le maroc fonce sur l'endettement pour financer son développement et donc la création de richesse mais ça pourrait l'enfoncer si les beaux jours tardent à venir
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Le Maroc, champion du financement international
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Le Maroc, champion du financement international
le maroc fonce sur l'endettement pour financer son développement et donc la création de richesse mais ça pourrait l'enfoncer si les beaux jours tardent à venir8Oui12,50%1Non37,50%3Oui, Il n'a pas le choix50,00%4je ne sait pas0,00%0Tags: Aucun(e)
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le maroc fonce sur l'endettement pour financer son développement et donc la création de richesse mais ça pourrait l'enfoncer si les beaux jours tardent à venir
le Maroc s'enfonce dans l'endettement et l'Algérie gaspille ses pétrodollars, pour des taux de croissance très moyens.
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C'est assez stupéfiant d'écouter le commentateur marocain dans la vidéo crier de fierté le fait que le Maroc s'endette massivement comme si s'endetter était en soi un exploit digne de fierté nationale!
Le commentateur oublie de préciser que la dette publique du Maroc représente environ 77% du PIB marocain, ce qui classe le Maroc au 31e rang des pays les plus endettés du monde (par rapport au PIB). Et ces dettes coûtent cher puisque le Maroc paie des intérêts assez élevés sur ces dettes.
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C'est assez stupéfiant d'écouter le commentateur marocain dans la vidéo crier de fierté le fait que le Maroc s'endette massivement comme si s'endetter était en soi un exploit digne de fierté nationale!
Perso , je ne suis pas trop pour l'endettement , mais je crois que le Maroc n'a pas le choix ." Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm
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Ça dépend de ce que l'ont fait de cette dette , si c'est pour payer la sécurité sociale comme en France ou construire des pyramides , c'est courir a sa perte
Maintenant si c'est pour des projets concrets , why not ?
Le projet de parc solaire par ex va réduire la facture énergétique du royaume ,donc moins d'importation et moins de deficit commercial
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Envoyé par Cellavoir accès au crédit est devenu effectivement très difficile
Autrement, biensûr que c'est important pour un pays de s'endetter pour se développer. Il est aussi important que cet endettement soit raisonnable et bénéfique pour l'avenir du pays.
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Pas si difficile que cela au niveau d'un pays. A moins d'être un pays extrêmement instable, il est généralement peu difficile d'emprunter de l'argent, sachant que les prêteurs encaissent des intérêts plus ou moins importants. Dans le cas du Maroc, les intérêts payés sont assez élevés vu la médiocre notation financière du Maroc (BBB- chez S&P).
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rodmaroc,
Premièrement l'usure est "haram" chez les musulmans surtout que votre roi prétend être "amir el mouminin" oeilfermé
Deuxièmement, la fortune colossale volé par tes rois au peuple Marocain doit être au moins investi pour développer le pays
Enfin, ton roi doit interdire la culture de "lahchicha" et la remplacer par une chose plus nourissante
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Théoriquement et dans la pratique l'Etat , pour financer ses projets ou par manque de liquidité il a recours à deux modes de financement , soit on a des fonds propres suffisants , soit on a recours aux emprunts qui sont d'ordre interne et à l'international
Pour le financement international le pays doit jouir d'une bonne image et capable de rembourser ses dettes et là interviennent les agences de notation qui guident les investisseurs internationaux sur le degré du risque encouru par le pays , ce qui est détermine les taux d’intérêt à appliquer
Pour le cas du Maroc c'est un pays qui finance la majorité de ses projets de développement par le recours à l'endettement , toutefois pour les investissements structurants( ports , aéroports ,auto-routes ,centrales énergétiques,usines,,,,,,,,,,) il est exigé de présenter aux bailleurs de fonds un business plan et de démonter la rentabilité y afférente , par contre pour boucher les trous de déficit budgétaire on n'a pas besoin et les taux sont plus élevés comparativement aux financements des projetsDernière modification par haddou, 26 avril 2014, 12h06.
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CNE
c'est l'économie qui créé le besoin en infrastructure et le finance. le contraire n'est pas garanti, c'est ce que nos gouvernements ne veulent pas comprendre. investir en infrastructure créé de la richesse, mais c'est loin d'être suffisant. c'est trompeur
le Maroc s'enfonce dans l'endettement et l'Algérie gaspille ses pétrodollars, pour des taux de croissance très moyens.
Nous garder en laisse en attendant que le "nouvel ordre mondiale" se mette en place...
Nous sommes trop "pauvre et trop con" pour nous émanciper totalement mais nous avons chacun de notre côté assez d'argent et de population pour être consommateur de leur produit
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Une domination d'un autre genre
Et dire que les arabes ont la mémoire courte. On dirait que l'histoire se répète:
La Martiniere avait décrit le comportement du Maroc au 19eme siècle:
Car Sidi Martin'i, comme l'appellent les indigènes, ne se contente pas de faire des fouilles. Ni d'étudier les vestiges de la domination romaine, particulièrement les grandes ruines de Volubilis, une petite ville au nord de Meknès. «J'ai observé de très près la diplomatie européenne et vraiment, ce que j'ai vu ne m'en a pas donné une bien haute idée, déplore-t-il. J'ai trouvé dans toutes les légations, des ministres ne sachant pas un mot d'arabe et ignorant des choses du pays où ils se trouvent. C'est grâce à cette mauvaise diplomatie que les chrétiens ne sont en sûreté au Maroc que sur les côtes, et que pas un ne peut s'établir sans risque dans l'intérieur du pays.»
Et pour cause. Véritable fléau, la corruption des fonctionnaires suscite de nombreuses révoltes. Grande-Bretagne, Espagne, et particulièrement France et Allemagne se livrent à une concurrence acharnée pour s'approprier le pays. Ces rivalités fragiliseront encore plus la situation en dépit des tentatives de Moulay Hassan de moderniser le royaume et de profiter des querelles des Européens pour retarder la colonisation.
«Mais cette modernisation coûte cher. Le Maroc, à l'instar de la régence de Tunis ou de l'Egypte, est tombé dans le piège de l'endettement, poussé par les financiers français. Les sultans ont dû augmenter la pression fiscale. Les tribus renâclent à payer un impôt croissant et l'anarchie s'est réinstallée dans le pays», résume aujourd'hui Pierre Vermeren (1). Une situation qui précipitera l'avènement du protectorat français, le 30 mars 1912, au terme de plus d'une décennie d'encerclement militaire et diplomatique.[Dernière modification par nacera90, 26 avril 2014, 13h20.
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