Les topics sur le soufisme m'ont inspiré de créer celui ci afin de rassembler des sagesses de ce savant.
- S'Il n'avait la bienveillance de cacher tes fautes, nulle de tes actions ne serait digne d'être agréée.
- Toi, lorsque tu Lui obéis, tu as plus besoin de Son indulgence que lorsque tu Lui désobéis.
- La protection divine est de deux sortes : protection de l'homme contre la désobéissance, et protection de l'homme dans la désobéissance. Les gens du commun demandent à Dieu de cacher leur désobéissance par crainte de voir tomber leur rang aux yeux des créatures. Les gens de l'élite demandent à Dieu de les préserver de la désobéissance par crainte de perdre l'estime du Roi (Allah).
- Quiconque t'honore n'honore en toi que la bienveillance de Celui qui t'a protégé. Ta reconnaissance est due à ce Protecteur et non pas à celui qui t'honore et te loue.
- N'est ton véritable compagnon que celui qui te fréquente tout en connaissant tes défauts. Seul est ainsi ton Maître généreux. Le meilleur des compagnons est celui qui te recherche sans attendre de toi un profit.
- Les gens te loueront des qualités qu'ils supposent en toi ; mais toi, blâme-toi des défauts que tu sais posséder.
- Le croyant, lorsqu'on le loue, est confus devant Dieu d'être loué pour une qualité qu'il constate ne pas posséder.
- Il n'y a pire ignorant que celui qui abandonne la certitude qu'il a de ses défauts pour admettre l'existence des qualités que les gens lui supposent.
- Les renonçant (zâhidun) lorsqu'ils sont loués ont le coeur serré parce qu'ils constatent que cet éloge émane des créatures. Les connaissants (ârifun) lorsqu'ils sont loués se réjouissent parce qu'ils voient que cet éloge leur vient du Roi (Allah).
- Si toutes les fois que tu reçois, ton coeur s'épanouit, et que, lorsque tu essuies un refus, il se serre, vois-y la preuve de ton immaturité et de ton manque de sincérité dans ton service envers Dieu.
- S'Il n'avait la bienveillance de cacher tes fautes, nulle de tes actions ne serait digne d'être agréée.
- Toi, lorsque tu Lui obéis, tu as plus besoin de Son indulgence que lorsque tu Lui désobéis.
- La protection divine est de deux sortes : protection de l'homme contre la désobéissance, et protection de l'homme dans la désobéissance. Les gens du commun demandent à Dieu de cacher leur désobéissance par crainte de voir tomber leur rang aux yeux des créatures. Les gens de l'élite demandent à Dieu de les préserver de la désobéissance par crainte de perdre l'estime du Roi (Allah).
- Quiconque t'honore n'honore en toi que la bienveillance de Celui qui t'a protégé. Ta reconnaissance est due à ce Protecteur et non pas à celui qui t'honore et te loue.
- N'est ton véritable compagnon que celui qui te fréquente tout en connaissant tes défauts. Seul est ainsi ton Maître généreux. Le meilleur des compagnons est celui qui te recherche sans attendre de toi un profit.
- Les gens te loueront des qualités qu'ils supposent en toi ; mais toi, blâme-toi des défauts que tu sais posséder.
- Le croyant, lorsqu'on le loue, est confus devant Dieu d'être loué pour une qualité qu'il constate ne pas posséder.
- Il n'y a pire ignorant que celui qui abandonne la certitude qu'il a de ses défauts pour admettre l'existence des qualités que les gens lui supposent.
- Les renonçant (zâhidun) lorsqu'ils sont loués ont le coeur serré parce qu'ils constatent que cet éloge émane des créatures. Les connaissants (ârifun) lorsqu'ils sont loués se réjouissent parce qu'ils voient que cet éloge leur vient du Roi (Allah).
- Si toutes les fois que tu reçois, ton coeur s'épanouit, et que, lorsque tu essuies un refus, il se serre, vois-y la preuve de ton immaturité et de ton manque de sincérité dans ton service envers Dieu.
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