la question se pose, comment avec un salaire algérien, un politicien algérien a-t-il put acquerir des appartements à Paris. Ceci est d'autant plus grave que le FLN avait prit des position dur envers la France. N'est que de la poudre aux yeux pour détourner le regard du peuple. Ou bien préparent-ils leur départ au cas ou ça chauffe, comme l'a fait CHakib Khalil.
Ainsi, le site Algériepatriotique vient de publier les adresses et la valeur des deux appartements, achetés par le n°1 du parti, dans les quartiers huppés de la capitale française. Le premier, «situé au 15, boulevard Victor Hugo, à Neuilly-sur-Seine, est d’une superficie de plus de 100 m2». La valeur de cette luxueuse résidence «avoisine les 2 millions d’euros», écrit le site, en précisant qu’il «suffit d’accéder aux sites spécialisés dans le prix de l’immobilier en France pour connaître le prix du mètre carré par quartier ; les tarifs appliqués dans cette banlieue chic de Paris atteignent allègrement les 15 000 euros. Le calcul est simple».
Le deuxième appartement dont dispose Amar Saadani se trouve, selon ******************, «non loin du quartier de la Défense, au 36, Résidence Belle Rive. Il a dû coûter entre 800 000 et un million d’euros».
En fait, les deux biens de Saadani en France totalisent «les 3 millions d’euros et pour gérer sa fortune, le voisin de Nicolas Sarkozy et Carla Bruni a recours à un homme d’affaires algérien – dont nous tairons le nom pour l’instant – qui se trouve être son pourvoyeur de fonds».
Par ailleurs, le journal électronique souligne que «la simple notification» de la mise en demeure adressée par le bureau d’avocats parisien constitué par Saadani pour supprimer du site un article le concernant «et vraisemblablement au journaliste français Nicolas Beau, nécessite le paiement d’environ 14 000 euros. Cette somme faramineuse ne couvre que les honoraires relatifs à l’ouverture du dossier. L’affaire, si elle devait être introduite en justice, pourrait obliger le plaignant à débourser jusqu’à 50 000 euros».
Des montants qui suscitent chez le rédacteur du site des interrogations, dont la suivante : pourquoi Amar Saadani serait-il prêt à payer autant s’il n’avait rien à se reprocher ? Il n’est pas malaisé de comprendre que si le secrétaire général du FLN – dont la résidence fait face à la Seine où d’authentiques militants du FLN révolutionnaire ont été jetés par Maurice Papon un certain 17 Octobre 1961 – a pu se payer deux somptueux appartements à Paris, «c’est qu’il dispose en parallèle de moyens de subsistance énormes». Il a rappelé le scandale de la Générale des concessions agricoles (GCA) où «le nom d’Amar Saadani est intimement lié» et «qui lui a valu d’ailleurs une interdiction de sortie du territoire national en 2008», et ce, après avoir refusé de répondre à la convocation du tribunal de Djelfa en juin 2007.
Elwatan
Le deuxième appartement dont dispose Amar Saadani se trouve, selon ******************, «non loin du quartier de la Défense, au 36, Résidence Belle Rive. Il a dû coûter entre 800 000 et un million d’euros».
En fait, les deux biens de Saadani en France totalisent «les 3 millions d’euros et pour gérer sa fortune, le voisin de Nicolas Sarkozy et Carla Bruni a recours à un homme d’affaires algérien – dont nous tairons le nom pour l’instant – qui se trouve être son pourvoyeur de fonds».
Par ailleurs, le journal électronique souligne que «la simple notification» de la mise en demeure adressée par le bureau d’avocats parisien constitué par Saadani pour supprimer du site un article le concernant «et vraisemblablement au journaliste français Nicolas Beau, nécessite le paiement d’environ 14 000 euros. Cette somme faramineuse ne couvre que les honoraires relatifs à l’ouverture du dossier. L’affaire, si elle devait être introduite en justice, pourrait obliger le plaignant à débourser jusqu’à 50 000 euros».
Des montants qui suscitent chez le rédacteur du site des interrogations, dont la suivante : pourquoi Amar Saadani serait-il prêt à payer autant s’il n’avait rien à se reprocher ? Il n’est pas malaisé de comprendre que si le secrétaire général du FLN – dont la résidence fait face à la Seine où d’authentiques militants du FLN révolutionnaire ont été jetés par Maurice Papon un certain 17 Octobre 1961 – a pu se payer deux somptueux appartements à Paris, «c’est qu’il dispose en parallèle de moyens de subsistance énormes». Il a rappelé le scandale de la Générale des concessions agricoles (GCA) où «le nom d’Amar Saadani est intimement lié» et «qui lui a valu d’ailleurs une interdiction de sortie du territoire national en 2008», et ce, après avoir refusé de répondre à la convocation du tribunal de Djelfa en juin 2007.
Elwatan
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