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Karl Marx a Alger 1882

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  • Karl Marx a Alger 1882

    Ce philosophe et sociologue est venu a Alger pour se soigner de la tuberculose. Il parait qu'il a séjourné dans une villa du coté de la montée au dessus du jardin d'essai. Il aurait eu aussi des propos et écris très méprisant sur les "indigénes". C'est pour cela que même les marxistes parlent tres peu de son séjour a Alger.



  • #2
    On dirait un photomontage.
    Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

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    • #3
      La photo est authentique. On peut la retrouver, entre autres, sur le site de l'université de Münster (Allemagne), dans la page consacrée au projet du film sur Marx, ou plus exactement sur les derniers mois de sa vie : Le dernier voyage du Karl Marx.
      كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

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      • #4
        et écris très méprisant sur les "indigénes".
        je ne sait pas si c'est vrai mais iln'est pas leseul... à l'époque c'étatit à "la mode" puisque même Victor Hugo ce grabd poéte et sénateur est monté à la tribune du sénat de l'époque pour soutenir la colonisation de l'Algérie qui avait besoin selon lui d'une mission française de "civilisation"

        Bon cela ne l'a pas empecher dans l'Algérie independante de continuer à avoir une rue qui porte son nom à Alger. Ily a peut être pénurie de noms demartyrs de la révolutionoeilfermé ou de grands hommes et femmes nationaux..

        je respecte le poéte mais je n' irai pas jusqu'à attribuer son nomàune rue en plein centre de la capitale.pour les raisons évoquées plus haut.

        Quand K. marx, je doute qu'il ait eu des propos méprisant pour les indigénes . connaissant ses positionsexprimés contre l'imperialisme et l''exploitation de l'homme par l'homme. mais je ne suis pas pret à le jurer bien sur.oeilfermé

        PS=

        extrait des parolesde V. Hugo:

        En 1841, elle révèle un désaccord entre Bugeaud et Hugo. Non pas que le général ait pu se montrer réservé envers la colonisation : probablement la divergence tenait-elle à ce qu'il soutenait l'idée de colonies militaires et Hugo celle de l'émigration de civils. Bugeaud venait de dire à la Chambre : « J'ai toujours considéré l'Algérie comme le plus funeste des présents que la Restauration ait faits à la révolution de Juillet, mais puisque mon pays y est, je désire qu'on ne se débatte pas dans une impuissance douteuse. [...] Il faut coloniser parce que vous ne pouvez [...] retirer la plus grande partie de cette armée qu'en établissant une population fortement et militairement constituée 9. » Toujours est-il que Hugo plaide nettement en faveur de la colonisation : « Je crois que notre nouvelle conquête est chose heureuse et grande. C'est la civilisation qui marche sur la barbarie. C'est un peuple éclairé qui va trouver un peuple dans la nuit. Nous sommes les Grecs du monde, c'est à nous d'illuminer le monde. Notre mission s'accomplit, je ne chante qu'Hosanna. Vous pensez autrement que moi, c'est tout simple. Vous parlez en soldat, en homme d'action. Moi je parle en philosophe et en penseur 10. »
        Dernière modification par khoya, 10 mai 2014, 14h11.

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        • #5
          merci Khoya, et bravo pour la culture

          je n vois plus hugo de la meme façon

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          • #6
            Rose bonsoir.

            moi je le lis le trouve admirable comme auteur mais j’oublie pas ce qu'il a pensé de moi enfin de mes ancétres.

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            • #7
              Oui Khoya c'est décevant quand meme

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              • #8
                Chacun se positionne selon son époque! Et puis, il n'ya que les idiots qui ne changent dans leur raisonnement.
                Ces intellectuels qui ont soutenu l’Algérie
                Durant la guerre de Libération nationale, la presse en générale et l’édition en particulier ont joué un rôle important dans la lutte. Dès le début de la révolution, la direction du FLN sous la conduite de Boudiaf fait paraître à Tanger, le journal Résistance algérienne, puis paraîtra à Alger, le journal El Moudjahid sous la direction d’Abane Ramdane, Ben Youcef Benkhedda, Saâd Dahlab, Larbi Ben M’hidi, tiré sous forme ronéotypée sur les hauteurs de la Casbah d’Alger plus particulièrement dans une paroisse dirigée par un sympathisant de la cause algérienne, le père Declercq Jules.
                Pour l’édition, le FLN n’a pas possédé de maison d’édition propre, mais utilisa d’une manière remarquable les réseaux de soutiens internationaux à la révolution algérienne pour faire connaître sa voix. Des publications sous forme de brochures, de livres étaient éditées chez des éditeurs engagés aux côtés des Algériens en lutte. Nous présentons dans ce texte, les plus connus d’entre-eux qui ont bradé la censure en France, Suisse, Italie et en Allemagne et ont publié en prenant des risques d’interdiction, de poursuites judiciaires ou carrément des menaces de mort et d’attentats contre leurs personnes ou leurs locaux. Nous les présentons par ordre alphabétique : Les Editions de la Cité - Les éditions de la Cité sont créées en pleine guerre de Libération algérienne pour agir contre la guerre menée par l’armée française et notamment contre la généralisation de la torture. Son directeur, Nils Andersson, prend naturellement contact avec l’un des rares éditeurs français de l’époque engagés dans ce combat, Jérôme Lindon qui anime les éditions de Minuit fondées dans la clandestinité en pleine Seconde guerre mondiale. Très vite la décision est prise de réimprimer en Suisse aux éditions de La Cité, le livre d’Henri Alleg, «La Question» qui vient d’être interdit en France, et de le compléter d’un texte de Jean-Paul Sartre. Il s’agit pour Jérôme Lindon de montrer au pouvoir que la censure sera inefficace – déjà seize contrats d’éditions entre les éditions de Minuit et des maisons étrangères sont signés – et de se saisir de l’événement d’édition engagée en Suisse. La collaboration ainsi commencée sera fructueuse puisque La Cité continuera de publier de nombreux livres interdits sur l’Algérie et accueillera également des auteurs algériens. Très vite La Cité éditeur deviendra un carrefour européen où se côtoieront les milieux les plus engagés dans l’opposition à la guerre en Algérie. Ainsi se retrouveront déserteurs et insoumis français, militants des réseaux de soutien au FLN de passage en Suisse, cadres et responsables algériens. C’est de là que naîtra l’engagement tiers-mondiste ultérieur de Nils Andersson. Après la création des Editions François Maspero se constituera un front éditorial de maisons engagées et se diffusant réciproquement. Ainsi Minuit, Maspero en France, La Cité en Suisse, et Feltrinelli en Italie formeront un quatuor d’éditeurs militants qui marqueront l’opposition à cette sale guerre. Dans les années 2000, Nils Andersson publiera une étude «La résistance à la guerre d’Algérie : le rôle de l’édition», où il relatera l’engagement des éditeurs aux côtés de la cause de libération algérienne. Les Editions Feltrinelli.- La Maison d’éditions Feltrinelli est une maison d’édition italienne, fondée à Milan en 1954, avec la Guerre de Libération algérienne, par Giangiacomo Feltrinelli. Leur naissance dans une conjoncture remarquée par des mouvements de libérations à travers le monde va les amener à publier les auteurs du tiers monde. Concernant l’Algérie, ils se solidarisent avec les éditeurs français Minuit et Maspero, ainsi qu’avec le suisse l’éditeur de La Cité pour constituer un quatuor éditorial qui se chargera déjouer la censure qui frappait les livres qui dénonçaient la guerre colonialiste en Algérie. Ils publieront les ouvrages interdits en France tel que La révolution algérienne de Francis Jeanson, Les Algériens en Guerre de Dominique Darbois et Philippe Vigneau. Les Editions Maspero.- Ces éditions sont nées en pleine guerre de Libération sous la houlette d’un jeune libraire du quartier latin François Maspero. L’engagement anticolonialiste de Maspero en général et le soutien de l’indépendance de l’Algérie en particulier était total. L'équipe de départ est constituée, outre François Maspero lui-même, par Gonzalez Batlle. Ils sont rejoints ensuite par Emile Copfermann. Les deux premières collections, «Cahiers Libres» et «Textes à l’Appui», sont marquées par le contexte historique, avec particulièrement deux axes : la guerre d’Algérie et la contestation du stalinisme du Parti communiste français. Ils publient les livres de Frantz Fanon (L’An V de la révolution algérienne, Les Damnés de la terre, préface de Jean-Paul Sartre) ainsi que des témoignages d’opposants à la guerre. Beaucoup de ces livres seront saisis. Les Editions Maspero rééditent aussi Sartre, Paul Nizan et créent la revue Partisans qui paraîtra jusqu’en 1973. Ces publications entraînent plusieurs poursuites et même des attentats. Les Editions de Minuit.- Ces éditions sont nées sous l’occupation allemande en 1941 où à Paris le dessinateur Jean Bruller et un écrivain, Pierre de Lescure, décident de fonder une maison d’édition clandestine. Ils publient le premier livre «Le Silence de la mer», de Vercors (pseudonyme de Jean Bruller). Puis vinrent d’autres qui circuleront clandestinement à partir de 1942. Aidées dans leur tâche par le poète Jean Paulhan, ces éditions connaîtront un succès qui les amènera par la suite à éditer un travail collectif : Chroniques interdites, paraissait en avril 1943. Un autre, «L’Honneur des poètes», en juillet, rassemblait des poèmes recueillis par Paul Eluard. «Le Cahier noir», de François Mauriac, était publié en août, «Le Musée Grévin», d’Aragon, en septembre. Ils seront les premiers à traduire et publier la première traduction française intégrale de «The Moon is down» (Nuits noires) de John Steinbeck. Durant la guerre de Libération algérienne, c’est Jérôme Lindon qui présidait aux destinées de la maison et c’est sous sa responsabilité qu’en 1957, Jacques Vergès et le romancier, Georges Arnaud, publient dans la collection «Documents» un libelle. Pour Djamila Bouhired, où ils dénoncent les tortures pratiquées par les militaires français en Algérie. Au début de 1958, les «Editions de Minuit» font paraître le témoignage du journaliste algérien d’Alger Républicain, Henri Alleg, qui, sous le titre «La Question», décrit le supplice dont il a été lui-même victime. En mai paraît «L’Affaire Audin», une brochure où des officiers sont accusés d’avoir assassiné le jeune mathématicien, Maurice Audin. Le gouvernement fait saisir «La Question», ce qui n’apaise pas le scandale, au contraire. En 1959, les Editions de Minuit publient encore «La Gangrène», ouvrage qui est interdit à son tour par le gouvernement, comme le seront, au cours de ces quatre années, une dizaine de livres de la collection «Documents». Inculpé à diverses reprises d’atteinte au moral de l’armée, d’incitation à la désobéissance, de diffamation de la police, etc., Jérôme Lindon est condamné pour la publication du «Déserteur», de Maurienne. Dans les années 1980, les éditions de Minuit prendront en charge la Revue d’études palestiniennes. Les Editions Subervie.- «C’est à Rodez (Aveyron), berceau de la famille depuis des générations, que les Editions Subéraie ont vu le jour, dans une ville où, s’il n’existait pas encore de véritable décentralisation culturelle, planait néanmoins l’ombre calcinée d’Antonin Artaud. Ce fut auparavant une simple imprimerie, fondée en 1860 et qui joua un rôle considérable pendant la Résistance française à l’occupation nazie en imprimant notamment des tracts, de fausses cartes d’identité et des journaux clandestins dont Combat. A la mort de son père Georges en 1953, Jean Subervie reprend l’atelier familial où il travaillait depuis l’âge de dix-huit ans. Féru de Lettres, il décida la même année de transformer l’imprimerie en une Maison d’édition. Tout en imprimant les ouvrages de confrères, il publie romans, nouvelles, essais (parmi les premières monographies en format de poche) et surtout de la poésie. A son catalogue, figurent aussi bien des auteurs confirmés (les poètes Yanette Delétang Tardif et Louis Emié, par exemple) que des débutants qui n’ont sans doute pas constitué une référence en littérature mais étaient préfacés par d’illustres aînés comme André Gide ou Maurice Fombeure (…). Dès le déclenchement de la Guerre d’Algérie en novembre 1954, Jean Subervie commence à s’intéresser aux Algériens, avec qui il avait fraternisé et sympathisé durant la Seconde guerre mondiale, lors de la campagne d’Allemagne. Il entame la publication de l’œuvre du philosophe et germaniste Mohand Tazerout, ancien tirailleur, déjà auteur confirmé et surtout traducteur émérite de l’ouvrage monumental d’Oswald Spengler Le Déclin de l’Occident. (…)

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                • #9
                  (suite et fin)
                  L’Algérie en guerre va constituer précisément une des préoccupations majeures du résistant Jean Subervie, ce qui deviendra naturellement à ses yeux un acte anticolonialiste. Sa rencontre avec Jean Sénac est déterminante dans son évolution politique. Elle a eu lieu le 14 novembre 1956 à Paris, à la soirée organisée par les éditions «La Nef de Paris» à l’occasion de la sortie du recueil de poésie de Malek Haddad «Le Malheur en danger». Aussitôt, Subervie propose à Sénac de coordonner un dossier que sa revue trimestrielle, Entretiens sur les lettres et les arts, envisage de consacrer à l’Algérie.» Subervie va s’engager encore d’avantage aux côtés des Algériens en lutte, lors d’un séjour de Sénac à Rodez, il «était en compagnie de Kader Kalache, responsable du matériel et d’impression au sein de la Fédération de France du FLN. Ensemble, ils utilisèrent l’imprimerie de Subervie pour composer clandestinement le journal El Moudjahid, porte-parole de la révolution algérienne. A compter de son numéro 8, la direction politique de ce média a décidé son impression et sa diffusion à l’étranger, c’est-à-dire respectivement au Maroc (Tétouan), en Tunisie (Tunis) et en France (Rodez et Paris). Kalache se remémore, dans un entretien, cette activité avec Sénac tandis que celui-ci l’évoque dans une postface pour un projet inabouti de réédition du Soleil sous les armes. Subervie imprime également le bulletin de la Fédération de France du FLN - qui inspire à Sénac le poème «La première frappe» dédié à Mohamed Harbi, alors chargé de la «Commission presse et information» au niveau de cette Fédération -, ainsi que des tracts au profit de l’UGEMA, que le poète insérera dans un texte collage, intitulé justement «Tracts». Ainsi, au plus fort de la guerre d’Algérie, et dans une semi-clandestinité, Jean Subervie se range dans le camp indépendantiste. Mais, compte tenu des contraintes financières inhérentes à tout petit éditeur aux ambitions commerciales modestes (le tirage de chaque titre dépasse rarement les 1000 exemplaires, diffusés exclusivement, selon la formule du dépôt en librairie et connaissant rarement une réception critique) et des difficultés circonstancielles liées aux heures sombres de la guerre (menaces de plastiquage reçues), Subervie ne publie encore – outre Mohand Tazerout – que deux autres ouvrages d’auteurs algériens. D’abord une pièce de théâtre de Kaddour M’Hamsadji : La dévoilée (1959). Ce drame en un prologue sur le dévoilement des femmes musulmanes, une des grandes tentatives de transformation de la société algérienne traditionnelle avec l’appui de l’ordre colonial. Cette action a été un échec, à l’instar du destin de la jeune Délinda, héroïne de la pièce, devenue aveugle et précipitée dans le vide. Puis un recueil de poèmes de Sénac : Matinale de mon peuple (1961), ensemble de 59 poèmes et textes militants portant sur l’Algérie martyrisée et les peuples en lutte (Espagne, Angola, Congo et Cuba). Dans son admirable préface, écrite à la prison de Fresnes en mai 1961, Mostefa Lacheraf écrit : «La grande leçon que nous donne la poésie de Jean Sénac (…) ne sera pas perdue pour la littérature algérienne de demain». Pour ce volume, Subervie crée la collection «Le Soleil sous les armes», qui n’aura au catalogue que ce titre et celui de l’essai du même auteur, publié sous le même intitulé.
                  A ces maisons d’éditions citées, il faut ajouter une expérience très originale qui s’est déroulée en Allemagne (l’ancienne RFA) où la Fédération de France du FLN, aidée par le réseau de soutien qui gravitait autour de la personne dévouée à la cause algérienne Wischnewski Hans-Jürgen (1922-2005) et une poignée de militants de la IVe internationale publiait Freies Algerien «Algérie libre». Ce journal Freies Algerien paraissait officiellement comme l’organe du comité de soutien de la cause algérienne publié à Cologne en Allemagne à partir de septembre 1958 par «l’Arbeitskreis der Freuden Algériens» (Cercle de travail des Amis de l’Algérie) sous la responsabilité de Hans Jürgen Wischnewski.
                  Le bulletin est publié en langue allemande, par la société R. Reddigau à Cologne-Ehrenfeld, Hansemannstrasse. Il se présente à partir d’octobre 1959 comme l’organe du GPRA. D’après Ali Haroun : «Le 1er novembre 1958, paraît un numéro double (3 et 4), et, qui avant la fin de l’année, Freies Algerien en est déjà à son quatrième numéro. Si les premiers tirages sont financés par la fédération pour une moyenne de 2000 deutsche Mark chacun, les ventes et les abonnements permettent bientôt au journal de vivre de ses propres ressources. Tirant à 5000 exemplaires au départ, il développera son tirage tout au cours de son existence. (…). Ainsi, jusqu’au cessez-le-feu avec une régularité qui ne souffrira d’aucun contretemps, Freies Algerien publiera 24 numéros et poursuivra son rôle de porte-parole du Font de libération nationale dans les pays de langue germanique».
                  Le programme d’action du FLN est diffusé par El Moudjahid, l’organe du FLN, édité clandestinement, et les thèses indépendantistes sont vulgarisées par le biais de Freies Algerien et distribuées dans les milieux universitaires et journalistiques. «Wischneweski apparut comme éditeur pour les quatre premiers numéros avant d’être remplacé par Willi Glomb, responsable des jeunesses socialistes de Cologne, puis Willi Pertz, un social-démocrate. Georg Jungclas était la cheville ouvrière de l’entreprise.» Une version danoise de ce bulletin fut éditée et distribuée au Danemark sous la conduite d’amis danois de la cause algérienne comme Jens Oustroup, Dorrit Hansen, Lija Thiele et Jan Stage.
                  Rachid Khettab éditeur et auteur

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