Six mois après l’attaque du consulat d’Algérie à Casablanca, les relations entre Alger et Rabat restent tendues. Selon nos informations, Ramtane Lamamra, ministre des Affaires étrangères, ne participera pas à la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Union du Maghreb arabe (UMA) prévue le 9 mai à Rabat, capitale du Maroc. L’ambassadeur Abdelhamid Chebchoub représentera l’Algérie à la réunion du comité de suivi prévue le 8 mai à Rabat, alors que le secrétaire du ministère prendra part à la réunion des ministres.
« L’Algérie décidera souverainement du niveau de sa représentation aux réunions multilatérales qui se tiendront à l’avenir au Maroc, compte tenu du climat tendu qui caractérise les relations algéro-marocaines à la suite de la violation inacceptable des locaux consulaires algériens à Casablanca et la profanation impardonnable de l’emblème national, le jour même de la célébration du déclenchement de la glorieuse Révolution du 1er Novembre », avait déclaré Amar Belani, ancien porte-parole du ministère des Affaires étrangères, en décembre dernier après l’attaque contre le consulat d’Algérie.
Selon nos sources, cette décision algérienne est liée au gel des relations politiques avec le Maroc après l’indicent du consulat d’Algérie à Casablanca, le 1er novembre 2013. Les Algériens exigent des excuses officielles et une coopération sérieuse pour faire la lumière sur ces incidents. Ce que le Maroc continue de refuser.
TSA
« L’Algérie décidera souverainement du niveau de sa représentation aux réunions multilatérales qui se tiendront à l’avenir au Maroc, compte tenu du climat tendu qui caractérise les relations algéro-marocaines à la suite de la violation inacceptable des locaux consulaires algériens à Casablanca et la profanation impardonnable de l’emblème national, le jour même de la célébration du déclenchement de la glorieuse Révolution du 1er Novembre », avait déclaré Amar Belani, ancien porte-parole du ministère des Affaires étrangères, en décembre dernier après l’attaque contre le consulat d’Algérie.
Selon nos sources, cette décision algérienne est liée au gel des relations politiques avec le Maroc après l’indicent du consulat d’Algérie à Casablanca, le 1er novembre 2013. Les Algériens exigent des excuses officielles et une coopération sérieuse pour faire la lumière sur ces incidents. Ce que le Maroc continue de refuser.
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