Le bras de fer engagé, le 08 avril courant entre la Sarl 2SP, en charge de la sécurité des installations et ses agents de sécurité se poursuit encore et risque même de virer au pourrissement.
Des agents grévistes, rencontrés ce samedi devant l’entrée principale du pôle hydrocarbures de Skikda se disent prêts « à poursuivre la lutte pour l’obtention de nos droits » et menacent même d’observer une grève de la faim, lundi prochain.
Cette situation fait que plusieurs installations pétrochimiques comme le complexe GNL, la Raffinerie, le Topping-Condensat, Polymed, STH et d’autres installations ne disposent aujourd’hui pas d’agents de sécurité.
« Depuis le 14 avril, on a refusé de garantir la relève des agents de quart. Aujourd’hui, plusieurs de nos collègues sont encore à leurs postes de travail depuis 12 jours déjà. Certains, 32 exactement, ont même été pris de malaise et évacués vers l’hôpital » explique un des représentants des travailleurs.
Au sujet de leurs doléances, les travailleurs exigent de bénéficier des mêmes avantages que leurs collègues travaillant pour Sonatrach« nous trouvons inconcevable qu’un agent 2SP soit payé beaucoup moins qu’un agent de sécurité Sonatrach alors que nous accomplissons pratiquement les même tâches » rajoute le délégué.
Khider Ouahab
el watan
Des agents grévistes, rencontrés ce samedi devant l’entrée principale du pôle hydrocarbures de Skikda se disent prêts « à poursuivre la lutte pour l’obtention de nos droits » et menacent même d’observer une grève de la faim, lundi prochain.
Cette situation fait que plusieurs installations pétrochimiques comme le complexe GNL, la Raffinerie, le Topping-Condensat, Polymed, STH et d’autres installations ne disposent aujourd’hui pas d’agents de sécurité.
« Depuis le 14 avril, on a refusé de garantir la relève des agents de quart. Aujourd’hui, plusieurs de nos collègues sont encore à leurs postes de travail depuis 12 jours déjà. Certains, 32 exactement, ont même été pris de malaise et évacués vers l’hôpital » explique un des représentants des travailleurs.
Au sujet de leurs doléances, les travailleurs exigent de bénéficier des mêmes avantages que leurs collègues travaillant pour Sonatrach« nous trouvons inconcevable qu’un agent 2SP soit payé beaucoup moins qu’un agent de sécurité Sonatrach alors que nous accomplissons pratiquement les même tâches » rajoute le délégué.
Khider Ouahab
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