Sachant que l'Algérie a été colonisée par la France pendant 132 ans (1830 - 1962) et sachant qu'à l'indépendance de l'Algérie, la langue française était assez ancrée dans notre pays et que les institutions algériennes fonctionnaient avec le Français (administrations, système éducatif...etc), n'aurait-t-il pas été plus bénéfique pour l'Algérie d'adopter le Français comme langue officielle (langue de travail) pour faire dans la continuité et profiter pleinement de l'expertise française en matière d'éducation, de sciences...etc?
Petite précision car il y a souvent confusion entre langue officielle et langue nationale. La langue officielle est un peu la "langue de travail" qui sera utilisée par les institutions de l'Etat, le système éducatif...etc. Les langues nationales (Arabe et Berbère) sont celles parlées par un grand nombre de citoyens et sont liées à leur l'identité culturelle.
Au lieu d'une approche pragmatique visant à profiter du "butin de guerre" que sont la "langue et l'expertise françaises" (comme la décrivait feu Kateb Yacine) pour accélérer la modernisation et le développement de l'Algérie, les politicards incompétents du pouvoir algérien avaient choisi la médiocrité en imposant une arabisation aveugle et massive en prenant comme modèles des pays médiocres comme l'Egypte et la Syrie.
Vous avez sans doute remarqué la médiocrité des dirigeants algériens à l'oral, à l'instar du clown Abdelmalek Sellal. Ci-dessous, un exemple qui illustre l'échec de la politique linguistique de l'Algérie depuis l'indépendance. Pendant une émission de télé, le jeune sportif algérien Walid Ben Terki s'exprime comme beaucoup d'officiels algériens avec un mélange de dialectes arabes et de Français!
Petite précision car il y a souvent confusion entre langue officielle et langue nationale. La langue officielle est un peu la "langue de travail" qui sera utilisée par les institutions de l'Etat, le système éducatif...etc. Les langues nationales (Arabe et Berbère) sont celles parlées par un grand nombre de citoyens et sont liées à leur l'identité culturelle.
Au lieu d'une approche pragmatique visant à profiter du "butin de guerre" que sont la "langue et l'expertise françaises" (comme la décrivait feu Kateb Yacine) pour accélérer la modernisation et le développement de l'Algérie, les politicards incompétents du pouvoir algérien avaient choisi la médiocrité en imposant une arabisation aveugle et massive en prenant comme modèles des pays médiocres comme l'Egypte et la Syrie.
Vous avez sans doute remarqué la médiocrité des dirigeants algériens à l'oral, à l'instar du clown Abdelmalek Sellal. Ci-dessous, un exemple qui illustre l'échec de la politique linguistique de l'Algérie depuis l'indépendance. Pendant une émission de télé, le jeune sportif algérien Walid Ben Terki s'exprime comme beaucoup d'officiels algériens avec un mélange de dialectes arabes et de Français!
Commentaire