par RFI
Amira Bouraoui interpellée par un policier en civil, lors d'une manifestation de Barakat («assez»), le 16 avril 2014, à la veille de l'élection présidentielle. REUTERS/Louafi Larbi
En Algérie, le mouvement Barakat - qui s'était opposé à la quatrième candidature d'Abdelaziz Bouteflika - a demandé ce mardi 29 avril au Conseil constitutionnel d'appliquer l'article 88 de la Constitution, qui prévoit l'enclenchement d'une procédure d'empêchement en cas de maladie grave du président. Une délégation a tenté de se rendre au Conseil ce mardi, en vain.
Le mouvement d'opposition a tenté, ce mardi, de déposer une demande au Conseil constitutionnel, mais faute de rendez-vous, la lettre a finalement été envoyée par la poste.
Ce n'est pas la première fois que Barakat réclame l'application de l'article 88, mais c'est la première que le mouvement saisi officiellement le Conseil constitutionnel. Ce qui a motivé les militants de Barakat, ce sont les images de la prestation de serment du chef de l'Etat lundi matin. Amira Bouraoui, membre de la délégation de Barakat, qui s'est rendue ce mardi au Conseil constitutionnel, revient sur l'élection contestée d'Abdelaziz Bouteflika.
Amira Bouraoui interpellée par un policier en civil, lors d'une manifestation de Barakat («assez»), le 16 avril 2014, à la veille de l'élection présidentielle. REUTERS/Louafi Larbi
En Algérie, le mouvement Barakat - qui s'était opposé à la quatrième candidature d'Abdelaziz Bouteflika - a demandé ce mardi 29 avril au Conseil constitutionnel d'appliquer l'article 88 de la Constitution, qui prévoit l'enclenchement d'une procédure d'empêchement en cas de maladie grave du président. Une délégation a tenté de se rendre au Conseil ce mardi, en vain.
Le mouvement d'opposition a tenté, ce mardi, de déposer une demande au Conseil constitutionnel, mais faute de rendez-vous, la lettre a finalement été envoyée par la poste.
Ce n'est pas la première fois que Barakat réclame l'application de l'article 88, mais c'est la première que le mouvement saisi officiellement le Conseil constitutionnel. Ce qui a motivé les militants de Barakat, ce sont les images de la prestation de serment du chef de l'Etat lundi matin. Amira Bouraoui, membre de la délégation de Barakat, qui s'est rendue ce mardi au Conseil constitutionnel, revient sur l'élection contestée d'Abdelaziz Bouteflika.
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