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Les membres de Barakat ont attendu le départ de la délégation officielle pour tenter de déposer une gerbe de fleur mais la police les a empêchés de s’approcher de la stèle.
Une délégation du mouvement Barakat s’est rendue, ce samedi 3 mai à la Place de la liberté de la presse à Alger , pour déposer une gerbe de fleurs au pied de la stèle érigée en hommage aux journalistes assassinés durant les années 1990.
A l’arrivée des membres de Barakat, les lieux étaient occupés par une délégation officielle conduite par le ministre de la Communication, Abdelkader Messahel et le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, venus se recueillir à la mémoire des journalistes victimes du terrorisme.
Les membres de Barakat ont attendu le départ de la délégation officielle pour tenter de déposer une gerbe de fleurs mais la police les a empêchés de s’approcher de la stèle. « Vous n’avez pas le droit », a déclaré un policier aux représentants du mouvement.
Outre les officiels et les activistes de Barakat, la Place de la liberté de la presse, sise à la rue Hassiba Benbouali, a vu la présence d’une dizaine de femmes des familles de disparus. Les manifestantes, tenues à distance par un cordon de sécurité, ont réclamé la vérité sur le sort de leurs enfants et proches, disparus durant les années 1990.
Farouk Djouadi - El Watan
Une délégation du mouvement Barakat s’est rendue, ce samedi 3 mai à la Place de la liberté de la presse à Alger , pour déposer une gerbe de fleurs au pied de la stèle érigée en hommage aux journalistes assassinés durant les années 1990.
A l’arrivée des membres de Barakat, les lieux étaient occupés par une délégation officielle conduite par le ministre de la Communication, Abdelkader Messahel et le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, venus se recueillir à la mémoire des journalistes victimes du terrorisme.
Les membres de Barakat ont attendu le départ de la délégation officielle pour tenter de déposer une gerbe de fleurs mais la police les a empêchés de s’approcher de la stèle. « Vous n’avez pas le droit », a déclaré un policier aux représentants du mouvement.
Outre les officiels et les activistes de Barakat, la Place de la liberté de la presse, sise à la rue Hassiba Benbouali, a vu la présence d’une dizaine de femmes des familles de disparus. Les manifestantes, tenues à distance par un cordon de sécurité, ont réclamé la vérité sur le sort de leurs enfants et proches, disparus durant les années 1990.
Farouk Djouadi - El Watan