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Abdelmalek Sellal reprendra son poste de Premier ministre, après l’avoir laissé temporairement à Youcef Yousfi, a appris TSA d’une source bien informée : « C’est sûr, Abdelmalek Sellal sera reconduit comme Premier ministre », affirme notre source. La reconduction de M. Sellal pourrait intervenir très rapidement.
Le président Bouteflika rencontrera Youcef Yousfi après la cérémonie de prestation de serment, qui aura lieu ce lundi 28 avril et qui lui remettra la démission de son gouvernement. Il nommera dans la foulée Abdelmalek Sellal qui préserve ainsi son poste malgré les critiques de l’opposition et la colère qu’ont provoquée certaines de ses déclarations avant la campagne électorale.
La composition du « nouveau » gouvernement, qui sera dévoilée très prochainement, ne devrait pas connaitre de grands changements, selon la même source. « L’actuelle coalition gouvernementale sera maintenue. Il est quasiment impossible d’avancer des noms actuellement, mais ce qui est sûr, c’est que le prochain exécutif sera constitué par les mêmes formations politiques qui soutiennent le président, FLN, RND, MPA, TAJ, avec peut-être l’entrée de quelques formations microscopiques qui ont eu un rôle durant la campagne électorale », ajoute notre source.
L’opposition n’a nullement l’intention le rejoindre l’équipe Sellal. Ces dernières semaines, des spéculations ont fait état de l’intérêt du PT, dont la candidate Louisa Hanoune a ménagé le pouvoir et le président Bouteflika durant la campagne électorale. Contacté, Ramdan Taâzibt, cadre et député du PT, affirme que sa formation n’est pas intéressée par des postes dans le prochain gouvernement. « Nous n’avons même pas discuté de cette éventualité. Au PT, nous avons une position de principe : ceux qui gouvernent sont ceux qui ont la majorité et le suffrage du peuple. Ce n’est pas le cas pour le PT actuellement ». Mais l’idée de prendre part à un gouvernement sous le règne de Bouteflika n’est pas tout à fait rejetée par le PT : « Nous sommes en train de nous préparer pour des élections législatives anticipées. Si nous obtenons une majorité, même relative, nous pourrions dans ce cas faire partie d’un gouvernement », souligne M. Taâzibt.
Dès son installation, le gouvernement se penchera sur plusieurs dossiers. Le plus important concerne la révision de la Constitution. Cette dernière devrait intervenir, selon le secrétaire général du FLN Amar Saâdani, à la rentrée.
TSA - Tout sur l'Algérie
Le président Bouteflika rencontrera Youcef Yousfi après la cérémonie de prestation de serment, qui aura lieu ce lundi 28 avril et qui lui remettra la démission de son gouvernement. Il nommera dans la foulée Abdelmalek Sellal qui préserve ainsi son poste malgré les critiques de l’opposition et la colère qu’ont provoquée certaines de ses déclarations avant la campagne électorale.
La composition du « nouveau » gouvernement, qui sera dévoilée très prochainement, ne devrait pas connaitre de grands changements, selon la même source. « L’actuelle coalition gouvernementale sera maintenue. Il est quasiment impossible d’avancer des noms actuellement, mais ce qui est sûr, c’est que le prochain exécutif sera constitué par les mêmes formations politiques qui soutiennent le président, FLN, RND, MPA, TAJ, avec peut-être l’entrée de quelques formations microscopiques qui ont eu un rôle durant la campagne électorale », ajoute notre source.
L’opposition n’a nullement l’intention le rejoindre l’équipe Sellal. Ces dernières semaines, des spéculations ont fait état de l’intérêt du PT, dont la candidate Louisa Hanoune a ménagé le pouvoir et le président Bouteflika durant la campagne électorale. Contacté, Ramdan Taâzibt, cadre et député du PT, affirme que sa formation n’est pas intéressée par des postes dans le prochain gouvernement. « Nous n’avons même pas discuté de cette éventualité. Au PT, nous avons une position de principe : ceux qui gouvernent sont ceux qui ont la majorité et le suffrage du peuple. Ce n’est pas le cas pour le PT actuellement ». Mais l’idée de prendre part à un gouvernement sous le règne de Bouteflika n’est pas tout à fait rejetée par le PT : « Nous sommes en train de nous préparer pour des élections législatives anticipées. Si nous obtenons une majorité, même relative, nous pourrions dans ce cas faire partie d’un gouvernement », souligne M. Taâzibt.
Dès son installation, le gouvernement se penchera sur plusieurs dossiers. Le plus important concerne la révision de la Constitution. Cette dernière devrait intervenir, selon le secrétaire général du FLN Amar Saâdani, à la rentrée.
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