autres instruments qu’elles ne ressemblent plus du tout à la photo de leur passeport ou leur carte d’identité ! Il est alors difficile de passer le poste de contrôle à l’aéroport pour rentrer chez soi sans se faire remarquer !
En 2009, après leur opération « mission : transformation totale de mon visage », plus de 23 chinoises ont eu des problèmes pour rentrer chez elles !
Le certificat de chirurgie plastique
Pour remédier à ce problème fréquent, les hôpitaux et cliniques délivrent en Corée du Sud des « certificats de chirurgie plastique » pour faciliter le passage de leurs patients étrangers dans les lieux contrôlés par les autorités et ainsi qu’ils puissent rentrer chez eux avec leur nouvelle tête !
Ce certificat informe sur le numéro du passeport du patient, le nom de l’hôpital où a eu lieu l’intervention chirurgicale et la durée de son séjour en Corée du Sud. Très utile pour retourner chez soi !