Ma tourmente commença avec la création, cette équation tant perverti par les bigots de la dévotion.
Cherchant un sens à la création que je suis. J’ai choisi d’immigrer, là-bas, aux antipodes de toute beauté, là ou le corbeau lui-même n’oserait pas poser ses pieds.
Et pourtant moi l’humain, j’ai osé, et j’ai posé mes pieds, tel un messie venant de loin éclairer les esprits.
Au premier coup d’œil autour de moi, je savais que ma nouvelle vie serait terne et sans couleur.
Ainsi débuta mon séjour dans cette île désertique, et pour dire vrai je ne savais pas quel rôle dois-je interpréter? celui de vendredi ou de Crusoé !
Néanmoins, Il fallait que j’incarne toutes les postures de la démesure pour que je puisse trouver des réponses à mes questions légitimes.
Malheureusement, Le temps passe vite et le néant ne cesse de m’engloutir.
Désormais que je suis dépourvu de tout, je l’ai aperçu au bout du tunnel, s’était-elle, la finitude.
C’est à cet instant où je m’apprêtais à mourir que j’ai compris, que la création n’est pas le fruit d’un délire ou d’un passage à vide.
Ici s’achève la quête de l’ésotérique. Ici aux frontières de la limite, je renonce à mes pouvoirs sataniques.
Ici aux fonds des abîmes. Quand tout le monde est parti et la loi des récoltes a pris son dû, une force inconnue m’a envahit en entier, me prouvant ainsi l’existence d’une éternité.
Ici dans ce fameux couloir de l’agonie, le Big Bang s’est enfin déclenché.
Coucou Maman, ici on ne pleure plus, on sourit à longueur de journée car nous avons pour épouses amour et humanité.
Nous les naufragés solitaires, au détour d’un chemin ténébreux, nous avons acquis l’ultime conviction que la création est une symphonie : heureux celui qui à triomphé de son démon parce que rien au monde ne l’empêchera de participer a cette symphonie qu’est la vie.Merci à toi mon Dieu
Si tu vas au bout du monde, tu trouves les traces de Dieu ; si tu vas au fond de toi, tu trouves Dieu lui-même. M Dib
Cherchant un sens à la création que je suis. J’ai choisi d’immigrer, là-bas, aux antipodes de toute beauté, là ou le corbeau lui-même n’oserait pas poser ses pieds.
Et pourtant moi l’humain, j’ai osé, et j’ai posé mes pieds, tel un messie venant de loin éclairer les esprits.
Au premier coup d’œil autour de moi, je savais que ma nouvelle vie serait terne et sans couleur.
Ainsi débuta mon séjour dans cette île désertique, et pour dire vrai je ne savais pas quel rôle dois-je interpréter? celui de vendredi ou de Crusoé !
Néanmoins, Il fallait que j’incarne toutes les postures de la démesure pour que je puisse trouver des réponses à mes questions légitimes.
Malheureusement, Le temps passe vite et le néant ne cesse de m’engloutir.
Désormais que je suis dépourvu de tout, je l’ai aperçu au bout du tunnel, s’était-elle, la finitude.
C’est à cet instant où je m’apprêtais à mourir que j’ai compris, que la création n’est pas le fruit d’un délire ou d’un passage à vide.
Ici s’achève la quête de l’ésotérique. Ici aux frontières de la limite, je renonce à mes pouvoirs sataniques.
Ici aux fonds des abîmes. Quand tout le monde est parti et la loi des récoltes a pris son dû, une force inconnue m’a envahit en entier, me prouvant ainsi l’existence d’une éternité.
Ici dans ce fameux couloir de l’agonie, le Big Bang s’est enfin déclenché.
Coucou Maman, ici on ne pleure plus, on sourit à longueur de journée car nous avons pour épouses amour et humanité.
Nous les naufragés solitaires, au détour d’un chemin ténébreux, nous avons acquis l’ultime conviction que la création est une symphonie : heureux celui qui à triomphé de son démon parce que rien au monde ne l’empêchera de participer a cette symphonie qu’est la vie.Merci à toi mon Dieu
Si tu vas au bout du monde, tu trouves les traces de Dieu ; si tu vas au fond de toi, tu trouves Dieu lui-même. M Dib
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