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Un troisième Bush à la Maison Blanche ?

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  • Un troisième Bush à la Maison Blanche ?

    L'élection présidentielle américaine n'a lieu que dans deux ans. Mais du côté des républicains, Jeb Bush, frère de George W., serait déjà pressenti comme candidat.


    Avant la campagne, la pré-campagne. "J'espère que Jeb se présentera" a annoncé George W. Bush jeudi 1er mai sur la chaîne CNN. Par ces mots, l'ancien président des Etats-Unis a laissé entendre que son petit frère, Jeb Bush, ancien gouverneur de l'Etat de Floride, pourrait être candidat aux primaires républicaines.

    Une manière d'instiller un nom – déjà connu – dans les esprits, et de lui dégager le terrain en vue de l'élection présidentielle de 2016. Il faut dire que le nom de Bush a plutôt porté chance au Parti républicain. Portrait


    Avant la campagne, la pré-campagne. "J'espère que Jeb se présentera" a annoncé George W. Bush jeudi 1er mai sur la chaîne CNN. Par ces mots, l'ancien président des Etats-Unis a laissé entendre que son petit frère, Jeb Bush, ancien gouverneur de l'Etat de Floride, pourrait être candidat aux primaires républicaines.

    Une manière d'instiller un nom – déjà connu – dans les esprits, et de lui dégager le terrain en vue de l'élection présidentielle de 2016. Il faut dire que le nom de Bush a plutôt porté chance au Parti républicain. Portrait.



    Le pouvoir, une affaire de famille

    Jeb, de son nom complet John Elias, a comme tous les Bush une prédestination au pouvoir. C'est le grand-père, Prescott Bush, qui a ouvert la voie en 1953, en devenant sénateur du Connecticut. George Herbert Walker Bush, son fils, vice-président de Ronald Reagan, est désigné 41e président des Etats-Unis en 1988.

    Nouveau triomphe familial en 2000, quand le petit-fils George Walker Bush, gouverneur de l'Etat du Texas, remporte la présidentielle américaine. Un mandat tortueux, marqué par les attentats du 11-Septembre 2001 et la Guerre en Irak, mais qui ne l'empêche pas d'être nommé une seconde fois en 2004. Jeb, lui, est à cette époque gouverneur de l'Etat de Floride.

    La bête noire des démocrates

    Le monde apprend l'existence de Jeb Bush au cours de l'élection de son frère, en 2000. Des erreurs de comptage de voix empêchent de déterminer qui de George W. Bush ou de Al Gore, le candidat démocrate, est censé remporter les 25 grands électeurs de l'Etat de Floride, et accéder à la Maison Blanche.

    Après un mois de batailles juridiques, c'est George W. Bush qui, sur arbitrage de la Cour suprême, est nommé président des Etats-Unis. Jeb Bush est alors accusé d'avoir influé en coulisse pour permettre la victoire de son frère. Dans le camp averse, on l'identifie alors comme celui qui a fait perdre indûment le candidat démocrate.

    Déjà plébiscité en 2009

    Ces rumeurs ne l'empêchent pas d'être très apprécié dans son propre parti et en Floride, sa terre d'élection. En 2008, il est même pressenti un moment pour prendre la succession de son frère, qui, selon la Constitution américaine, ne peut plus se présenter après deux mandats.

    Réputé discret et peu enclin à s'exprimer sur les grands médias, Jeb Bush balaie les attentes de son camp en octobre 2008 sur la chaîne ABC :

    Ce n'est pas dans mon intérêt [de me présenter]. Je suis gouverneur, c'est le meilleur job que j'ai jamais eu."

    John McCain est alors le candidat républicain désigné, et qui échoue face à Barack Obama en 2008. Maintenant qu'il ne tient plus les rennes de la Floride, Jeb Bush a le champ libre pour la présidence, et, selon les propos de son grand frère hier, il se "déplacerait beaucoup à travers le pays", en vue de glaner des soutiens.

    S'il remporte les primaires en 2016, Jeb Bush pourrait se confronter à une autre figure bien connue.

    Clinton-Bush : le match attendu

    Du côté démocrate, le casting qui se dessine a aussi un air de déjà vu. Hillary Clinton, ancienne secrétaire d'Etat de Barack Obama et femme de l'ex-président Bill Clinton, multiplie les interventions ces dernières semaines... et commence déjà à se positionner pour l'investiture de son parti.

    Il se pourrait donc que l'élection de 2016 débouche sur un nouveau duel entre les familles Bush et Clinton. Comme en 1992, quand Bill Clinton avait battu le président sortant George H. W. Bush.

    Les Kennedy, les Roosevelt, les Clinton, les Bush... De vraies dynasties politiques qui ont vu plusieurs de leurs membres occuper les sommets du pouvoir aux Etats-Unis. Une erreur pour Barbara Bush, qui s'exprimait il y a un an sur la chaîne NBS au sujet de la candidature de son fils Jeb :

    Il n'y a pas que quatre familles dans ce pays. Il y a d'autres gens très qualifiés, et nous avons eu assez de Bush [à la Maison Blanche]."

    Malgré les réticences de sa mère, Jeb aura des difficultés à rompre avec l'atavisme de la famille Bush
    le nouvel obs

  • #2
    c'est une info grave kho

    je suis triste pour les américains qui devront eux aussi choisir entre une famille de demeurés et une sioniste discréditée sans aucune autre alternative

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    • #3
      il a l'air un peu aussi demeuré que son frére



      s'il arrive au pouvoir , je craint fort , pour l'iran .
      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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      • #4
        Un troisième Bush à la Maison Blanche ?
        Non Merci
        .
        .
        ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
        Napoléon III

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        • #5
          c'est de grande democratie il faut savoir s'en inspiré, à méditer

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          • #6
            P...tain, la tête qu'il a ! Ma première impression : bête et méchant.
            Une tête à bourrer de psychotropes.
            Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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            • #7
              Le pouvoir aux USA, ce n'est pas seulement "une affaire de famille". Face à l'énorme prédation capitaliste, les luttes pour les libertés ont besoin de l'efficience politique. L'expérience peut jouer un rôle.
              De plus, les Bush pouvaient exiger des choses pour la continuité politique qui ont peut-être pas été satisfaites. Cela nécessite plus de temps pour sa propre politique du rêve américain. C'est là qu'il faut faire attention de ne pas laisser son nom comme signature à un travail baclé qui s'apparenterait à une forme de traitrise aux yeux des Américains épris de liberté.

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              • #8
                Le dernier bush parlait à Jesus, celui la va savoir à qui il peut parler ...

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                • #9
                  envoyé par Soufaine-Oujda
                  Le dernier bush parlait à Jesus, celui la va savoir à qui il peut parler ...
                  non il faut rendre a cesar ce qui appartiens à césar , le dernier bush "prétendait" parler à "Jésus", mais en réalité il écoutait "Moise", dans ses etats ethylique il doit beneficier des circonstance atténuantes , il est tout pardonné , il faut savoir pour que les puritains acceptent un noir au pouvoir il fallait vraiment un vrai camoufler pour cacher tout ce que le precedent bush avait laissé comme stigmate sur la nation et la population américaine

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                  • #10
                    Après deux investitures , les démocrates sont sur une pente raide , le chômage est encore élevé , l'immobilier au bord de l’asphyxie , la croissance est très faible leurs programmes trébuchent , même la couverture sociale pour les couches à faible revenu ," ObamaCARE " est un fiasco , tous les indicateurs sont au rouge

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                    • #11

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