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Les francais s'intéressent-ils de plus en plus au marché algérien ?
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Algérie: Après son implantation en Algérie, 500 nouvelles demandes d'assurance pour le marché algérien chez la Coface
La Tribune
18 Octobre 2006
Yasmine Ferroukhi
Après l'annonce, vendredi dernier, de son implantation en Algérie par le biais de sa société Coface Algérie services et de son partenaire local, la Cagex (Compagnie algérienne d'assurance et garantie des exportations), la Coface a fait savoir hier qu'elle tiendra le 27 octobre courant à Paris son séminaire sur les modalités d'implantation des entreprises françaises en Algérie.
Les actions se poursuivent, se diversifient et s'accélèrent dans l'Hexagone où toutes les analyses de la situation économique en Algérie confortent l'assureur/crédit à l'exportation français à défendre sa part de marché en Algérie.
Moins de «frilosité» donc semble désormais caractériser les actions dans les milieux d'affaires français. «Nous avons reçu 500 nouvelles demandes d'assurance pour le marché algérien», avait indiqué un responsable à la Coface au bureau de l'APS à Paris, soulignant l'attractivité de l'Algérie «placée en tête, à l'échelle africaine, en matière de couverture, avant le Maroc, la Tunisie et l'Afrique du Sud».
D'autres représentants de l'organisme assureur/crédit français ont estimé qu'une assise confortable permet désormais «une accélération des investissements publics dans le cadre d'un plan de consolidation de la croissance sur cinq ans devant soutenir l'activité du secteur non pétrolier». A prendre en compte également «une croissance qui, en 2006 et 2007, devrait rester bien orientée», estiment les mêmes sources. Ce sont là les arguments présentés par la branche consulting de la Coface, citée hier par l'APS, pour la tenue de ce séminaire sous le thème «se développer en Algérie». L'occasion de mettre sous la loupe les réalités et l'actualité du marché algérien, de mieux examiner l'environnement bancaire, les moyens de paiement et garanties, les grands contrats et l'expérience assurance/crédit moyen et long terme et investissements, l'environnement des affaires et les opportunités d'investissement à saisir. Autant de thèmes prévus pour ce séminaire et qui permettront certainement plus de visibilité. Les conférences seront animées par des experts de la Coface, dont Catherine Monteil, spécialisée dans l'évaluation des risques pays, Jean-Pierre Caussin, responsable assurance/crédit et investissements, ou encore Alain Tovar, directeur-adjoint du département marketing et international.
M. Pierre Mourlevat, chef de la mission économique de l'ambassade de France à Alger, ainsi que des banquiers, dont l'expert Muriel Chassaing de la banque française BNP Paribas, participeront à ce séminaire qui traitera aussi du «développement de Coface en Algérie».
Pour rappel, la Coface n'est pas à son premier séminaire consacré à l'Algérie puisque le précédent a été tenu également à Paris sous le thème «Algérie, investir dans un pays en pleine expansion.» Le risque du marché algérien est jugé «satisfaisant» par des représentants de l'organisme reclassé depuis une année en A4, selon une notation à 7 niveaux de risques.
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Algérie: Après son implantation en Algérie, 500 nouvelles demandes d'assurance pour le marché algérien chez la Coface
La Tribune
18 Octobre 2006
Yasmine Ferroukhi
Après l'annonce, vendredi dernier, de son implantation en Algérie par le biais de sa société Coface Algérie services et de son partenaire local, la Cagex (Compagnie algérienne d'assurance et garantie des exportations), la Coface a fait savoir hier qu'elle tiendra le 27 octobre courant à Paris son séminaire sur les modalités d'implantation des entreprises françaises en Algérie.
Les actions se poursuivent, se diversifient et s'accélèrent dans l'Hexagone où toutes les analyses de la situation économique en Algérie confortent l'assureur/crédit à l'exportation français à défendre sa part de marché en Algérie.
Moins de «frilosité» donc semble désormais caractériser les actions dans les milieux d'affaires français. «Nous avons reçu 500 nouvelles demandes d'assurance pour le marché algérien», avait indiqué un responsable à la Coface au bureau de l'APS à Paris, soulignant l'attractivité de l'Algérie «placée en tête, à l'échelle africaine, en matière de couverture, avant le Maroc, la Tunisie et l'Afrique du Sud».
D'autres représentants de l'organisme assureur/crédit français ont estimé qu'une assise confortable permet désormais «une accélération des investissements publics dans le cadre d'un plan de consolidation de la croissance sur cinq ans devant soutenir l'activité du secteur non pétrolier». A prendre en compte également «une croissance qui, en 2006 et 2007, devrait rester bien orientée», estiment les mêmes sources. Ce sont là les arguments présentés par la branche consulting de la Coface, citée hier par l'APS, pour la tenue de ce séminaire sous le thème «se développer en Algérie». L'occasion de mettre sous la loupe les réalités et l'actualité du marché algérien, de mieux examiner l'environnement bancaire, les moyens de paiement et garanties, les grands contrats et l'expérience assurance/crédit moyen et long terme et investissements, l'environnement des affaires et les opportunités d'investissement à saisir. Autant de thèmes prévus pour ce séminaire et qui permettront certainement plus de visibilité. Les conférences seront animées par des experts de la Coface, dont Catherine Monteil, spécialisée dans l'évaluation des risques pays, Jean-Pierre Caussin, responsable assurance/crédit et investissements, ou encore Alain Tovar, directeur-adjoint du département marketing et international.
M. Pierre Mourlevat, chef de la mission économique de l'ambassade de France à Alger, ainsi que des banquiers, dont l'expert Muriel Chassaing de la banque française BNP Paribas, participeront à ce séminaire qui traitera aussi du «développement de Coface en Algérie».
Pour rappel, la Coface n'est pas à son premier séminaire consacré à l'Algérie puisque le précédent a été tenu également à Paris sous le thème «Algérie, investir dans un pays en pleine expansion.» Le risque du marché algérien est jugé «satisfaisant» par des représentants de l'organisme reclassé depuis une année en A4, selon une notation à 7 niveaux de risques.