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au pays des voleurs, nous recevons des leçons de religion super hein? sympa aussi!!!!
"Le ministre de l’Education nationale, Boubekeur Benbouzid, soumis jeudi, en compagnie de cinq autres ministres, à l’épreuve des questions orales au niveau du Conseil de la nation, a affirmé que "l’éducation islamique sera une matière obligatoire dans les épreuves du baccalauréat à partir de 2008". Cette affirmation s’est voulue de rassurer ceux qui d’entre les sénateurs qui se sont interrogés sur la suppression des lettres et sciences islamiques de l’enseignement secondaire.
Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Le ministre, qui bat le record de longévité à la tête du département de l’éducation, a expliqué que la suppression des deux filières en question du cursus d’enseignement secondaire a procédé "du souci d’éviter d’imposer une spécialisation précoce aux enfants". Il aura un argument quasi similaire lorsqu’il a eu à s’expliquer sur la suppression des Hadiths et versets coraniques des manuels scolaires, en soulignant que la décision a été suggérée par une commission de 300 experts et ce pour éviter les amalgames. Vendant, en outre, une belle image du secteur qu’il gère, Benbouzid a affirmé que l’école algérienne n’est plus sinistrée. L’argument qu’il avancera pour étayer son affirmation ne se rapporte à la dimension pédagogique du sinistre, c’està- dire aux contenus enseignés. Pour le ministre, l’école n’est pas sinistrée à partir du moment où le taux de scolarisation est passé de 82% en 1999 à 92% en 2006 et que, à l’horizon 2009, les 90% du corps enseignant dans les cycles primaires et secondaires seront d’un niveau équivalent à la licence. Les réalisations en termes d’infrastructures ont, elles, aussi été inventoriées comme autre justificatif du non-sinistre de l’école. "Entre 1999 et 2006, il a été réalisé plus de 27% de ce qui a été réalisé depuis 1962". Le ministre de l’Education nationale, qui, jusqu’à tout récemment, éprouvait encore des difficultés à assurer la disponibilité des manuels scolaires au niveau de plusieurs établissements, semble avoir trouvé le moyen d’anticiper cette crise cyclique. "Les manuels scolaires, au nombre de 56, pour l’années 2007-2008, seront mis à la disposition des établissements avant le départ des élèves pour les grandes vacances 2006-2007."
http://www.lesoird***********/articl...id=44720&cid=2
"Le ministre de l’Education nationale, Boubekeur Benbouzid, soumis jeudi, en compagnie de cinq autres ministres, à l’épreuve des questions orales au niveau du Conseil de la nation, a affirmé que "l’éducation islamique sera une matière obligatoire dans les épreuves du baccalauréat à partir de 2008". Cette affirmation s’est voulue de rassurer ceux qui d’entre les sénateurs qui se sont interrogés sur la suppression des lettres et sciences islamiques de l’enseignement secondaire.
Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Le ministre, qui bat le record de longévité à la tête du département de l’éducation, a expliqué que la suppression des deux filières en question du cursus d’enseignement secondaire a procédé "du souci d’éviter d’imposer une spécialisation précoce aux enfants". Il aura un argument quasi similaire lorsqu’il a eu à s’expliquer sur la suppression des Hadiths et versets coraniques des manuels scolaires, en soulignant que la décision a été suggérée par une commission de 300 experts et ce pour éviter les amalgames. Vendant, en outre, une belle image du secteur qu’il gère, Benbouzid a affirmé que l’école algérienne n’est plus sinistrée. L’argument qu’il avancera pour étayer son affirmation ne se rapporte à la dimension pédagogique du sinistre, c’està- dire aux contenus enseignés. Pour le ministre, l’école n’est pas sinistrée à partir du moment où le taux de scolarisation est passé de 82% en 1999 à 92% en 2006 et que, à l’horizon 2009, les 90% du corps enseignant dans les cycles primaires et secondaires seront d’un niveau équivalent à la licence. Les réalisations en termes d’infrastructures ont, elles, aussi été inventoriées comme autre justificatif du non-sinistre de l’école. "Entre 1999 et 2006, il a été réalisé plus de 27% de ce qui a été réalisé depuis 1962". Le ministre de l’Education nationale, qui, jusqu’à tout récemment, éprouvait encore des difficultés à assurer la disponibilité des manuels scolaires au niveau de plusieurs établissements, semble avoir trouvé le moyen d’anticiper cette crise cyclique. "Les manuels scolaires, au nombre de 56, pour l’années 2007-2008, seront mis à la disposition des établissements avant le départ des élèves pour les grandes vacances 2006-2007."
http://www.lesoird***********/articl...id=44720&cid=2