Comme chaque soir, Je rentre chez moi.
Plus que jamais Fatigué par le rôle et le devoir.
Pour me consoler, je me dis que le temps qui s’en va ne revient point.
Je regarde au loin les étoiles, et pense aux chants des sirènes,
A L’arbre, aux buissons et aux feuilles jonchant mon ancienne demeure.
Tout me revient à l’esprit à présent, ah nostalgie quand tu nous tiennes.
Quand je pense à cet adolescent qui croyait tout pouvoir juste par le vouloir.
Quant je pense à ces temps révolus où j’étais le maître des lieux accostés.
Je pleure ma gloire perdue dans les dédales de mes fausses passions.
Cherchant un de peu répit, je fume alors une cigarette à la Che.
En espérant renouer avec le succès.Hélas, même le gout n’y est plus.
Ainsi va la vie me disait boualam le fataliste. Oui, enfin, j’y ai presque cru.
Allah galeb , je n’ai pas pu
Plus que jamais Fatigué par le rôle et le devoir.
Pour me consoler, je me dis que le temps qui s’en va ne revient point.
Je regarde au loin les étoiles, et pense aux chants des sirènes,
A L’arbre, aux buissons et aux feuilles jonchant mon ancienne demeure.
Tout me revient à l’esprit à présent, ah nostalgie quand tu nous tiennes.
Quand je pense à cet adolescent qui croyait tout pouvoir juste par le vouloir.
Quant je pense à ces temps révolus où j’étais le maître des lieux accostés.
Je pleure ma gloire perdue dans les dédales de mes fausses passions.
Cherchant un de peu répit, je fume alors une cigarette à la Che.
En espérant renouer avec le succès.Hélas, même le gout n’y est plus.
Ainsi va la vie me disait boualam le fataliste. Oui, enfin, j’y ai presque cru.
Allah galeb , je n’ai pas pu
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