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S’affranchir est le plus difficile des choix

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  • S’affranchir est le plus difficile des choix

    Hier, il faisait nuit, il pleuvait et lui était encore là.
    Je l’ai nié, mépriser, mais il préférait rester chez moi.
    À vrai dire, il m’aime beaucoup ce type là.
    Rompant le silence, il m’a dit hé toi, secoue toi.

    Bon sang qu’est ce qu’il me veut celui-là.
    Le fatalisme n’a jamais était une loi.
    Me rétorquant dans un grand tralala.
    Étourdi par sa voix, tout mon être était en émoi.

    Alors j’ai pris mon courage en main, une fois que j’étais à plat.
    Et j’ai sauté du toit, en rompant avec mon ancienne foi.
    Étouffé par l’au-delà et meurtri par le désarroi, j’ai pensé à Attila.
    Attila est mort, moi j’ai survécu, le type qui m’as sauvé s’appelait le Choix !


    Bonne soirée
    Le bonheur n’est pas cher, mais sa contre façon coûte très cher.

  • #2
    Contente pour toi...
    Ravi que ton choix ne t'es pas percé les parois
    Et est mis tes sens aux abois
    Oui ! Je te le concède s'affranchir est le plus difficile des choix

    Mais selon quelles lois?





    JOLI , j'apprécie l'affranchi!

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    • #3
      S’affranchir est le plus difficile des choix

      faucon voyageur


      Alors toi
      tu ne m'est pas les pieds dans le plat
      Une bien venue Ici tu es chez toi
      bien sure sans tombé du toit ....
      Continue comme ça
      on aimera



      Merci a toi pour ce petit délire réussis...

      Commentaire


      • #4
        Merci à vous rihame et néo

        Je me suis toujours posé cette question qu’est ce que nous gagnons à restreindre nos pensées par des lois, se réveillé toujours le matin sous le même toit ?
        Je peux vous dire mes ami(e)s, que nous gagnerons rien, si ce n’est le mépris et le déni de soi même. Oui, nous la vivons au quotidien, la plupart du temps contrariés, cette incapacité d’être soi même. Pire encore nous la trimbalons sciemment dans le sillage du fatalisme, au non de je ne sais plus quelle divinité

        Pour répondre à ta question chère Rihame, je peux te dire que dans ma quête d'affranchissement , je n'avais pas besoin de lois, ni de foi d'ailleurs. j'étais obligé de choisir , mon choix était le verbe Penser. Différemment j'ai pensé, je suis encore vivant et plus que jamais épanouis. J'ai compris que l’échec et la douleur n’existent qu'au regards de nos attentes.Une pensée n’a pas de substance réelle, comme tous les phénomènes, elle résulte d’un ensemble de causes et de conditions. Elle est comme un nuage qui passe dans le ciel.
        Mon nuage à moi était cette imaginaire populaire, source de tous mes angoisses et tracasseries, en découdre avec relevait de l'impossible et pourtant je l'ai fais.
        Etat des lieux; le nuage s'est évaporé , le ciel est resté, moi aussi.Comme au temps des commencements où il n y avait qu'un seul toit, celui de l'humanité
        Nos pensées n'ont que le pouvoir que nous leur accordons,That's it, that’s all.
        A bon entendeur.
        Le bonheur n’est pas cher, mais sa contre façon coûte très cher.

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