pendus à un pendule, tantôt à gauche, à droite tantôt
perpétuel "non", refusant tout
hypnotique, berceur des insomniaques, toujours matinal
de l'aurore au crépuscule, en mouvement machinal
autel de l'infini, autour de qui, s'amassent... terrorisées
des échines courbées, porteuses de têtes baissées,
ceux là comprirent, que ce monde n'est que mensonge
ceux là le prirent pour observer, et se dérobèrent aux songes
alors que d'autres, se consumèrent, et sans avoir vécu... périrent
ils virent des départs et par comprendre, ils finirent
que plus tard, il n'y aurait plus d'impayé
rouillant la vie, effritant les regards et brumant les yeux
ridant des visages, frayant des rivières sur des peaux
rythmant le repas de la vie, dévorant tout ce qui est, et sera
ingurgitant instants et moments, que des souvenirs elle laissera
bout de bois, à quoi s'accrochent les accablés par les remords
ô toi qui le course
qui crois l'avoir emprisonné, enchainé à ton poignet
qui dit l'avoir, le tuer, le passer quand il est bon
qui le combat, sens son emprise sur ta chaire
vers l'infini, s'étendent horizons de ruines
de ce qui fut, il y a peu, un bref moment de plaisir
contemple sa puissance, son implacable constance
et prépare un trou, pour t'y terrer quand tandis que lui s'écoulera
...ton heure sonnera
perpétuel "non", refusant tout
hypnotique, berceur des insomniaques, toujours matinal
de l'aurore au crépuscule, en mouvement machinal
autel de l'infini, autour de qui, s'amassent... terrorisées
des échines courbées, porteuses de têtes baissées,
ceux là comprirent, que ce monde n'est que mensonge
ceux là le prirent pour observer, et se dérobèrent aux songes
alors que d'autres, se consumèrent, et sans avoir vécu... périrent
ils virent des départs et par comprendre, ils finirent
que plus tard, il n'y aurait plus d'impayé
rouillant la vie, effritant les regards et brumant les yeux
ridant des visages, frayant des rivières sur des peaux
rythmant le repas de la vie, dévorant tout ce qui est, et sera
ingurgitant instants et moments, que des souvenirs elle laissera
bout de bois, à quoi s'accrochent les accablés par les remords
ô toi qui le course
qui crois l'avoir emprisonné, enchainé à ton poignet
qui dit l'avoir, le tuer, le passer quand il est bon
qui le combat, sens son emprise sur ta chaire
vers l'infini, s'étendent horizons de ruines
de ce qui fut, il y a peu, un bref moment de plaisir
contemple sa puissance, son implacable constance
et prépare un trou, pour t'y terrer quand tandis que lui s'écoulera
...ton heure sonnera
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