Vingt et un jours d’affilée, le temps de la campagne présidentielle, Abdelmalek Sellal a joué le rôle de la « doublure » d’Abdelaziz Bouteflika. Il a été sa voix, ses jambes, le premier représentant par procuration du président sortant malade et réélu au premier tour. Puis, lundi 28 avril, Abdelmalek Sellal, 65 ans, a docilement repris la place de premier ministre qu’il avait mise entre parenthèses, promettant dès mardi que la « priorité des priorités sera d’améliorer la situation économique pour la création de richesses ».
Son parcours est ainsi fait. Le haut fonctionnaire, diplômé de l’Ecole nationale d’administration d’Alger section diplomatie, alterne sans relâche les missions ministérielles et les campagnes « boutéflikiennes » depuis ce jour de 1999 où, à peine nommé ambassadeur en Hongrie, il avait été rappelé par Alger pour endosser le costume de ministre de l’intérieur du premier mandat du chef de l’Etat.
Successivement ministre de la jeunesse et des sports, des travaux publics et des transports, il doit s’interrompre pour devenir directeur de la campagne pour la présidentielle de 2004. Deuxième mandat. Il reprend sa place dans le gouvernement, ministre des ressources en eau. Puis redevient directeur de campagne en 2009.
le monde
Son parcours est ainsi fait. Le haut fonctionnaire, diplômé de l’Ecole nationale d’administration d’Alger section diplomatie, alterne sans relâche les missions ministérielles et les campagnes « boutéflikiennes » depuis ce jour de 1999 où, à peine nommé ambassadeur en Hongrie, il avait été rappelé par Alger pour endosser le costume de ministre de l’intérieur du premier mandat du chef de l’Etat.
Successivement ministre de la jeunesse et des sports, des travaux publics et des transports, il doit s’interrompre pour devenir directeur de la campagne pour la présidentielle de 2004. Deuxième mandat. Il reprend sa place dans le gouvernement, ministre des ressources en eau. Puis redevient directeur de campagne en 2009.
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