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L’Algérie est reléguée à la 109e place dans le classement mondial des pays en termes de performance et potentiel d’investissements directs étrangers (IDE) durant la période 1990-2005. C’est ce qui ressort du dernier rapport mondial sur l’investissement 2006 élaboré par la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced). L’Organisation onusienne a classé l’Algérie à la 102e place mondiale en termes d’investissements directs étrangers sortant en 2005. L’Algérie se positionne, par ailleurs, à la 65e place mondiale en matière de potentiel d’IDE durant la période 1990-2005.
Le flux d’investissements directs étrangers hors hydrocarbures vers l’Algérie atteint plus de 1 milliard de dollars en 2005 contre 882 millions de dollars en 2004. Le volume d’IDE sortants est fixé à 23 millions de dollars en 2005 contre 258 millions de dollars en 2004. Le Maroc a enregistré un flux de plus de 2,9 milliards de dollars d’IDE et 174 millions de dollars d’IDE sortants en 2005.
Concernant les opérations de fusion et acquisitions d’entreprises algériennes, la Cnuced a relevé que “l’Algérie a enregistré un flux de 25 millions de dollars en 2004 contre 1,5 milliard de dollars au Maroc”. L’Algérie se trouve, ajoutent ces experts, à la 6e place en Afrique après l’Afrique du Sud, le Maroc, le Soudan, la Guinée équatoriale et la République démocratique du Congo en termes de flux d’investissements directs étrangers en 2005.
Le rapport de la Cnuced a précisé que “86% des investissements directs étrangers destinés à l’Afrique sont concentrés entre 10 pays africains dont l’Afrique du Sud, le Maroc, le Nigeria, la Tunisie, l’Algérie, le Soudan et la République démocratique du Congo”. La plupart de ces investissements, soit 48%, sont concentrés notamment dans les pays producteurs du gaz naturel et pétrole tels que l’Algérie, le Tchad, l’Égypte, le Nigeria, la Guinée équatoriale et le Soudan, expliquent ces experts.
Les Émirats arabes unis ont reçu plus de 12,8 milliards de dollars d’IDE et investi 6,7 milliards de dollars à l’étranger en 2005. Il y a lieu de noter que le classement établi par la Cnuced couvre 141 pays dans le monde, suivant un référentiel particulier qui comprend principalement l’indice de la performance du pays dans les IDE, son potentiel existant en termes d’investissement étranger. L’indice de la performance est basé, précisent ces experts, sur la part du pays dans le volume global des IDE et le produit national brut.
source : liberté
Le flux d’investissements directs étrangers hors hydrocarbures vers l’Algérie atteint plus de 1 milliard de dollars en 2005 contre 882 millions de dollars en 2004. Le volume d’IDE sortants est fixé à 23 millions de dollars en 2005 contre 258 millions de dollars en 2004. Le Maroc a enregistré un flux de plus de 2,9 milliards de dollars d’IDE et 174 millions de dollars d’IDE sortants en 2005.
Concernant les opérations de fusion et acquisitions d’entreprises algériennes, la Cnuced a relevé que “l’Algérie a enregistré un flux de 25 millions de dollars en 2004 contre 1,5 milliard de dollars au Maroc”. L’Algérie se trouve, ajoutent ces experts, à la 6e place en Afrique après l’Afrique du Sud, le Maroc, le Soudan, la Guinée équatoriale et la République démocratique du Congo en termes de flux d’investissements directs étrangers en 2005.
Le rapport de la Cnuced a précisé que “86% des investissements directs étrangers destinés à l’Afrique sont concentrés entre 10 pays africains dont l’Afrique du Sud, le Maroc, le Nigeria, la Tunisie, l’Algérie, le Soudan et la République démocratique du Congo”. La plupart de ces investissements, soit 48%, sont concentrés notamment dans les pays producteurs du gaz naturel et pétrole tels que l’Algérie, le Tchad, l’Égypte, le Nigeria, la Guinée équatoriale et le Soudan, expliquent ces experts.
Les Émirats arabes unis ont reçu plus de 12,8 milliards de dollars d’IDE et investi 6,7 milliards de dollars à l’étranger en 2005. Il y a lieu de noter que le classement établi par la Cnuced couvre 141 pays dans le monde, suivant un référentiel particulier qui comprend principalement l’indice de la performance du pays dans les IDE, son potentiel existant en termes d’investissement étranger. L’indice de la performance est basé, précisent ces experts, sur la part du pays dans le volume global des IDE et le produit national brut.
source : liberté
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